Agir pour la Terre (original) (raw)
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2020
Avec le soutien de : Dans le cadre d'un programme commun : CULTIVONS LE FUTUR#05 Q ue l'on soit militant pour la cause climatique, que l'on fasse preuve de climato-scepticisme, que l'on s'attelle à de petits efforts chez soi pour aider notre planète à respirer un peu mieux ou que l'on ne se sente pas concerné, on ne peut y échapper… La question climatique fait partie de notre environnement. Elle le constitue même, cet environnement qui se réchauffe… Cette planète qui se réchauffe. Cette planète dont la terre permet à de petites graines de s'épanouir et de grandir afin que nous puissions nous nourrir. Cette planète dotée d'une nature prodigieuse, qui a créé des milliers d'interconnexions entre des animaux et des plantes, ayant pour effet que l'un ne puisse vivre sans l'autre et vice-versa. Cette planète qui, grâce à ses somptueux paysages, nous coupe très souvent le souffle… Cette planète à qui nous coupons le souffle d'une tout autre manière. Loin de lui être reconnaissant, il semble que nous lui en demandions toujours plus. Le modèle de développement productiviste et consumériste que nous suivons exige d'elle de nous offrir cinq fois ce qu'elle est en capacité d'offrir. Alors comment faire pour lui empêcher d'être en burnout ?
2016
L'architecture à l'état gazeux L'architecture est un art terrestre. Elle l'est semble-t-il à double titre, puisque si son unique lieu est la Terre, c'est encore à celle-ci qu'elle emprunte l'ensemble de ses matières. Lors, l'architecte serait comme naturellement porté vers le terrestre. Or il semble, notamment depuis un siècle, que l'imaginaire architectural a épousé la cause d'un vide nommé espace, conçu comme atmosphère et lieu d'une vision. Il est vrai qu'en se redéfinissant comme « jeu savant, correct et magnifique des volumes assemblés sous la lumière » 1 , l'architecture a pu désobéir à ses traditions, et revendiquer une présence irréductible à la technique ou aux styles. La question demeure cependant de savoir si, ce faisant, elle ne risque pas de n'être touchée que du regard, et d'oublier qu'il faut, avant de s'épanouir sous quelque lumière que ce soit, s'ancrer au sol.
ELFe XX-XXI, 2022
« Nous mettons le monde en sceǹe, ce n'est pas du theátre ca ? […] Le vrai chantier c'est celui-la. Laissez-entrer le theátre du monde 1. » Olivier Penot-Lacassagne : Avant de revenir sur vos différentes expériences et expérimentations scéniques, quelques mots sur votre parcours. Vous êtes chercheuse au CNRS, historienne de la littérature et des sciences moderne, spécialiste du XVII e siècle. Vous êtes également metteure en scène (et nous parlerons de Cosmocolosse, de Gaïa Global Circus, du Théâtre des Négociations, de la trilogie INSIDE, Moving Earths, Viral). « Dans ma pratique, écrivez-vous, le théâtre et la recherche sont inséparables. Je mène un travail de compagnie et mes travaux de chercheuse au CNRS dans un dialogue permanent. » Mais comment ce dialogue est-il né ? Comment la chercheuse est-elle devenue metteure en scène ? Et pourquoi ? Cette articulation définit en effet un espace singulier… Frédérique Aït-Touati : Je répondrai tout à l'heure sur la part biographique, le comment de votre question, et vais commencer par le plus difficile, le pourquoi, qui est au coeur de ma recherche puisque ma thèse en littérature comparée, soutenue en 2008 et intitulée « Poétiques du discours cosmologique au XVII e siècle », porte sur l'inséparabilité du savoir et des arts. Au XVII e siècle, les débats cosmologiques donnent lieu à une vaste production textuelle qui relève des domaines que nous identifions désormais sous les termes de « science » et de « littérature », mais qui n'en présentent pas moins les traits récurrents d'une poétique commune. Qu'ils relèvent explicitement de la fiction (Francis Godwin, Margaret Cavendish, Cyrano de Bergerac) ou qu'ils mettent au premier plan leur ambition scientifique (Kepler, John Wilkins, Robert Hooke, Fontenelle, Christiaan Huygens), les textes cosmologiques sont le laboratoire de nouvelles stratégies de construction de la crédibilité. Analysant les modalités spécifiques que littérature et science déploient pour décrire le monde, de l'espace infini de l'astronomie à l'infiniment petit de la microscopie, je me refusais à séparer, intellectuellement et artistiquement, les deux champs. Ce dualisme, constitutif de notre modernité, me désespérait : pourquoi et comment on Mettre en scène la Terre Elfe XX-XXI, 11 | 2022
Ensemble! Sauvons la Terre!, 2020
Pour sauver la planète il nous faut voir a une consommation plus écologique de la part de tous les citoyen(ne)s de la Terre! Magasins a grande surface mais jamais acheter sur l’Internet Tout près de chez-vous acheter bio Végan écolo et nous sauverons la planète. Plus aucun pétrole car il nous tue tous et toutes.
