CONNECTEURS, MARQUEURS, OPERATEURS… LA NOTION D' OPERATEUR DISCURSIF (original) (raw)

ANALYSE MÉTAOPERATIONNELLE DES MARQUEURS DISCURSIFS I MEAN ET MEANING

This analysis aims to show that the discursive markers I mean and meaning, which are a microsystem because they are interchangeable in the discursive linear, do not codify the same metalinguistic mechanism. Through a metaoperational analysis of examples collected from oral and written discourses, we show, on the one hand, that with I mean, the segment introduced to its right end is assertive due to the occurrence of the grammatical subject "I". On the other hand, we prove that meaning does not allow the utterer to introduce new information. The speaker reintroduces already-mentioned information. Consequently, it is not possible to say exactly the same thing using different words or constructions. These findings can help the teacher of the English language to better present these operators.

LE CAPITAL-MARQUE DES MARQUES DE DISTRIBUTEURS

Cette recherche présente les premiers résultats d'une étude qualitative dédiée ati capital-marque des marques de distrihutettrs en France. L'objectif est, d'une part, de conceptualiser les dimetisions du capitalmarque dans le cas particulier des marques de distributeurs (MDD) et, d'autre part, d'identifier ¡es effets retotir sur l'image du distributeur en cas d'incident critiqtte. D'après les résultats de l'étude, il semble qu'à trois stratégies de marqties de distributeurs correspondent deux conceptualisations de capital-marque : le capital-marque des marques de service (incluant les stratégies de marque enseigne et de marque drapeau) et des marques propres. Mots clés : Capital-marque-Marque de distributeurs-Marque de service-Effets retour.

Sur les opérateurs multiplicativement liés

Mémoires de la Société mathématique de France, 1971

Sur les opérateurs multiplicativement liés Mémoires de la S. M. F., tome 27 (1971), p. http://www.numdam.org/item?id=MSMF\_1971\_\_27\_\_3\_0 © Mémoires de la S. M. F., 1971, tous droits réservés. L'accès aux archives de la revue « Mémoires de la S. M. F. » (http:// smf.emath.fr/Publications/Memoires/Presentation.html) implique l'accord avec les conditions générales d'utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d'une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/

LES ACTEURS DES RELATIONS INTERNATIONALES

Si on se situe dans une perspective traditionnelle, on ne retiendra que les acteurs formels, ceux qui ont un statut juridique. Si on se place dans une nouvelle approche, on va avoir du mal à cerner les contours de tous les acteurs, avec la difficulté de définir les acteurs comme acteurs des relations internationales. Un syndicat agricole est-il un acteur des relations internationales ? Le MERCOSUR a été créé avec une perspective d'intégration régionale, qui s'est ensuite bloquée, avec des pays différents, et des marchés très ouverts, question politique. L'éventail des acteurs internationaux est donc large. Marcel Merle, dans Sociologie des relations internationales : par acteur des relations internationales, « il faut entendre toute autorité, tout organisme, tout groupe, et même à la limite, toute personne susceptible de « jouer un rôle », dans le champ social, en l'espèce sur la scène internationale ». C'est donc une définition large. Cette discipline se développe dans les années 60 sous l'influence de la pensée du président Wilson : en 1919, il développe sa vision des relations internationales, l'idée que le monde westphalien n'est plus en mesure de maintenir la paix, en mettant en place une organisation internationale destinée à assurer la sécurité collective, et abandonner une culture politique archaïque (diplomatie secrète), l'avenir du monde étant la démocratie et les Etat-Nations, fin de la conception patrimoniale de l'Etat. Cette vision se traduit par le démantèlement des empires. Si l'Etat incarne la nation, elle ne va pas se lancer dans la guerre suicidaire. Quel autre système que la démocratie pourrait permettre un contrôle des gouvernants. La démocratie est donc un gage de paix. C'est le courant idéaliste. Ce mouvement doit s'accompagner d'études sur les relations internationales. Il faut donc former, et étudier les réalités telles qu'elles sont, avec l'idée que ce ne sont pas les individus qui sont mauvais. L'être humains pour les idéalistes n'est pas forcément mauvais, mais ce sont les institutions qui influent sur sont comportement. Ce courant rejette l'approche classique, et s'appui sur des mécanismes de régulation. Pour que se développe la discipline, il faut qu'il y ait une démocratie, et en France cette discipline est monopolisée par les juristes et les historiens : on se concentre sur l'histoire diplomatique, avec les acteurs formels (Etats), d'où une prise de retard dans l'approche sociologique, une approche qui essaye de prendre en compte la réalité telle qu'elle est. Selon Marcel Merle : « tenir un rôle peut consister à prendre une décision, à entreprendre une action ou tout simplement avoir une influence sur ceux qui prennent une décision ». Guillaume Devin, dans Sociologie des relations internationales : « la croissance du nombre des organisations internationales et des phénomènes transfrontières, ajoutée à une vision moins réifiée de l'Etat, a complexifié la représentation du système international, sans pour autant que les approches concurrente soient exclusives ». On a une croissance du nombre des organisations internationales. On ne parle plus de flux, mais de mouvements, flux de toutes sortes liés aux communications. On a pendant longtemps exalté l'Etat, mais il y a aujourd'hui une crise de l'Etat, car le libéralisme fait perdre de l'importance à l'Etat ; les centres de décisions ne sont plus dans les capitales nationales. La décision qui est prise au niveau de l'Etat dépend de la prise en considération de facteurs qui nous échappent totalement. Ce qui pose problème, c'est donc l'identification des acteurs, mais aussi le rôle qu'ils peuvent jouer. Ce qui est difficile, c'est de mesurer le rôle que l'acteur peut avoir. Le terrorisme international est aujourd'hui au coeur des esprits, et oblige à prendre des décisions,

Remarques a propos de l'operateur de Dirac cubique

Comptes Rendus Mathematique, 2010

Remarks on the Kostant Dirac operator In 1999, Kostant [Kos99] indroduces a Dirac operator D_g/h associated to any triple (g, h,B), where g is a complex Lie algebra provided with an ad g-invariant non degenerate nsymetric bilinear form B, and h is a Lie subalgebra of g such that the bilinear form B is non degenerate on h. Kostant then shows that the square of this operator safisties a formula that generalizes the so-called Parthasarathy formula [Par72]. We give here a new proof of this formula. First we use an induction by stage argument to reduce the proof of the formula to the particular case where h = 0. In this case we show that the vanishing of the first ordrer term in the Kostant formula for D2_g/h is a consequence of classic properties related to Lie algebra cohomology, and the fact that the square of the cubic term is a scalar follows from such considerations, together with the Jacobi identity.