"Scepticisme et religion dans le Contra Academicos d'Augustin", Scepticisme et religion. Constantes et évolutions de la philosophie hellénistique à la philosophie médiévale. Etudes réunis et éditées par A.-I. Bouton-Touboulic et Carlos Lévy, "Monothéismes et philosophie", Brepols, 2016, p. 171-192. (original) (raw)

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References (14)

  1. Vt. cred. 25 : Intellegere et opinari impliquent l'acte de credere ; mais credere n'im- plique pas intelligere ; et il n'y a pas de « faute » (culpa) à croire quelque chose si l'on comprend que ce n'est pas comme la savoir. 50 Voir sur ce point I. Bochet, infra, p. 209. 51 Vt. cred. 26. 52 Conf. I, 9.
  2. Vt. cred. 27 : Cum de religione, id est, cum de colendo atque intelligendo Deo agitur. La seconde partie de la définition excède le cadre de la religion civique romaine ; et ibid. 34 : Deum quaerendum Deoque seruiendum.
  3. De ord. I, 1 ; cf. Bouton-Touboulic 2004, 263-266.
  4. HP III, 9-12. Voir Spinelli, supra, p. 101.
  5. C. Acad. I, 1 : Etenim fortasse quae uulgo fortuna nominatur occulto quodam or- dine regitur. De même, le second prologue affirme que, pour lutter contre « les tempêtes de la fortune », il faut implorer le secours divin « en toute dévotion et en toute piété » (II, 1). Le début du livre III, discutant du secours que la fortune peut apporter pour parvenir à la sagesse, évoque, comme exemple, l'aide d'une aliqua occultior potentia pour traverser la mer Égée.
  6. C. Acad. I, 1 ; et II, 4, à propos du rôle de minister de la Providence joué par Romanianus à l'égard d'Augustin.
  7. Sextus Empiricus, HP II, 101 ; AM VIII, 154-158 ; Diogène Laërce IX, 97.
  8. C. Acad. II, 6. Voir Dross 2010, 201-202.
  9. Ibid. III, 42 : multis quidem saeculis multisque contentionibus, sed tamen eliquata est, ut opinor, una uerissimae philosophiae disciplina.
  10. Cicéron, Nat. deor. I, 10 : Non enim tam auctoritatis in disputando quam rationis momenta quaerenda sunt. ; et Luc. 60 ; ibid. 8 pour la revendication de la liberté attachée à la philosophie néoacadémicienne.
  11. C. Acad. I, 8 : Etsi concedam, inquit, esse sapientem, non omnia tamen eius probo.
  12. Ibid. I, 9 : iam enim libertate, in quam maxime nos uindicaturam se philosophia pollicetur, iugum illud auctoritatis excussi. L'image du « joug » de l'autorité est reprise par Alypius (ibid. II, 30). Cf. Lütcke 1968, 157. 106 Ibid. I, 24.
  13. Ibid. II, 30 ; III, 14 ; III, 35.
  14. Comme l'atteste l'enseignement qu'il dit avoir trouvé dans l'Hortensius : il faut chérir la sagesse en elle-même et non telle doctrine particulière ; cf. Conf. III, 8. 109 Cf. De ord. II, 27 : Auctoritas autem partim diuina est, partim humana, sed uera, firma, summa ea est, quae diuina nominatur. 110 On sait que Sextus Empiricus juge aussi « incohérente » la « partie historique » de la grammaire (y compris pour l'exposé des choses vraies et qui sont arrivées), qui ne comporte aucun critère de vérité (AM I, 263-269 ; tr. Dalimier in Pellegrin 2002).