Une collection d'Art Nouveau relevée au public (original) (raw)

"De quelques collectionneurs Haute époque : l'exposition Le Moyen âge du XIXe siècle. Créations, copies et faux dans les arts précieux (musée de Cluny, 2025)", dans Ecrire l'histoire du collectionnisme : méthodes, perspectives de recherche et valorisation, Séminaire ArtIS, Lyon, 29 novembre 2024.

Au coeur des pratiques patrimoniales en occident, la collection est un phénomène qui se situe à la croisée de plusieurs champs disciplinaires : l'anthropologie, l'histoire, l'histoire de l'art, mais aussi la sociologie, le droit et les sciences économiques, pour n'en citer que quelquesuns, peuvent être mobilisés pour mieux comprendre les collections et les pratiques liées au collectionnisme. Multiples sont les profils, les fonctions et les enjeux des collectionneurs : pour les uns, il s'agit d'une manière d'appréhender le monde à travers les merveilles de la nature et de la culture, pour les autres elles relèvent de la spéculation financière ou du prestige social. Peu importe la nature de la collection, qui peut aller de l'album de timbres au plus somptueux cabinet royal, elle présente toujours un lien étroit avec la personnalité de celui ou celle qui l'a constitué et qui l'entretient. Elle révèle, à travers son rapport aux objets, les passions du collectionneur, ses préférences esthétiques, les enjeux de sa position sociale etc. Du particulier à l'état, en passant par le scientifique ou bien l'artiste, les collections servent à construire et à consolider les identités individuelles et collectives. En participant ainsi à un travail de mémoire, elles s'inscrivent dans une temporalité plurielle, à la fois tournée vers le passé, le présent et le futur. Cherchant à conserver des objets et une manière spécifique de

Remarques sur l"art public" (2015)

Perspective, Joëlle Zask, « Spectateur ou regardeur ? Remarques sur « l’art public » », Perspective [En ligne], 1 | 2015, URL : http:// perspective.revues.org/5782, 2015

L'art aux enchères à l'époque moderne

Festial d'histoire de l'art - Talk followed by a round table with Patrick Michel, Guillaume Glorieux and Michael Szanto (Salon d'Honneur Mairie de Fontainebleau) June 1, 2012

Collection Histoire de l'art

La loi du 1 er juillet 1992 (code de la propriété intellectuelle, première partie) n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article L. 122-5, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1 er de l'article L. 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon passible des peines prévues au titre III de la loi précitée.

Art brut et objet trouvé

In: Raphael Koenig & Marina Seretti (eds.), L’art brut, objet inclassable? Bordeaux University Press, 2021

A peer-reviewed paper offering a new interpretation of the relationship between surrealist esthetics and Jean Dubuffet’s “art brut”, arguing that the latter constitutes a partial continuation of surrealist practices (automatism, specular function of the “objet trouvé”), while significantly breaking with a number of key tenets of surrealist theory, including the belief in a transcendent “surreal.” The paper also contrasts the fluid, rapidly evolving nature of surrealist attempts at defining various categories and sub-categories of surrealist objects (“message automatique”, “art sauvage”, “objets-dieux”, “objets de fous”, etc.) with the relative rigidity of Dubuffet’s notion of “art brut”, condemned by Breton as a forced “welding” (soudure) of heterogeneous elements.