Réciprocité et asymétrie. Une nouvelle typologie de deux modèles de la théologie trinitaire (2010) (original) (raw)
Nouvelle revue théologique 132 (2010) 217-236
In the current debate in Trinitarian theology, the so called “communional” model emphasizes the reciprocal relations between the three divine persons working in the history of salvation because it has a one-sided view of the relations of origin of the Father to the Son and to the Spirit, which is the basis of the classical “generic” model. The present study re-examines Thomas Aquinas’ Summa Theologiae as an exemple of the second model and its interpretations by Wolfhart Pannenberg and Gisbert Greshake, defenders of the first model. It then suggests a more operational and conceptual articulation: a “reciprocity” that is more than a simple symmetry, and an “asymmetry” which, being more than simply one-sided, does not contradict such a reciprocity. Two models are thus formulated which each in their own way take this double factor into account. This new typology of two models allows us to conceive the constitution of the three divine persons while paying as much attention to their common relationality as to what is proper to each of them.
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Esta es mi tesis de masterado en economía. Abordo las distintas teorías utilitaristas de la reciprocidad y además la teoría no-utilitarista de D. Temple. Es un resumen de esas teorías, nada nuevo. Si le interesa el tema y quiere tener acceso a las ultimas traducciones puede contactarme a ayarportugal@gmail.com.
L’expression de la réciprocité dans trois langues romanes
Mayerthaler, Eva / Pichler, Claudia Elisabeth / Winkler, Christian (eds.), Was grammatische Kategorien miteinander machen. Festschrift für Ulrich Wandruszka, Tübingen: Narr (= Tübinger Beiträge zur Linguistik, 527), 183-199, 2011
Respect, réciprocité et relations asymétriques. Quelques figures de la relation de soin
Esprit, 2006
Distribution électronique Cairn.info pour Editions Esprit. © Editions Esprit. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Respect, réciprocité et relations asymétriques. Quelques figures de la relation de soin Nathalie Zaccaï-Reyners * CERTAINES relations sociales peuvent être qualifiées de relations asymétriques au sens où les termes qui y sont impliqués ne peuvent être permutés sans que leur nature même n'en soit modifiée 1. Alter ne peut y prendre la place d'ego pour des motifs variables, tenant à la répartition inégale de compétences, de ressources ou d'attributs. On pense ici aux relations parentales, aux relations pédagogiques, aux relations thérapeutiques mais aussi, dans un sens plus large, aux relations professionnelles ou politiques. Lorsque la question du respect est envisagée dans le cadre de ces relations, l'horizon normatif qui sous-tend la réflexion est généralement celui d'un état où les individus impliqués sont considérés comme matures, émancipés, indépendants, susceptibles de rencontrer alter dans une relation sociale équilibrée. L'état donc d'individus adultes, en pleine possession de leurs moyens, remplissant les conditions d'une action dite autonome et responsable. Au regard de ces attentes, la dépendance qui est au coeur des relations asymétriques retient l'attention. Elle ne peut être associée qu'à des évaluations négatives, en termes de déficience, d'incomplétude, voire d'anormalité, de déchéance ou de pathologie d'un côté ; en termes d'ascendant,
L’accompagnement : symétrie dans les asymétries ?
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Cet article présente une analyse de deux entretiens d’accompagnement vécus par une formatrice d’adultes et un directeur d’établissement fondamental et menés par une enseignante universitaire et un conseiller pédagogique. Cette analyse permet d’interroger la nature de « la mise au service de l’accompagné » par l’accompagnateur. Se mettre au service d’autrui implique-t-il systématiquement une relation symétrique comme cela est décrit dans la littérature ? Il apparait que lors de ces deux entretiens l’asymétrie soit bien présente et ne s’inscrit pas une dimension relationnelle mais dans une comparaison à soi.
La coocurrence, une relation asymétrique ?
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The computation of cooccurrence attraction is central to most tasks in text data analysis: the contextualization of term use is commonly put into question whether attempting to capture word evolution and meaning throughout a chronologically-structured corpus, or drawing a work’s thematic network or when characterizing a specific discourse, etc. The present paper follows a new track of computation: the novelty of the method we present lies in the measure and comparison of lexical associations within a corpus using dissimilarity matrices, distance measures and tree representations.
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