Métrologie des faisceaux et de la tache focale de la LIL (original) (raw)

Les théories méréologiques du faisceau

A paraître dans Le Renouveau de la Métaphysique autour de Frédéric Nef « Pourquoi les choses tiennent-elles ensemble ? » (Traité d'ontologie, 2009, p. 237).

Histoire de la theorie des faisceaux

2000

Resume La notion de faisceau aete introduite par Jean Leray juste apres la guerre, dans le prolongement de travaux entrepris durant sa captivite en Autriche. Leray a defini des groupes de cohomologie pour les applications continues, et relie la cohomologie d'une ap- plicationa celle de sa source gracea la suite spectrale, introduitea ce propos. Henri Cartan a reformulel a theorie

De la th�orie �lectro�lastique � la th�orie �lectromagn�tique du champ

dialectica, 1975

De la thCorie ClectroClastique B la thCorie 6lectromagnCtique du champ Par Evandro AGAZZI RCsumC Ce travail est consacre B I'examen critique (tout d'abord intuitif, puis entrant dans une discussion mathkmatique de certains points importants) de l'itinbraire qui conduit Maxwell, B partir de I'intuition des lignes de forces de Faraday, B sa conception du champ ClectromagnCtique, ?i ses cClbbres Cquations et enfin ?i la thCorie ClectromagnCtique de la lumibre. L'auteur montre et discute la manibre dont Maxwell, qui avait fond6 sa thtorie sur un modble Clastique, l'a convertie en une pure thCorie du champ sans pour autant renier une philosophie naturelle de caractbre mtcaniste. Summary This paper critically examines (firstly in an intuitive way and then by a mathematical discussion of some fundamental features) the itinerary by which Maxwell, starting from Faraday's intuition of the lines of force, arrives at his conception of the electromagnetic field, with the foundation of his celebrated equations and his electromagnetic theory of light. Having illustrated thus the elastic character of the maxwellian foundation of this theory, its conversion is then discussed into a pure field theory and it is maintained that this does not imply anyway that Maxwell dismissed a mechanistic perspective in his philosophy of nature. Zusammenfassung Diese Arbeit untersucht in kritischer Absicht den Weg, auf dem Maxwell, indem er von Faradays Intuition der Kraftlinien ausgeht, zu seiner Auffassung des elektromagnetischen Feldes mit seinen beriihmten Gleichungen und seiner elektromagnetischen Theorie des Lichts gelangt. Die Diskussion beginnt mit intuitiven Erorterungen, um dann einige Grundziige mathematisch zu durchleuchten. Nachdem in dieser Weise der elastische Charakter von Maxwells Begriindung seiner Theorie dargetan worden ist, wird deren Verwandlung in eine reine Feldtheorie erlautert. Es wird die Ansicht vertreten, dass diese keineswegs eine Verwerfung der mechanistischen Betrachtungsweise in der Naturphilosophie impliziert. La thCorie du champ ClectromagnCtique a un peu plus d'un sibcle; plus exactement, sa codification et, pour ainsi dire, sa constcration officielle ont eu lieu dans le Trait6 d'e'lectricite' et magnktisme de J. C. Maxwell, dont la premibre Cdition a paru il y a cent ans ii Oxford, en 1873. Mais son Claboration a pris huit annCes (de 1856 ii 1864), marquCes par trois ttapes correspondant trois memoires cClbbres, dam lesquels Maxwell en a graduellement Dialectica Vol. 29, No 2-3 (1975) tribuk ii l'engendrer et ii la mnstruire.

Théorie des lasers et des lampes

Annales de Dermatologie et de Vénéréologie, 2009

Les lasers émettent un faisceau lumineux cohérent et monochromatique, tandis que les lumières pulsées produisent une lumière polychromatique dont la bande passante est sélectionnée par des filtres appropriés. Les chromophores de la peau sont l'eau, l'hémoglobine et la mélanine, auxquels il faut rajouter les pigments exogènes des tatouages. Chaque chromophore possède son spectre d'absorption spécifique. Les mécanismes d'action principaux des lasers sont l'effet photothermique et l'effet photomécanique.

LA LEISHMANIOSE VISC?RALE AU COURS DU LUPUS ?RYTH?MATEUX SYST?MIQUE, UNE NOUVELLE OBSERVATION AVEC REVUE DE LA LITT?RATURE.

La leishmaniose visc?rale est une forme particuli?rement grave de l?infection par les parasites intracellulaires du genre Leishmania. Bien que c?est une affection immunod?primante, la survenue de la leishmaniose au cours du lupus ?ryth?mateux syst?mique est rarement d?crite. Nous rapportons le cas d?une patiente suivie pour lupus ?ryth?mateux syst?mique, qui pr?sente un tableau de fi?vre prolong?e nue avec discr?te spl?nom?galie. Le bilan biologique confirme la pouss?e de la maladie lupique avec un syndrome inflammatoire sans s?rite. Malgr? un traitement cortico?de et immunosuppresseurs, l??volution est marqu?e par l?aggravation de l??tat g?n?ral, la persistance du syndrome f?brile et l?apparition d?un syndrome d?activation macrophagique. Le m?dullogramme montre des formes amastigotes de leishmania sp. La patiente est trait?e par antimoniate de m?glumine avec bonne ?volution clinique et biologique. Cette observation pose le probl?me du diagnostic de la leishmaniose visc?rale au cours du lupus ?ryth?mateux syst?mique du fait de sa pr?sentation clinique souvent atypique. Le diagnostic doit ?tre ?voqu? devant tout tableau infectieux prolong? inexpliqu? chez un patient atteint de lupus ?ryth?mateux syst?mique m?me en absence de s?jour en zone d?end?mie.