IRD Éditions eBooks, 2022
Les confLits pour La terre 543 s'exprimer sur la place publique. S'il existe partout des différends et des instances d'autorité pouvant en assurer la prise en charge, au moins en théorie, certaines sociétés font tout pour empêcher leur expression publique (parfois en neutralisant ceux qui en sont porteurs par la répression ou l'expulsion), là où d'autres admettent que des dysfonctionnements peuvent émerger en leur sein parce qu'elles sont en situation de pouvoir les traiter. Il y a bien une différence entre les situations de tension et de conflit, mais le rôle du chercheur n'est pas d'écarter l'étude des premières pour ne s'occuper que des secondes, car ce serait réduire son objet aux sociétés avancées qui peuvent exprimer l'existence de dissensions en leur sein et leur donner des supports institutionnels et juridiques d'expression et de résolution éventuelle.
2022
La géographie de l'alimentation s'articule autour d'un paradoxe tenace : malgré des surplus agricoles chroniques et une production alimentaire permettant de nourrir plus de 10 milliards de personnes, la malnutrition demeure un enjeu majeur. D'une part, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estime que 825 millions de personnes, soit environ 11 % des 7,6 milliards d'habitants qui composent la population mondiale, vivaient en état de famine chronique en 2017. En régression depuis le début du siècle, la proportion de terriens souffrant de la faim s'est remise à croître depuis 2010. On constate également une augmentation du nombre de personnes en situation d'insécurité alimentaire au sein des pays capitalistes avancés. D'autre part, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que plus de 1,9 milliard d'adultes étaient en surpoids en 2016, parmi lesquels on comptait 650 millions d'obèses. Si le nombre de personnes qui mangent trop ou mal est en forte croissance, celui des obèses a quant à lui triplé en proportion depuis 1975. À ces deux dimensions de la malnutrition, il faut en ajouter une troisième, la faim cachée, qui a trait aux carences en micronutriments (vitamines et minéraux) dont souffre une partie importante de la population mondiale. La coexistence de la dénutrition, du surpoids et des carences alimentaires constitue le triple fardeau de la malnutrition avec lequel de très nombreux pays doivent composer. La croissance de la production alimentaire ne se traduit donc pas automatiquement par un accès équitable aux aliments (De Koninck, 2015).
Liberte, 1992
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Résister à la nouvelle course pour la terre
Ecologie & politique, 2011
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Remerciement : Nous tenant tout d'abords grâce à cette partit du travaille remercier tout personne ayant de près ou de loin participé à la mise en place et à l'organisation ainsi que à la structure du travail. Plus particulièrement certaine personnes, M. ALIOUA Mehdi, professeur de sociologie ainsi qu'encadrant de la CDM de Science politique, qui nous a permis de produire un travail de groupe, ainsi que de développer ou accentuer certain agilité à travailler en groupe. Nous tenons à remercier, les militants actifs du collectif ASWAT, notamment Aida, qui lors d'un entretien à représenter le collectif avec une certaine touche personnelle qui nous a aider a avancé. De plus, en la personne de M. BENALLA Samad, plus communément appelé Doc Samad, de son précieux point de vue en tant que professionnel, dans les milieux médical et celui de la radio. Et pour finir avec le plus important tous les personnes, qui se sont prêté au jeu de l'interview, ces personnes qui on anonymement participer à la cause LGBT Maroc, et qui nous ont ainsi offert les témoignages de leurs situation.