Le projet PIM Décomposition des classes 2/2 (original) (raw)

Le projet PIM Décomposition des classes 1/2

Présentation des résultats du Projet PIM et de son avancement. Projet cherchant à définir et à décrire le plus objectivement une lettre afin de mettre en place une fonte et de mettre en évidence les disparités régionales et temporelles des légendes monétaires. Je présente ici la mise en place des critères retenus pour différencier les allographes.

Projet de loi pour les institutions 2

L'enfant doit être protégé contre les pratiques qui peuvent pousser à la discrimination raciale, à la discrimination religieuse ou à toute autre forme de discrimination. Il doit être élevé dans un esprit de compréhension, de tolérance, d'amitié entre les peuples, de paix et de fraternité universelle, et dans le sentiment qu'il lui appartient de consacrer son énergie et ses talents au service de ses semblables. Extrait des droits de l'enfance.

UML2 pour dévlopé

UML (Unified Modeling Language) est aujourd'hui le langage de modélisation d'applications informatiques le plus important du marché. Il est supporté par la quasi-totalité des outils de développement, lesquels permettent l'édition de modèles UML et offrent des capacités telles que la génération de code, de test et de documentation, le suivi d'exigences ou encore le Reverse Engineering.

Un projet informatique en classe de seconde : le projet Globe

1986

Le travail de la classe de janvier a fin avril a ete entierement tourne vers la realisation d'un projet collectif : le dessin sur ecran graphique avec recopie d'ecran, et table tracante, d'un globe terrestre avec les continents, meridiens et paralleles, les parties cachees etant eliminees. Le globe peut tourner autour d'un axe equatorial, d'un axe polaire, et le meridien origine peut etre choisi.

Le projet RAMPE

2005

Le projet RAMPE a pour objectif de concevoir, développer et expérimenter un système actif et interactif d'assistance et d'information aux personnes aveugles pour favoriser leur autonomie et leur mobilité dans les transports publics. Ce système est destiné à équiper les points d'arrêt des transports collectifs (bus, tramway) ou à être installé dans un pôle d'échange. Il s'appuie sur des assistants personnels numériques (PDA) utilisant une synthèse vocale et communiquant par liaison sans fil WIFI avec les bornes fixes installés aux arrêts. L'application implantée sur le PDA filtre l'information et la présente vocalement. Elle s'adapte automatiquement au type de système d'information disponible aux arrêts. Elle réagit aux informations temps-réel envoyées par l'arrêt. Une attention particulière a été portée à la conception de l'interface homme machine et à la gestion des priorités dans le système d'information vocal temps-réel.

Sur le BPP 2

«Les politiques identitaires, c'est ce que veut le système... parce qu'elles nous divisent.» Né en 1942, David Hilliard fut le «Chef d'Etat-major» du BPP. Il a écrit un livre (This Side of Glory, 1993) dont nous rendrons compte dans un autre article. Il anime actuellement la Huey P. Newton Foundation qui dispose d'un site (http://web.archive.org/web/20140209051831/http://blackpanther.org/index.htm) et il donne régulièrement des conférences sur son parti. Comme cette conférence sur l'histoire du BPP (https://www.youtube.com/watch?v=Rx6if3UBMJw) s'adresse à de jeunes étudiants et étudiantes, David Hilliard prend soin de leur rappeler rapidement le contexte national et international : en octobre 1966, quand Newton et Seale créent à deux le «Parti des panthères noires pour l'autodéfense», les Afro-Américains n'ont toujours pas le droit d'entrer dans de nombreux restaurants, hôtels, clubs, dancings, etc. Les écoles sont ségréguées tout comme les fontaines et les toilettes. Le mouvement pour les droits civiques bat son plein, notamment sous la direction de Martin Luther King, mais les Afro-Américains sont toujours empêchés d'exercer leur droit de vote. Des étudiants afro-américains et euro-américains du Nord descendent dans le Sud pour inscrire les Afro-Américains sur les listes électorales. Ils sont souvent l'objet de brutalités policières ou de passages à tabac par des citoyens euro-américains en colère devant des flics impassibles et ils sont parfois assassinés. Mais ces difficultés d'inscription ou cette sous-inscription sur les listes électorales existent aussi dans le Nord, et ce sera d'ailleurs l'une des tâches que se fixera le BPP à partir de 1968, quand il décidera d'inscrire les Afro-Américains d'Oakland sur les listes électorales. Au niveau international, rappelle David Hilliard, les Américains sont engagés dans la guerre du Vietnam et les soldats afro-américains sont amenés à tuer des Vietnamiens qui ne leur ont causé aucun tort. Mais le fait que ces Afro-Américains risquent leur vie dans le Sud-Est asiatique pour défendre la «démocratie» contre le «communisme» ne leur donne aucun droit, bien au contraire, lorsqu'ils rentrent au pays. Ils sont traités comme des «citoyens de seconde zone», des sous-hommes sur les marché du travail et du logement, dans les rues et les magasins du Nord comme du Sud. Une telle contradiction ne peut que radicaliser une importante minorité d'entre eux. Dernier point important, souligné par David Hilliard pour évoquer le contexte de la naissance du BPP, Malcolm X est assassiné en 1965. Or ce dirigeant musulman est une véritable icône chez les prisonniers afro-américains. Ses apparitions à la télévision et à la radio 1 sont très suivies, ses écrits circulent dans les prisons comme dans les ghettos afro-américains. Son assassinat constitue un véritable traumatisme qui ne fait qu'ajouter du prestige à ses idées les plus radicales. En exposant ces quelques éléments contextuels, David Hilliard souhaite indiquer que le BPP, même s'il fut créé en octobre 1966 par deux copains dans une seule ville de Californie (Oakland), s'inscrit dans le cadre d'un contexte beaucoup plus large 2. Après avoir décrit rapidement les quelques événements fondamentaux précédant la naissance du BPP, Seale prend soin d'expliquer à ses jeunes auditeurs et auditrices que, au départ, le BPP employait une terminologie très militaire (les dirigeants des sections locales étaient appelés des «capitaines» !) et très structurée sur un modèle étatique, terminologie qui pourrait surprendre son auditoire actuel : Huey 1 On peut entendre et voir Malcolm X dans de nombreuses vidéos (comme par exemple celle sur «la balle ou le bulletin de vote» https://www.youtube.com/watch?v=8zLQLUpNGsc) ce qui nous donne un petit aperçu de son charisme, charisme qu'on retrouve d'ailleurs chez presque tous les dirigeants importants du mouvement des droits civiques ou des mouvements pour la libération des Afro-Américains : Martin Luther King, Huey P. Newton, Fred Hampton, Eldridge Cleaver, Rap Brown, etc. Sur Internet, de nombreux documents d'archives reproduisent leurs discours enflammés. 2 Cf. à ce propos l'excellent article de Roberto O. Self «The Black Panther Party and the Long Civil Rights Era » dans l'ouvrage collectif In Search of the Black Panther Party (Duke University Press, 2006) dont il sera rendu compte dans un prochain texte.