Les problématiques de gestion des connaissances dans les entreprises Présenté par : Encadré par (original) (raw)
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Les défis de la gestion des connaissances : une étude de cas
2009
Cet article propose de mettre en evidence les defis de la gestion des connaissances en explorant les relations d'interdependance entre les structures organisationnelles, les communautes de pratique et les dispositifs materiels. L'analyse de ces relations fait d'abord apparaitre la formation d'agregats de communautes de pratique entre lesquels des pratiques – et des connaissances – communes se developpent difficilement. Le premier defi de la gestion des connaissances est alors de favoriser le developpement de telles pratiques. L'analyse de ces relations fait egalement apparaitre que le probleme des agregats de communautes est un probleme chronique. Apparait alors un second defi, enchâsse dans le premier, qui est de developper une gestion des connaissances suffisamment souple pour s'adapter a l'emergence continuelle de nouveaux agregats de communautes.
Gestion des connaissances et les entreprises libanaises
Proche-Orient Études en management, 2017
Knowledge Management have emerged gradually as a major challenge for organizations and it became an important subject of research. The degree of internal knowledge transmission shows the development's strategy aiming to ensure a competitive advantage (Davenport & Pursak, 1998). To give more value to individual knowledge at the organizational level, it requires a management that ensures the sharing, dissemination and creation of knowledge (Nonaka & al, 1995). Lebanese organizations are aligned with this strategic innovation but at different levels. In the following we will precise the challenges and opportunities encountered by the Lebanese firms. RESUMÉ La question de la diffusion et de la transmission de la connaissance est apparue progressivement comme un enjeu majeur pour les organisations et fut un objet de multiples recherches. Le degré de transmission des savoirs et des connaissances internes est l'une des stratégies de développement des organisations pour assurer un avantage compétitif (Davenport et Pursak, 1998). Or la valorisation de la connaissance individuelle au niveau organisationnelle nécessite un management qui assure le partage, la diffusion et la création de connaissances (Nonaka et al, 1995). Il s'agit de la gestion des connaissances. Les organisations libanaises se sont alignées avec cette innovation stratégique mais à des degrés différents. On précisera dans ce qui suit les défis et les opportunités que rencontrent les entreprises libanaises.
Le management des connaissances
Le management des connaissances est un processus organisationnel permettant l'acquisition, la structuration, l'intégration et la diffusion de la connaissance des individus à travers l'organisation, en vue d'offrir une aide au travail et d'accroître l'efficacité organisationnelle. Sa mise en oeuvre repose sur deux approches, celle de capitalisation qui privilégie la formalisation des connaissances de manière à en constituer un stock réutilisable et celle de collaboration qui repose sur les interactions sociales entre les individus dans le but de favoriser le partage et l'apprentissage en continu. Ces approches se concrétisent par la mise en oeuvre d'un système de management des connaissances dont le succès repose sur la prise en compte des facteurs humains et organisationnels. Dans ce contexte, les outils informatiques vont jouer le rôle indispensable de vecteurs de transmission de la connaissance au sein de l'organisation.
Forte, directrice de thèse, qui m'a témoigné une confiance et un support sans faille. Par l'intelligence et la qualité de ses réflexions, elle a efficacement guidé mes travaux. Elle m'a également impliqué activement dans plusieurs projets, qui m'ont permis d'orienter et de valider mes recherches. Aux Professeurs Alexander Bergmann, François Bodart et Erik Duval, ainsi qu'à Monsieur Alain Guttmann, membres du jury, pour leurs remarques et conseils avisés et pertinents. Au Professeur André-René Probst, pour m'avoir lancé sur la voie de la recherche et de l'assistanat. A Arnaud Dufour, pour ses conseils, ses encouragements et pour les nombreux week-ends laborieux, émaillés de discussions enrichissantes, que nous avons partagés. A Eric Pearmund, Ivan Moura, Juan Diego Vazquez et Emmanuel Fernandes, pour leur collaboration efficace et pour m'avoir permis de me concentrer sur mes recherches. A Moira Boulangé, pour ses relectures attentives ainsi que pour ses critiques constructives, et à Agnès Devenyi pour sa contribution à la rédaction des textes en anglais. A mes collègues et amis, pour les nombreux bons moments passés ensemble, et pour leur aide, directe ou indirecte, à l'aboutissement de ce travail. Aux personnes qui m'ont permis de confronter mes recherches au monde de l'entreprise, et plus particulièrement à Madame et Messieurs Jean-Pierre Baur, Gulbin Jeanmonod, Alexandre Zbinden, Jean-Marie Repond, Rémy Tzaud et Philippe Noreille. A mes parents, pour m'avoir toujours soutenu et encouragé dans mes choix.
De la gestion des connaissances aux organisations orient�es conception
Revue Internationale Des Sciences Sociales, 2002
La gestion des connaissances apparaît aujourd'hui comme un symptôme des crises des apprentissages collectifs : depuis plusieurs décennies, la gestion des connaissances a pris, dans les entreprises, la forme d'acteurs dédiés (experts du bureau d'études, du laboratoires de recherche, de l'administration,…) mais l'émergence d'un capitalisme de l'innovation intensive met précisément en crise ces acteurs chargés de la conception. Elle amène à poser la question non plus du « transfert » des connaissances mais du management des apprentissages croisés essentiels à la production collective de connaissances. Ce management suppose en fait de nouvelles formes d'organisations dites « organisations orientées conception » qui, favorisant les cycles d'apprentissages collectifs, permettent la régénération simultanée des objets, des savoirs, et des métiers.
Documentation et bibliothèques, 2008
L’auteure passe en revue la gestion des connaissances (GC) au Québec dans trois secteurs primaires : les grandes universités québécoises, le secteur public provincial et certaines grandes organisations du secteur privé. Une bonne partie des projets de GC implique un partenariat entre ces trois secteurs. Cependant, la GC au Québec souffre encore d’un manque de visibilité nationale et internationale. L’article ne propose pas un inventaire exhaustif puisque seules des sources publiques ont été consultées afin d’établir le portrait « public » de la GC au Québec. Les exemples présentés ont pour but d’illustrer les types de gestion des connaissance en cours au Québec tout en posant la question de son avenir.