Évaluation psychologique et psychopathologique dans la SLA (original) (raw)
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Les qualités psychométriques du PSA-A
Canadian Journal of Behavioural Science/Revue canadienne des Sciences du comportement, 2002
Cette 6tude a pour objectif de valider la version abr6g6e du Profil socio-affectif ou PSA-A (LaFreniere et al., 1992), questionnaire con~u pour 6valuer tant la comp6tence que les inadaptations sociales chez les enfants d'age pr6scolaire. Les i 145 enfants qui composent l'6chantillon (569 filles et 576 garcons d'age pr6scolaire) ont 6t6 6valu6s l'aide du PSA-A et 412 d'entre eux (218 filles et 194 garcons) ont en outre 6t6 6valu6s h l'aide d'instruments de mesure cognitive (Lollipop et WPSSI-R). De plus, le rendement scolaire de 181 de ces enfants a 6t6 6valu6 h la fin de la premi6re ann6e. Les r6sultats indiquent que le PSA-A est homog6ne et stable dans le temps et qu'il pr6sente une bonne validit6 de construit. Abstract This study aims at validating the abridge version of the Socio-Affective Profile or PSA-A (LaFreni6re et al., 1992), questionnaire designed to evaluate competency as much as social maladjustment of preschool children. The 1145 children that composed the sample (569 girls and 576 boys -all preschool age children) have been evaluated with the PSA-A test and of these, 412 (218 girls and 194 boys) have also been evaluated with cognitive measurement tools (Lollipop and WPSSI-R). Moreover, performance in school of 181 of these children has been evaluated at the end of the first year. Results show that the PSA-A profile is consistent and stable in time and that the construct has good validity.
Psychothérapies: quelle évaluation
Esprit, 2004
ESPRIT Cette table ronde se réunit dans un contexte marqué par la polémique provoquée par un rapport de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) sur l'évaluation des psychothérapies (février 2004). Les milieux psychanalytiques ont réagi à cette démarche d’une manière passionnée alors même que la question de l’efficacité n’est pas nouvelle dans l’histoire de la psychanalyse. Mais commençons par préciser les raisons de la constitution de cette équipe d’expertise Inserm : pourquoi cette évaluation ? qui l’a demandée ? comment le groupe a-t-il été constitué ?
Problématique et méthodologie de l'évaluation des psychothérapies
Thérapie Familiale, 2009
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Revue Neurologique, 2015
ALSFRS-R moyen é tait de 37 AE 8. Dix-neuf patients se plaignaient d'insomnie et 6 rapportaient des symptô mes d'apné es du sommeil. Six patients souffraient d'un syndrome des jambes sans repos. Le score moyen au PSQI é tait de 6 AE 4. Un seul patient avait un Epworth supé rieur à 10. Neuf patients avaient une dé pression dont 5 une plainte de sommeil. Six patients avaient un index d'apné es/hypopné es supé rieur à 15. Discussion Cette é tude conforte l'existence de troubles du sommeil chez les patients SLA dè s le dé but de la maladie. Par ailleurs, une dé pression sous jacente à l'origine de la plainte de sommeil mé rite d'ê tre recherché e puisqu'elle peut ê tre pré sente avant mê me l'annonce diagnostique. Les troubles respiratoires sont é galement une autre cause retrouvé e qui justifie la ré alisation d'un enregistrement de sommeil. Conclusion Les troubles du sommeil chez les patients atteints de SLA doivent ê tre recherché s dè s le dé but de la maladie afin de proposer des thé rapeutiques adapté es et ainsi pré server la qualité de vie des patients. Mots cle´s SLA ; Troubles du sommeil ; Polysomnographie De´claration d'inte´reˆts Les auteurs n'ont pas transmis de dé claration de conflits d'inté rê ts.
Gérontologie et société, 1988
Distribution électronique Cairn.info pour Fondation Nationale de Gérontologie. © Fondation Nationale de Gérontologie. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
SLAM. Première enquête qualitative en France.
In 2011, the emergence of "slam", designating drug injection among gay men in a sexual context was taken up by health stakeholders. As slam is rarely documented, a qualitative research was carried out by AIDES, a French HIV/Aids community-based association, in collaboration with other health institutions (Sidaction, the gay doctors association and the Health and medical research national institute). The objective was to take stock of this phenomenon regarding definitions, products used, effects, connection with sexuality, harm reduction strategies implemented as well as prevention and medical needs as declared by slam practitioners. In 2012, a multidisciplinary team (an anthropologist, two sociologists, a dermato-venereologist, a health psychologist and an insider) conducted a rapid assessment process (RAP). This ethnographic approach insists on the role of the insider, a gay man practicing slam, who ensures the appropriateness of questions and facilitates the rapport researchers-interviewees. The team worked collectively during the whole process (constructing the interview guide, conducting the interviews, analysis and report writing). 23 people from different cities of France were interviewed 17 current and ex- slammers and 6 key informants (clinicians, addictologists and members of NGOs) having an expertise on drug use and gay sexuality. Slam was defined as the injection of products (méphédrone and derivatives, crystal, cocaine) in a sexual context. This sexual context does usually involve two or more people. Most people slamming were HIV+, variable ages (25-59), practicing hard sex (e.g. fisting) and were employed. Physical and psychological complications (including addiction) were observed in some of them. Some strategies, like not learning to inject themselves were implemented in order to better control the drug use. They declared not attending specialized services because they do not identify as typical injecting drug users. As a matter of fact, this was one of the main barriers to have a more ease access to materials and preventive information, not only because the refuse to ask for help in specialized services but also because HIV practitioners do not perceive their gay patients as potential drug users. Interviewees asked for physicians to be at least informed about slam and drug consumption in general, in order to ensure a more effective linkage to care if needed (including just thinking of asking about drug consumption). Finally, even the large already existing evidence about the relationship among sex and drug use, a lack of preventive actions and discourses considering both behaviors became manifest. Although qualitative research regarding injecting drug use among gay men is scarce, it is a rich source of information about this phenomenon and can help develop adequate and appropriate political, institutional and associative responses.