Notice Middelburg et Vlissingen. Au sujet des corsaires Zélandais dans Dictionnaire des corsaires et des pirates, sous la direction de Gilbert Buti et de Philippe Hrodej, p.526-529 (original) (raw)
Related papers
Australia and New Zealand are linked by the memory of World War I. Their military forces, Australian and New Zealand Army Corps (Anzac), fought together ; and their shared experience at Gallipoli in 1915 generated the “Anzac legend”, a narrative which has dominated their national memories of war. However, while New Zealand adopted conscription in 1916, the Australian electorate rejected this policy option. The Australian Imperial Force remained a volunteer force. This may help explain why the Anzac legend has been more dominant in the Australian political culture than in New Zealand.
Dictionnaire des corsaires et pirates par Gilbert Buti et Philippe Hrodej
Dictionnaire des corsaires et pirates par Gilbert Buti et Philippe Hrodej, 2013
Barbaresques, boucaniers, flibustiers, guerres de course, abordages, razzias, butins, partages de prises, chasses au trésor, canonnades… Corsaires et pirates jalonnent de leurs exploits la vie maritime et peuplent notre imaginaire. Voici le premier dictionnaire historique sur ces aventuriers des mers : près de 600 entrées, une oeuvre monumentale, les meilleurs spécialistes pour faire revivre ces personnages hauts en couleur, des plus emblématiques comme Drake, Jean Bart, Surcouf, Duguay-Trouin, Dragut, Barberousse, aux oubliés de l'histoire ainsi qu'aux discrets mais indispensables armateurs. Un voyage dans le temps et à travers les océans où sont visités les principaux lieux associés à la course et à la piraterie, d'Alger aux Caraïbes, en passant par Boston,
St. Christophe et les flibustiers-marchands néerlandais aux Leeward Islands
2022
Au milieu du XVII siècle, le dominicain Jean-Baptiste du Tertre (1610-1687), qui avait servi dans sa jeunesse l'armée néerlandaise contre les Espagnols, nous informe clairement dans son Histoire générale du rôle des Néerlandais, et plus précisément de celui des Zélandais, comme fournisseurs de l'île de Saint-Christophe ou Sint Christoffel selon les marchands néerlandais. Depuis les installations européennes sur l'île à partir des années 1620, les Néerlandais nouèrent des liens commerciaux avec les habitants et, plus tard, avec les gouverneurs. Ils achetaient leurs productions de tabac, de gingembre, de coton ou encore d'indigo en échange de victuailles qui manquaient aux colons dès le début. Il est bien connu que ce trafic illégal avec les Néerlandais se faisait pour éviter de payer trop de taxes sur la production locale lors de son exportation vers la France ou l'Angleterre. Les Néerlandais étaient prêts à payer plus chers leurs produits afin de créer une dépendance et éventuellement obtenir un pied-à-terre sur l'île en installant des magasins et leurs commis. Rapidement, les marchands néerlandais domineront le commerce.