14 janvier l'enquête (original) (raw)

We are fortunate, however, that two Tunisian journalists, Abdelaziz Belkhodja and Tarek Cheikhrouhou, undertook the colossal task of researching the events of the Tunisian revolution, leaving no stone unturned in their quest for the truth. The result of their meticulous work is an important book, 14 January: The Investigation (2014), which takes us on a detailed, hour-by-hour journey of what transpired during the Tunisian revolution. The book is the result of a rigorous investigation, numerous interviews with the key players in those crucial last hours of the Ben Ali regime, and access to a number of military intelligence reports and official government meeting reports, making the product a serious work of investigative journalism, the likes of which the Arabic-speaking world has not seen in decades. Perhaps more important, all the accompanying documents and testimonials have been published by the two authors on a website dedicated to the book. A HOOVER INSTITUTION ESSAY The Story of the Tunisian Revolution SAMUEL TADROS http://www.hoover.org/sites/default/files/research/docs/tadros\_tunisianrevolution\_final\_\_1.pdf

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Conférence SLP 14 nov

La dynamique de l'infinitif en indo-européen, 2020

La présente communication se propose de revenir sur la genèse du type de véd. dhyai (av. -diiāi), que la communis opinio se figure comme un cognat du morphème d’infinitif médio-passif gr. -σθαι, bien que tout le détail en diffère et que la phonétique s’y oppose absolument. Le type d’hom. φέρεσθαι « pour emporter » (chez soi) ou « pour être emporté » (par les vents) représente l’adaptation d’un plus ancien *φέρεσ-θι « pour emporter », recaractérisé par la finale adverbiale -αι du type χαμαί « à terre » qui est l’avatar d’un ancien directif/allatif *dʰĝʰ-m-éh2 « en direction de la terre » recaractérisé par la désinence *-i de locatif. La grammaticalisation en médio-passif s’est opérée par focalisation sur l’objet (« ceci est à faire » = « à être fait ») ou sur le causataire (« je te confie ceci à faire »). C’est de façon circulaire qu’on admet un étymon *-dʰyeh2-ey [dat. sg.] pour rendre compte de véd. -dhyai, dont le parèdre *-dʰyeh2-i [loc. sg.] n’est mécaniquement posé qu’afin de conserver l’équation impossible avec gr. -σθαι. L’abandon de cette comparaison ruineuse permet de voir dans le véd. -dhyai (av. -diiāi) le reflet d’indo-ir. *-dʰyā (< *-dʰyeh1) recaractérisé par une finale de datif *-ay empruntée aux autres types d’infinitifs. Le type d’osque sakrafír requiert aussi une finale *-dʰyeh1, dont le tokharien commun *-tsi offre une variante remaniée en pseudo-datif (post-i.-e. *-dʰyey). L’examen des faits védiques conduit à la conclusion que la formation du type śayádhyai « pour gésir » repose sur l’univerbation d’un ancien injonctif volitif ou déontique *ḱey-h2e « je dois gésir », *ḱey-o « qu’il gise » suivi d’un morphème *dʰyeh1 avec univerbation. Les faits italiques s’accordent avec cette reconstruction, ainsi que les données tokhariennes. Le tour hitt. uwalḫuwanzi dāi- « il se dispose à attaquer » (formé sur dāi- « (se) placer » < *dʰéh1-i-, présent de la conjugaison en -ḫi) fournit la clef de ce morphème agglutiné, qui est en propre l’instrumental du néo-nom-racine *dʰíh1- formé sur le degré zéro du thème de présent *dʰéh1-i-, et qui se prolonge dans le véd. dhī́- [fém.] « dessein, projet ». Par permutation des catégories nominales et verbales, le morphème véd. -dhyai, avec ses comparanda en sabellique et tokharien, offre le contrepoint du tour hittite.

Outil 14.1i

L'audit interne consiste en un examen méthodique et objectif, réalisé par un ou des membres du personnel de votre organisation, dont le responsable qualité, en vue de déterminer si votre système qualité satisfait aux exigences de la norme. Il s'agit donc en quelque sorte de vérifier si vos documents (procédures, plans, politiques, etc.) sont bien appliqués, conformément à ce qui est écrit.

Chapitre 14

La structure financière en marchés parfaits L orsqu'une entreprise a besoin de capitaux pour financer des projets à long terme, elle doit décider de la façon de les obtenir et donc du type de titres qu'elle souhaite émettre. Même si l'entreprise n'a pas besoin de capitaux supplémentaires, elle peut tout de même décider d'émettre de nouveaux titres, par exemple pour rembourser d'anciennes dettes ou racheter une partie de ses propres actions. Selon quels principes l'entreprise fonde-t-elle son choix d'émettre plutôt telle ou telle catégorie de titres ?

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