Contribution à l’Etude de la Diffusion des Faisceaux Lasers Non-Diffractants par une Sphère en appliquant la Théorie de Lorenz-Mie Généralisée. Cas de Faisceaux Mathieu et Faisceaux Dérivées de Mathieu

2014

En 1987, Durnin et al. [1-2] ont découvert le premier faisceau non-diffractant. Ce faisceau a été aussi appelé le faisceau Bessel parce que son profil est donné par la fonction Bessel d'ordre zéro. Ce faisceau présente un profil de rayonnement dans lequel la partie centrale du faisceau est similaire à une gaussienne mais entourée par des anneaux concentriques d'intensité décroissante. Ce faisceau ne change pas de structure en se propageant et ne se diffracte pas. Le concept de base de la théorie mathématique des faisceaux non-diffractants repose essentiellement sur la résolution de l'équation d'onde en générale et l'équation de Helmholtz en particulier. La théorie des équations différentielles montre qu'il est possible de trouver des systèmes de coordonnées dans lesquels ces équations différentielles sont séparables. De même, la théorie montre que ces équations différentielles peuvent être invariantes sous un certain nombre de groupes de symétries continues. Ainsi, l'équation de Helmholtz a été largement étudiée du point de vue séparabilité et il a été montré qu'elle est séparable dans onze systèmes de coordonnées. Mais, elle est invariante par symétrie de translation seulement dans les systèmes de coordonnées cylindrique rectangulaire (cartésien), cylindrique circulaire, cylindrique elliptique et cylindrique parabolique. Ces solutions sont : les ondes planes ou solutions cosine [3], les solutions Bessel [1-2], les solutions Mathieu [4] et les solutions paraboliques [5]. La réalisation pratique de ces solutions dans le domaine d'optique constitue les faisceaux nondiffractants fondamentaux connus jusqu'à présent. D'autre part, Miller [6] a montré qu'il existe une relation entre les solutions séparables et exactes de l'équation de Helmholtz et que chacune de ces solutions forme à elle seule une base complète dans laquelle n'importe quelle autre solution peut s'exprimer comme une combinaison des éléments de cette base. Dans le cas où cette base est formée par des ondes planes, le champ du faisceau non-diffractant idéal est exprimé par l'intermédiaire de l'intégrale de Whittaker [7]. La décomposition d'un faisceau non-diffractant en fonction d'ondes planes satisfait à des conditions sur les vecteurs d'ondes de ces ondes planes et sur les coefficients de cette décomposition [7-8]. Selon cette vision, les faisceaux non-diffractants idéaux générés, surviennent comme un champ d'interférence produit par la superposition cohérente de ces ondes planes dont la différence de phase relative reste inchangée au cours de la propagation libre. La théorie des faisceaux non-diffractants idéaux, montre que de tels faisceaux possèdent une énergie infinie. Dans les expériences réelles, seulement des faisceaux non-diffractants approximatifs peuvent être réalisés. Dans l'avenir, ces faisceaux constitueront des perspectives intéressantes pour les accélérateurs à électrons [9] et pour les pinces optiques [10]. Concernant les faisceaux Mathieu, ils ont été utilisés dans l'étude des solutions dans un milieu périodique [11], dans les pinces optiques pour le transfert du moment cinétique [12] et dans l'étude des ondes X localisées … etc. D'après cet aperçu sur l'historique et la théorie des faisceaux non-diffractants, on constate l'importance de ce sujet pour la communauté du laser. C'est là où apparaît notre intérêt aux faisceaux non-diffractants en général et la famille des faisceaux Mathieu et des faisceaux dérivés de Mathieu en particulier. L'explication théorique des phénomènes liés à la diffusion de la lumière par des particules sphériques commença au milieu du XIXème siècle [13-14]. L'analyse théorique rigoureuse de cette diffusion par une particule unique a été formulée à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle par Lorenz, Mie et Debye (diffusion d'une onde plane par une particule sphérique, homogène, isotrope et non magnétique) désignée désormais par théorie de LorenzMie(TLM). La lumière diffusée contient des informations sur les particules avec lesquelles elle interagit. Ceci ouvre de larges possibilités pour mesurer les propriétés des objets diffusants. Ainsi, parallèlement à l'explication des phénomènes naturels beaucoup d'efforts ont été dédiés à la métrologie optique. Celle-ci présente de nombreux avantages: petit volume de mesure, non-perturbation de l'objet lors de la mesure, suivi dans le temps des paramètres mesurés,… Actuellement, plusieurs groupes de chercheurs continuent à étudier cette famille pour mieux l'explorer. Ainsi, dans le but de contribuer à l'étude de cette famille de faisceaux laser, nous nous sommes intéressés dans ce travail de mémoire à l'étude de la diffusion des faisceaux Mathieu et des faisceaux dérivées de Mathieu par une sphère en appliquant la théorie de Lorentz-Mie généralisé (TLMG). De même, nous utilisons l'approximation d’interprétation localisée (ILA) pour calculer les coefficients de forme de faisceaux (BSC) pour les faisceaux de Mathieu et les faisceaux dérivées de Mathieu. Ces coefficients sont d'un grand intérêt dans la description des faisceaux dans la théorie de Lorentz-Mie généralisée. Les BSC sont utilisés dans le calcul des composantes des faisceaux diffusés par une particule sphérique. - Le reste du manuscrit sera organisé comme suit : Dans le chapitre I, nous étudierons la famille des faisceaux Mathieu et des faisceaux dérivées des faisceaux Mathieu. Dans le chapitre II, nous étudierons en détail la théorie de Lorenz-Mie généralisée et nous donnons les grandes lignes de cette théorie en utilisant la théorie des potentiels scalaires de Bomwich (PSB) pour résoudre les équations de Maxwell. Le chapitre III sera consacré pour l’étude de la diffusion des faisceaux Mathieu et des faisceaux dérivées des faisceaux Mathieu par une sphère en appliquant (TLMG) et en utilisant la méthode de l’approximation d’interprétation localisée (ILA). A la fin de cette étude, nous donnerons une conclusion générale et les perspectives de ce travail de mémoire.

