De Rio à Johannesburg, les avatars de la biodiversité (original) (raw)

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Représenter la nature ? ONG et biodiversité

2005

La loi du 1" juillet 1992 (code de la propriété intellectuelle, première partie) n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article L. 122-5, d'une part, que les « copies ou reprodudions strictement réservées à l'usage du copiste et non destinées à une utilisation collective» et. d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans le but d'exemple ou d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite» (alinéa 1" de l'article L. 122-4).

Les ONG dans le champ de la biodiversité

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La loi du 1" juillet 1992 (code de la propriété intellectuelle, première partie) n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article L. 122-5, d'une part, que les « copies ou reprodudions strictement réservées à l'usage du copiste et non destinées à une utilisation collective» et. d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans le but d'exemple ou d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite» (alinéa 1" de l'article L. 122-4).

Avatar, ou la leçon d'écologie

Poli n°3 : “Le spectacle de l’écologie”, sept. 2010, p. 99-110., 2010

Au cinéma, le plaisir esthétique repose, comme le soulignait déjà Hugo Munsterberg, sur l’affranchissement de l’individu tant du déterminisme naturel qui limite ses mouvements que du déterminisme social qui réduit son empathie vis-à-vis d’autrui. C’est cette puissance d’expérience — au sens du verbe anglosaxon “to experience” — dont le cinéma dote notre corps, cette libération de notre faculté d’imagination et de notre capacité de rapprochement que permet d’éprouver le plaisir cinématographique de l’incarnation dans un corps étranger. Expérience de l’ubiquité, le cinéma ouvre, en tant que technique d’incarnation, sur l’expérience de la “sympathie”, étendue par Avatar à l’ensemble des êtres qui composent notre écosystème.

Sécurité, dynamiques urbaines et privatisation de l'espace à Johannesburg

2005

Le passage de l’Apartheid a la democratie en 1990 fut vecu par la population noire sudafricaine comme une victoire des droits de l’Homme. La lutte pour la liberation des peuples opprimes et l’importation d’un modele etatique occidental ont provoque des milliers de victimes1. La chute de l’Apartheid a permis l’exacerbation de formes identitaires diffuses et n’a pas pour autant entraine une baisse significative de la criminalite : selon INTERPOL, l’Afrique du Sud, serait aujourd’hui le pays ou regne le plus de violence. Violences politiques, violences symboliques, violences domestiques, violences de proximite, etc., comment definir la violence, lorsque ses manifestations apparaissent aussi diverses ?...

Modèles de verdissement de l’agriculture et acteurs en compétition à Rio+20

In 2011 Green Economy was announced as one of two main themes of the Rio+20 Conference. Through the preparatory process, the title of the theme was rephrased as “the Green economy in the context of sustainable development and poverty eradication”. The issues of food security and agriculture have thus gained more weight and legitimacy in the negotiation process. As the FAO puts it in its “Greening Economy with Agriculture” initiative, “there will be no green economy without agriculture”. We look at the role given to agriculture in the Green Economy discourses, and the different models of agriculture promoted by its main institutional actors. Agriculture appears either as a domain for applying the Green Economy, or as a special leverage tool for greening the economy. Through content analysis of the texts produced in preparation of the conference, as well as key texts of institutional actors identified at the RIO+20 Conference, we analyze in greater depth the role given to farmers, knowledges and technologies, to the production (or consumption) of ecosystem services in the models of agriculture proposed actually. We analyze the contradictions between conventional and traditional agricultures. We look at the scales at which the problems of hunger are framed, the metrologies and temporalities used to support the “models” (which can be both examples to follow or the product of a modeling activity). We hope to contribute to the identification of levers for the development of farming options suitable to face the challenge of sustainably feeding the people on Earth.