Editorial / Éditorial: Vol. 44 No. 2 (original) (raw)
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un ouvrage SNCF en service : le ripage des outils s'effectuait donc sous un pont provisoire. un parement architectonique matricé des baguettes horizontales avec un radier en forte pente, imposant le déplacement des matrices et des baguettes à chaque bétonnage la présence d'un buton entretoise, nécessitant le bétonnage des voiles une face en deux phases sur la hauteur des délais très serrés Chantier : Pont SNCF Mouchard à Bourg en Bresse Entreprise : Chantiers Modernes Agence : Doka Lyon 4 4 5 5 6 7 7 8 9 10 12
Canadian Journal of Learning and Technology, 2021
Collectively, CJLT Issue 2, 2021 brings together the results of research conducted in Europe, Latin America, and Canada. CJLT has supported the advancement of research on teaching and learning with digital technologies in Canada and around the world for many years and will continue to do so in the coming years. We hope that you will find in our journal answers to the many questions you have about the pedagogical transformations that have been necessary to better adapt to current demands. We thank our reviewers for the time invested in reviewing the manuscripts.
Editorial do número 9 / Éditorial du numéro 9
Confins, 2010
Com este número a revista Confins inicia o seu quarto ano, tendo-se comemorado seu lançamento em junho de 2007. Ela parece ter respondido a uma demanda e sua audiência atingiu, nos últimos doze meses, uma média de um pouco mais de 15 mil acessos por mês, com um pico de 22.911 em março de 2010. A curva de crescimento do número de leitores mostra um aumento constante, com "descidas" ligadas às férias brasileiras ou francesas, países onde se concentram principalmente os nossos leitores. Editorial do número 9 / Éditorial du numéro 9 Confins, 9 | 2010 Por isso, convidamos novos colegas para participar do conselho editorial, "promovemos" outros do comitê júnior ao comitê editorial e completamos o comitê júnior para compensar estas saídas e preparar a próxima geração.
Editorial , 2018
Es un placer presentar la revista La Palabra no. 33, que reúne una serie de investigadores, narradores y poetas argentinos, brasileros, españoles, y colombianos. Iniciamos con una sección sobre Ciencia y Literatura, que rastrea las preguntas y desarrollos de la ciencia ficción en Brasil, Argentina y España a través de autores como André Carneiro, Oliverio Coelho, y Gerônimo Monteiro, Raquel de Queiroz y otros. ¿Cómo se articula la ciencia y la poesía para producir nuevos estatutos y posibilidades para la palabra? ¿Qué tipo de reflexión política se plantea a partir de los imaginarios post-apocalípticos de la ciencia ficción latinoamericana actual? ¿Cómo operan las influencias entre literatura y cine, y viceversa para la construcción de la estética de la ciencia ficción en países no angloparlantes?
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux. Victor HUGO En Afrique lorsque l'enfant parait les parents, amis et connaissances accourent de partout avec des cadeaux et surtout des voeux pour le nouveau né et ses heureux parents. Nos langues nationales ne tarissent pas de formules pour la circonstance. J'en citerai deux en mooré, ma langue maternelle : Wend na kɩt ta zoe y taore! (« Puisse Dieu le/la protéger pour qu'il/elle coure devant vous ») Wend na kɩt tɩd rɩ yõodo! (« Puisse Dieu nous accorder de nombreuses grâces à travers lui/elle ! »), C'est ainsi que nous souhaitons la bienvenue à la Revue Internationale de Linguistique, Didactique des Langues et Traductologie (FLALY), notre revue qui vient de naître, qu'elle grandisse et se développe pour nous aider à mieux contribuer au progrès de la science dans son domaine d'expertise. Il nous appartient à tous, spécialistes des sciences du langage de le/la soigner et de le/la nourrir avec des aliments équilibrés et des boissons saines sous formes d'articles riches, variés et bien dosés tout en évitant que la multiplicité des thèmes traités fasse ressembler les repas servis à la viande de l'éléphant réputée à tord ou à raison contenir des morceaux très tendres et des morceaux trop coriaces.
Via Atlântica, 2014
C'est un peu un souvenir de voyage que je me permets de vous faire partager. Mes activités -comme beaucoup d'entre vous, j'imagine-m'ont conduit très souvent aux Etats-Unis. Pendant une vingtaine d'années, la côte ESTde Boston à Washington, en passant par New York et Philadelphie-constitua l'essentiel de mes destinations. Bien sûr, Boston, si chargée d'histoire (les Pilgrim Fathers, sur leur Mayflower, débarquèrent au XVII°, pour fonder Plymouth vraiment très près) avec Harvard, voire le MIT si proches et cette atmosphère si particulière à ce port m'a toujours un peu ému. Philadelphie a également -à mes yeuxun caractère particulier. J'avoue que Washington, bien que dessiné par un architecte français ne m'a jamais beaucoup enthousiasmé. New York a toujours créé un choc, comme une fascination : on aime ou on déteste, mais New York ne laisse jamais indifférent. C'est curieux, j'ai l'impression que l'on ne peut avoir une vision objective des Etats -Unis : chacun projetant, en quelque sorte son propre regard et créant, en partie, sa réalité. Je suis de ceux qui ne se lassent pas d'aller et de retourner à New York, trouvant toujours quelque chose à découvrir ou à retrouver. Mais depuis le début de 2001-donc avant l'attentat du 11 septembre 2001 sur la cible des Twin Towers, avec environ ses 3000 morts-, mes misions m'ont entraîné sur la côte Ouest: Los Angeles, San Francisco et les Universités californiennes ; plus au Sud la Louisiane et la Floride, les incontournables Dallas ou Chicago (et même un saut -non professionnel-à Las Vegas). Aussi, c'est avec une certaine appréhension et curiosité que je redécouvrais, pour une semaine, New York, rencontrant mes anciens collègues ou amis, essayant de retrouver mes marques. En huit ans, j'ai trouvé la ville et sa façon de vivre bien changées (mais est-ce la réalité ou simplement une impression?) D'abord, la ville, ses habitants sont plus calmes, beaucoup moins d'agressivité sous-jacente ; le métropresque toujours aussi salene fait plus peur, les quartiers réputés peu surs comme Harlem ou même le Bronx se parcourent, la nuit tombée, sans appréhension particulière (même le jazz qui semble avoir perdu de son attrait ne déchaîne plus autant d'enthousiasme ; et pourtant une soirée au Blue Note -une des plus célèbres, sinon la plus célèbre boite de jazz du mondevaut toujours le déplacement ) Beaucoup de constats s'imposent, décalés par rapport à ceux des années antérieures; ainsi, en désordre: -la diversité est partout, le mélange des ethnies (on parle à New York de races) -à commencer parles couples mixtes-est général, sans qu'on puisse distinguer, a priori, des tensions particulières. La gentillesse, l'amabilité des anciennes minorités sont frappantes. Cette gestion de la diversité se vit plus qu'elle ne se théorise. -les personnes en surpoids sont en nette progression, ne soulevant d'ailleurs aucune curiosité particulière.