Leuques et Médiomatriques à La Tène moyenne et finale

Les cités gauloises des Leuques et des Médiomatriques occupent une grande partie de l'Alsace et de la Lorraine, ainsi que des territoires situés dans la Sarre, le Palatinat et le pays de Bade. L'étude de l'organisation de l'habitat, essentiellement fondée sur des données de fouille, a été menée en trois temps. Une première partie dresse le cadre historique, dans lequel se sont développées les deux cités. Leurs frontières ont été précisées par l'analyse régressive des diocèses médiévaux, vérifiée par des éléments de toponymie, d'épigraphie et par les sources archéologiques et numismatiques. Dans un deuxième temps, les sites d'habitat ont été étudiés à travers la distinction classique évoquée par César : oppidum, vici, aedificia. Ils ont ensuite été regroupés en fonction de leur caractère isolé ou groupé. Enfin, l'organisation des deux cités a fait l'objet d'une analyse spatiale, qui en a montré les principales composantes. The Gallic civitates of Leuques and Mediomatriques occupy a big part of Alsace and Lorraine, as well as territories located in Saar, Palatinat and Bade. This study of the organization of habitat, essentially based on excavations data, has been undertaken in three stages. A first part draws up the historical background, in which the two civitates developed. Their borders are specified by the regressive analysis of the medieval dioceses, checked by elements of toponymy, epigraphy and by archaeological sources and numismatic. Then, settlements are being studied through the classic distinction made by Caesar: oppidum, vici, aedificia. They are then separated in two categories : isolated settlements or grouped settlements. Lastly, the main features of those two territories are described through a spatial analysis.

Étude De Cas Théoriques De Faisceaux Avec Modulation D’Intensité Par La Technique Du Step-And-Shoot

Cancer/Radiothérapie, 2003

Afin de débuter les irradiations en modulation d'intensité, des cas théoriques ont été utilisés comme outils de mise en oeuvre pour définir les méthodes de mesure de contrôle et pour vérifier le logiciel de dosimétrie en comparant les résultats des calculs et ceux des mesures obtenues sur un fantôme de plexiglas. L'irradiation a été réalisée avec des photons X de 6 et 25 MV d'un accélérateur linéaire. Les mesures ont été réalisées avec des films et des chambres d'ionisation. La comparaison entre le calcul et les mesures montre quelques divergences au niveau des jonctions ainsi que dans les zones de faible dose, en particulier quand il y a de nombreux segments. Ces cas théoriques constituent une première étape vers l'utilisation clinique de la modulation d'intensité.

Méthode de Laue refocalisée à haute énergie : intérêts et apports de la spectrométrie des faisceaux diffractés

Le Journal de Physique IV, 2000

L'appareillage dédié à la mise en oeuvre de la méthode de Laue refocalisée à haute énergie, installé à l'Institut Laue Langevin, a été équipé d'un système de détection permettant l'analyse en énergie des faisceaux diffractés. Après une rapide description du dispositif, de ses caractéristiques et de sa résolution, nous montrerons l'intérêt de cette mesure pour, par exemple, aider à l'indexation des diagrammes de Laue, séparer les ordres ds diffraction successifs, accéder aux raies de surstructure et déterminer les variations des paramètres de maille. Des résultats obtenus sur différents matériaux illustreront les nouveaux champs d'application ouverts par l'analyse en énergie.