2016 : Journée transversale "La Lumière" (Paris) : Actes (original) (raw)

Actes du séminaire transversal, La lumière, le 7 avril 2016 au Collège de France [En ligne]

Avec Maréva U, Laurène Haslé et Angelica Valencia Diaz, j'ai organisé le séminaire transversal de l’École doctorale de l’École Pratique des Hautes Études qui s'est tenu le 7 avril 2017 au Collège de France. Le thème était "La lumière" et a donné lieu à des communications d'historiens, de linguistes, de scientifiques, d'anthropologues ou de spécialistes des religions. Les actes de ce séminaire transversal sont disponibles en ligne sur le site officiel de l'EPHE : www.ephe.fr/recherche/ecole-doctorale/journees-transversales

Groupe de réflexion Classe dehors à Paris. Synthèse des travaux. Année 2021 2022

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2022

Un groupe de praticiennes et praticiens de la classe dehors Le groupe de réflexion est constitué de 25 praticiens et praticiennes-21 de la maternelle, 2 de l'élémentaire, 1 au collège, 1 au lycée-ayant commencé les pratiques d'enseignement dehors entre septembre 2019 et novembre 2021. Entre octobre 2021 et juin 2022, cinq rencontres de deux ou trois heures consécutives ont eu lieu, le plus souvent à l'Académie du climat. Les objectifs généraux fixés par les coordinatrices pour le groupe sont les suivants Réfléchir en commun sa pratique Accéder à des ressources utiles à sa pratique Partager des expériences Produire ensemble un écrit en fin de session qui pourra être partagé Objectifs La finalité est le développement et l'essaimage de la pratique la « classe dehors » à Paris. Ce groupe d'échanges souhaite y contribuer. Cet écrit répond au dernier objectif. Il a été amorcé par les coordinatrices à la suite des travaux et des échanges du groupe au cours des rencontres. Il a été relu et amendé par l'ensemble des participantes 1. La première séance a permis de faire émerger collectivement les attentes (page 4) et les envies (page 6) vis-à-vis du groupe et de la pratique de « classe dehors ». Les coordinatrices ont sollicité 2 intervenantes et 1 intervenant pour répondre à ces attentes et envies au cours des séances suivantes. Nous ne détaillons pas ciaprès chaque rencontre, pour nous concentrer sur le processus d'élaboration des réflexions partagées.

Co-organisatrice du colloque "La nuit se lève" avec Aurore Monod Becquelin, Jacques Galinier et Mickaëlle Lantin Mallet. Le 18 décembre 2015, Paris

Dans la pensée inuit animiste, le monde sensible était non seulement peuplé d'hommes et d'animaux, mais également d'une multitude d'êtres non humains (que nous désignerons « esprits » par commodité) aux caractéristiques aussi variées qu'il est possible de les imaginer. Un trait pourtant semble les distinguer de ce que l'ethnographie rapporte généralement de ses enquêtes à travers les cinq continents : ces esprits n'apparaissent pas comme des êtres liés par essence au monde de l'obscurité. Une singularité que l'on propose de mettre en correspondance avec une autre ligne de force de la pensée inuit, voyant prévaloir dans les relations entre obscurité et lumière et entre nuit et jour complémentarité et continuité plutôt qu'opposition.

Actes en lignes : Atelier Positions / Trans 20 février 2014

Au grand théâtre du pluralisme culturel, dans le magasin des accessoires conjonctifs, tous n’offrent pas un même degré de maniabilité. Le multi n’est pas sans lourdeur, certes, mais aisément saisissable. L’inter affiche une grande souplesse quoiqu’il soit, parfois, difficilement rattachable. Le et, court, droit et rigide, ne pose aucun problème. Reste le trans qui possède tous les défauts de ses qualités : telle une membrane plastique, extensible ou réductible à souhait, extrêmement malléable, ses mouvements sont imprévisibles et imprédictibles. Pourtant, c’est le plus utile de tous les outils de liaison. Le comparatisme littéraire ne saurait désormais s’en passer malgré les caprices de son usage. Décliné, entre autres, en transdisciplinaire, transculturel ou translinguistique, il illustre le principe fondateur du groupe « Transpositions », composante du Centre interdisciplinaire d’étude des littératures (Université d’Aix-Marseille). Afin de faire retour sur les orientations épistémologiques et méthodologiques du groupe, le 20 février 2014 (Maison de la Recherche, bâtiment 2, salle 2.44) s’est tenue une journée d’études sous la forme d’un atelier de réflexion intitulé « Position : trans ». Programme Le groupe « Transpositions » fédère des axes de recherche dont le point commun est de questionner le principe du transfert et de la translation entre des cultures (traversées), des langues (traductions), des médiums artistiques (transmédialité) et des périodes historiques (traces).

Les nouveaux récits de la "Ville Lumière" à l'heure de la mondialisation

Le sujet dans la cité, 2016

Symbole de la modernisation et du progrès, le train est un élément important de l’imaginaire contemporain, un opérateur de rêves et de formes urbaines. Toutefois, le train est aussi un support aux projections politiques les plus complexes quand il s’agit de produire de nouveaux récits métropolitains. En témoigne notre recherche sur le Grand Paris Express (GPE), ce futur mode de locomotion, qui suscite toutes les convoitises politiques. Car, sous l’asphalte, l’enjeu est évidemment le « schéma d’ensemble » qui présidera à l’organisation spatiale de la métropole parisienne pour les décennies à venir. Nous montrerons sous cet angle comment les discours actuels sur le train, et plus spécifiquement le GPE, tracent les grandes lignes, souvent utopiques, des nouveaux récits de la « Ville Lumière ».