Méthode archéologique assistée par ordinateur (original) (raw)
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Éléments Pour Une « Archéologie » De La Méthode Directe
2012
Les techniques d’enseignement les plus caracteristiques de la methode directe ont ete pratiquees et preconisees bien avant que cette methode n’emerge en tant que telle, tout comme elles ont ete longtemps compatibles avec un certain plurilinguisme. Elles peuvent le redevenir, pour peu qu’on les extraie de l’ideologie nationaliste qui a permis a cette methode de triompher durant quelques decennies. Il s’ensuit qu’on ne peut s’en tenir a l’histoire de la didactique de la seule langue enseignee, pas plus qu’on ne peut reduire l’histoire de l’enseignement/apprentissage les langues (L1 ou L2) a la succession des methodes par lesquelles elles l’ont ete.
Méthodologies d'analyse organique en archéologie
L’identification des résidus organiques conservés en contexte archéologique a, de longue date, représenté un réel défi pour les chimistes du fait de la complexité de la matière organique, de sa dégradation et des faibles quantités d’échantillons disponibles. Différentes approches ont été développées. Les spots tests sont dorénavant abandonnés au profit de méthodes plus sûres et informatives, fondées principalement sur la chromatographie et la spectrométrie de masse. L’approche moléculaire permet d’identifier les marqueurs conservés qui proviennent de nombreuses sources : le matériel originel, mais aussi les dégradations naturelles ou anthropiques ou les contaminations. Une méthodologie rigoureuse incluant le choix des objets et des prélèvements, les protocoles d’extraction et d’analyse, l’identification des marqueurs et l’interprétation des données moléculaires, permet aujourd’hui de caractériser nombre de matériaux archéologiques biologiques avec certitude.
Le lidar aéroporté une méthode révolutionnaire pour l’archéologie
Photoniques
Début 2018, la presse française s’est largement fait l’écho de la découverte au milieu de la jungle, au Guatemala, d’un vaste réseau interconnecté de cités mayas sur plus de 2000 km², grâce à une technologie de télédétection laser appelée laser scanner aéroporté ou lidar. Cette découverte est l’occasion de faire un point sur l’utilisation depuis plus de 15 ans de cette méthode en archéologie.