L'éthique évolutionniste: De L'Altruisme Biologique à La Morale (original) (raw)
Related papers
Évolution et éthique de l'eugénisme
Étant donné la définition de l'eugénisme, il est très difficile d'établir une distinction claire entre la science (médecine, ingénierie génétique) et l'eugénisme en tant que domaine inclus. Et pour définir une ligne sur laquelle l'ingénierie génétique ne devrait pas aller plus loin, conformément aux normes morales, juridiques et religieuses. Si nous acceptons l'aide de la génétique pour trouver des moyens de lutter contre le cancer, le diabète ou le VIH, nous acceptons également l'eugénisme positif tel qu'il est défini à présent. Et si nous acceptons le dépistage génétique et les interventions sur le fœtus, ou l’avortement, nous acceptons implicitement l’eugénisme négatif. En outre, au niveau gouvernemental, bien que l'eugénisme soit officiellement refusé, il a été légalisé dans de nombreux pays jusqu'à récemment et est toujours accepté et légalisé, même sous des formes subtiles, même de nos jours. TABLE: Abstract Introduction 1. Histoire de l'eugénisme - 1.1 Antiquité - 1.2 Le darwinisme social - 1.3 Francis Galton - 1.4 Charles Davenport - 1.5 L'eugenisme en tant que politique d'État - - 1.5.1 L'eugenisme en États-Unis - - 1.5.2 L'eugenisme en Allemagne - 1.6 La période d'après-guerre 2. L'eugénisme actuel - 2.1 L'eugénisme libéral - 2.2 L'eugénisme en tant que politique d'État 3. L'éthique de l'eugénisme 4. L'avenir de l'eugénisme Conclusions Bibliographie DOI: 10.13140/RG.2.2.12520.83203
Espèces et éthique : Darwin, une (r)évolution à venir
Espèces et éthique : Darwin, une (r)évolution a venir / Estiva Reus, David Olivier, James Rachels, Yves Bonnardel. — Lyon : Tahin-party, 2001 [juin]. — 219 p. : ill. ; 21 cm., 2001
Espèces et éthique : Darwin, une (r)évolution a venir / Estiva Reus, David Olivier, James Rachels, Yves Bonnardel. — Lyon : Tahin-party, 2001 [juin]. — 219 p. : ill. ; 21 cm. Depuis la formation par Darwin de la théorie de l'évolution, on ne peut plus tenir pour scientifique la conception du monde selon Aristote ou la Genèse. Pourtant, notre éthique continue de reposer sur une approche mystique de la nature et une sacralisation de l'humanité. Nous considérons toujours les animaux non humains comme des moyens pour nos fins, et nous les sacrifions par miliers de milliards pour servir nos intérêts. Les termes de ce paradoxe constituent le sujet des textes rassemblés dans cet ouvrage. Quelle évolution peut-être espérer ?
Créationnisme et enseignement de l'évolution
2012
En février 2007, plusieurs organes de presse relatent l'envoi d'un Atlas de la création à des universités et des lycées français. La plupart des journalistes qualifient cette opération d'« offensive créationniste islamique », précisant que le ministère de l'Éducation nationale demande à ce que l'ouvrage luxueux « ne soit pas mis à disposition des élèves ». Je propose dans cet article de revenir sur cette réaction politique et les visions sous-jacentes d'une éducation citoyenne et laïque. Je défends l'idée que l'exclusion de toute considération à l'égard des fondements idéologiques du créationnisme ne permet pas aux élèves de comprendre les particularités et l'importance des réponses scientifiques apportées à la question des origines de l'Homme et de la vie.
L'éthique et l'avenir de l'eugénisme
Les arguments concernant la sagesse de la poursuite des expérimentations génétiques et des effets eugéniques possibles du génie génétique se retrouvent généralement dans trois domaines : l'éthique biomédicale, la moralité, et la religion et le droit. L'utilisation potentielle du génie génétique a mis en discussion l'eugénisme dans le passé dans les litiges de bioéthique. Le séquençage du génome humain peut nous aider dans l'évolution humaine. Le projet sur le génome humain peut nous aider à comprendre les maladies afin d'orienter les traitements appropriés, d'identifier les mutations responsables de diverses maladies et de les corriger. DOI: 10.13140/RG.2.2.20645.86249
Morale et évolution biologique (dir. C. Clavien …, 2007
By giving through the emotions a sense of who one is and of what one hopes to be, [shame] mediates between act, character, and consequence, and also between ethical demands and the rest of life » Williams, Bernard, Shame and Necessity, (p. 102).