La Bulgarie et la Turquie : comment européaniser les relations (original) (raw)

L'européanisation de la politique de développement régional en Turquie (thèse/doktora tezi)

2012

Turkey, a candidate for the European Union, faces European pressure to adapt its administrative structures and institutional frameworks of its rules and European standards concerning the implementation of structural funds. In this respect, in the context of pre-accession process to the EU, the Turkish state is coming to reformulate its policy of regional development. In this sense, the major reform undertaken by the Turkish state is that of the creation of development agencies in the twenty-six statistical regions NUTS II. Meanwhile, it is also the establishment of a decentralization process. Indeed, these reforms refer to Europeanization of territorial governance. However, the changes that are implemented do not depend exclusively on EU recommendations. Morever, it is necessary to consider the territorial dimension of the Europeanization process. What are the different factors and the various dynamics that determine the change in regional development policies? To what extent can we attribute the change to the EU conditionality? How Europe proceeds to urge the Turkish government to reformulate its regional policies? What is the role of sub-national level in the change? These are the questions that this study attempts to provide some answers.

Les relations Turquie-Union européenne à la suite du sommet de Varna

Les responsables de la République de Turquie et de l’Union européenne se sont réunis à Varna en Bulgarie. Le sommet a rassemblé le président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan, le président du Conseil de l’UE, Donald Tusk, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et le président bulgare Boïko Borissov dont le pays accueillait le sommet. Le sommet était important pour les relations entre la Turquie et l’UE qui stagnent et connaissent des tensions. Le but du sommet était de passer en revue les relations entre la Turquie et l’UE et de repousser les problèmes litigieux derrières les points d’entente. Au cours du sommet, l’UE a exprimé au plus haut niveau ses attentes à la Turquie et la Turquie en fait de même.

Les relations diplomatiques turco-azerbaïdjanaises

26 ans se sont écoulés depuis la signature le 14 janvier 1992, de l’Accord sur l’instauration de relations diplomatiques entre la Turquie et l’Azerbaïdjan. La République de Turquie a été le premier pays à reconnaitre la République d’Azerbaïdjan le 9 novembre 1991, après la proclamation de son indépendance le 30 août 1991. En 2010, un Accord d’entraide et de partenariat stratégique a été signé entre les deux pays. Cet accord a élevé les relations bilatérales au niveau d’une alliance militaire. L’article 2 de l’accord stipule la création d’une perspective de sécurité et de défense en commun en cas d’attaque d’un ou de plusieurs pays tiers contre l’une des parties (à savoir la Turquie ou l’Azerbaïdjan), en référence à l’article 51 de la Charte des Nations-Unies sur le droit de légitime défense. En vue de renforcer davantage les relations bilatérales, un mécanisme du Conseil de coopération stratégique de haut niveau a été fondé en 2010 au niveau présidentiel. Ainsi, les relations bilatérales ont été élevées au plus haut niveau sur le plan militaire, politique, énergétique et autre.

La relation non-existante entre la Turquie et les pays post-soviétiques

2018

Les politologues se sont discutés de la question pour comprendre et savoir si le présidentialisme avait tendance à favoriser ou bien à réduire la démocratie, mais leurs attentions et intérêts ont été inclinés de la question importante d'appréhender pourquoi les pays présidentiels sont diffèrents entre eux? Ce dernière est particulièrement pertinente plupart de la Terre où les constitutions présidentielles sont la norme et où on nous n'attend pas de la changer. Notamment en Afrique, en Amérique latine et en Eurasie post-soviétique.

Les relations commerciales entre la Grèce et la Bulgarie

Balkan studies, 1981

After a brief introductory presentation of the recent achievements in trade between Greece and Bulgaria, its structural aspects, its obstacles and difficulties and its differences in the two countries, the author examines in the Part I, the spectacular quantitative and qualitative evolution which occured in the short period 1975-79. In the Part II, on the other hand, the author shortly examines several ways of intensification, in the future, of the economic relations between the two countries. The author also argues that the favourable results will be so important for both countries that despite all difficulties linked with the socialistic block on the one hand and the EEC on the other, the effort will be worth while.

La Biélorussie : entre russification et européanisation

Les influences du modèles de gouvernance de l’Union européenne sur les PECO et la CEI, 2011

Depuis l’élargissement de 2004, la Biélorussie est frontalière de l’Union européenne (UE). Pourtant, contrairement à l’Ukraine et à la Moldavie, l’État biélorusse ne s’est pas donné pour objectif d’adhérer à l’UE. La Biélorussie a préféré les projets d’intégration portés par Moscou. Dans le même temps, le pouvoir biélorusse insiste de manière constante sur son refus d’un modèle qui serait imposé de l’extérieur par les institutions occidentales. Cette relation particulière au processus de construction européenne est le plus souvent réduite à la seule question du régime politique « néo-soviétique » dirigé par Alexandre Loukachenko depuis 1994. Pourtant, au-delà du régime en place, il s’agit de s’interroger sur les représentations de la société biélorusse au sujet de l’Europe et de ses institutions. Celles-ci sont fortement conditionnées par l’évolution d’une identité biélorusse marquée par un fort degré de russification. Or, si le référent national semble de mieux en mieux intégré par les Biélorusses, l’idée d’une « identité européenne » en tant que référent supra-national est loin de faire l’unanimité tant elle semble entrer en concurrence avec l’idée d’un espace civilisationnel russo-centré.