CIVILISATIONS DU PROCHE-ORIENT SÉRIE III RELIGIONS ET CULTURE 2 DES CONTRÉES AVESTIQUES À MAHABAD, VIA BISOTUN (original) (raw)
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LA CIVILISATION DE L’INDUS ET LE MYTHE ARYEN – TOME TROISIÈME –
KADATH, 2020
Troisième et avant-dernier volet de la série de textes consacrés à la civilisation de l’Indus, cet article fait le point sur l’écriture et la religion. Ces deux sujets, par ailleurs étroitement liés, suscitent encore aujourd’hui de nombreuses théories contradictoires. Ainsi en est-il pour les quelque cinq mille inscriptions répertoriées à ce jour : alors que certains linguistes tentent toujours d’en percer la signification, d’autres refusent d’y voir même l’expression d’une écriture. La religion quant à elle divise tout autant les spécialistes, partagés sur l’interprétation à donner aux rares témoins archéologiques disponibles. C’est donc vers d’autres horizons qu’il faut se tourner, pour l’essentiel une riche iconographie et une comparaison avec les croyances pré- et post-harappéennes. Jacques Gossart, La civilisation de l’Indus et le mythe aryen (tome III). 47 pages, 33 illustrations.
RÉSUMÉ Cet article porte sur deux fêtes traditionnellement liées au monde pastoral et nomade de l'Ouest Algérien : la wa c da de Sid Ahmad Majdûb (daïra d'Asla) et celle de Sidi Yahia (daïra de Sebdou). Organisées en l'honneur de saints locaux, ces manifestations rendent compte tout à la fois des vicissitudes du monde rural des hautes steppes algériennes, des transformations des identités et des rapports sociopolitiques locaux ainsi que des effets des politiques de patrimonialisation de la culture locale. Les populations nomades et pastorales, en Algérie comme ailleurs, se trouvent de plus en plus confrontées aux divers processus de patrimonialisation initiés par les autorités politiques, dans le sillage des recommandations internationales. Aux travers de ces deux exemples nous souhaitons en particulier illustrer l'idée selon laquelle les populations pastorales et nomades savent user et se préserver des actions patrimonialisantes. Avaliable here : http://www.whpress.co.uk/NP/Supp.html
El jardín de la voz, 2022
Le P. Jean Lethilleux (1900-1998) fut membre de la Société des Missionnaires d’Afrique, connus comme « Pères Blancs ». Son ouvrage inédit Le mouton dans les tribus nomades présahariennes est un recueil de textes en arabe algérien des Ouled Naïl et en français avec un grand nombre de notes explicatives et ethnographiques. Les textes ont été recueillis à Djelfa et Géryville (El Bayadh), chez les Ouled Naïl, très probablement pendant les périodes où il vécut dans ces deux villes : de 1934 à 1936, à Géryville et entre 1945-51 et 1953-56 à Djelfa. Le Père Lethielleux était probablement en train de préparer son édition. Le texte est suffisamment achevé pour qu'il ait pu être envoyé à l'éditeur et que les épreuves de son impression aient pu être commencées. Il se compose de cinq parties, dont chacune est constituée d'une série de textes en français et en arabe algérien, dans ses variétés de Djelfa et Géryville (El Bayadh) : 1. Le troupeau (deux textes) ; 2. La vie du troupeau (15 textes) ; 3. Le mouton au pâturage (15 textes) ; 4. La vie du berger (11 textes) ; et 5. Les produits du troupeau (21 textes). Un total de 301 notes de bas de page avec des explications ethnographiques et lexicales ont été ajoutées à tous ces documents. Les textes sont suivis de trois annexes : la première est une liste alphabétique des mots clés et leur emplacement dans le texte ; la deuxième est une liste des mots clés des proverbes qui sont dans les notes manuscrites avec leur emplacement ; la troisième contient deux documents : « 25 ans de bilan d'un troupeau » entre 1930 et 1955, et « les variations des moutons » entre 1919 et 1932. L'ouvrage est précédé d'une brève introduction intitulée « Avertissement ». Jean Lethilleux (1900-1998) fue miembro de la Sociedad de Misioneros de África, conocida como “Padres Blancos”. Su obra inédita Le mouton dans les tribus nomades présahariennes (El cordero en las tribus nómadas presaharianas) es una recopilación de textos en árabe argelino de los Ouled Naïl y su traducción al francés con numerosas notas explicativas y etnográficas. Los textos fueron recogidos en Djelfa y Géryville (El Bayadh), entre los Ouled Naïl, muy probablemente durante los periodos en los que vivió en estas dos ciudades: de 1934 a 1936, en Géryville, y entre 1945-51 y 1953-56 en Djelfa. El padre Lethielleux probablemente estaba preparando su edición. El texto está bastante acabado como para que se hubiera enviado al editor y se hubieran iniciado las pruebas de imprenta. Consta de cinco partes, cada una de las cuales se compone de una serie de textos en francés y árabe argelino, en sus variedades de Djelfa y Géryville (El Bayadh): 1. el rebaño (dos textos); 2. la vida del rebaño (15 textos); 3. El cordero en los pastos (15 textos); 4. La vida del pastor (11 textos); y 5. Los productos del rebaño (21 textos). A todos estos documentos se les ha añadido un total de 301 notas a pie de página con explicaciones etnográficas y léxicas. Los textos van seguidos de tres apéndices: el primero es una lista alfabética de palabras clave y su ubicación en el texto; el segundo es una lista de las palabras clave de los proverbios que figuran en las notas manuscritas con su ubicación; y el tercero contiene dos documentos: “25 años de balance de un rebaño” entre 1930 y 1955, y “las variaciones de los corderos” entre 1919 y 1932. El libro va precedido de una breve introducción titulada “Advertencia”.
LES MISSIONS PAROISSIALES DE LA COMMUNAUTÉ APOSTOLIQUE AÏN KAREM
Les missions intérieures du XVIe au XXe siècle (France-Italie), Actes réunis par Christian Sorrel et Frédéric Meyer. Chambéry : Institut d’Études Savoisiennes, t. VIII, 2001, 2001
La Communauté apostolique Aïn Karem est issue du diocèse de Paris, capitalisant sur une histoire remontant aux années 1930. Elle pratique des missions d'évangélisation dans des paroisses ou des sanctuaires, qui font face à des interrogations sur les méthodes et les résultats de leurs effets.