Cosmogonie et cosmologie zoroastriennes : l’état de Mélange et la Rénovation finale (Bundahišn 24-36) (original) (raw)
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Réécriture mythique, réécriture cosmogonique : les Cosmicomiche ou l’abécédaire calvinien
Cahiers d'études romanes, n°29, 2014
Les idées de science, de mythe et de réécriture sont intrinsèques à la notion même de cosmogonie, mais la cosmogonie calvinienne fait l’objet d’une double réécriture : celle d’un mythe universel, la naissance du monde, couplée à une réécriture interne à l'œuvre de l'auteur, riche de cosmogonies toujours différentes. Ainsi génératrice de multiplicité, la cosmogonie est en corrélation avec d’autres thèmes calviniens fondamentaux qui ponctuent, et dessinent, un véritable territoire d’écriture : image, mémoire, matière, etc. Enfin, elle constitue, au sein de ce territoire, un point de départ de l'écriture et de l'imaginaire ; elle est table rase de toute notion préexistante. Dans un univers en naissance, Calvino peut ainsi définir à sa guise une série de concepts qui correspondent aux concepts clefs de l’ensemble de son œuvre. Mots clés : Calvino, cosmogonie, réécriture, mythe, science, concepts clefs, territoire
Zénon, Physica II et III : Cosmogonie, cosmologie, astro-/metéorologie [2001]
Le texte de la présentation figure dans le fichier 2, l'exemplier dans le fichier 1. Le texte se subdivise en trois parties: (sans numéro) Les préalables ; 1. Ebauche de plan ; 2. Zénon et Héraclite : le problème de l'air. [ À propos de Zénon SVF I, 102 et d'Héraclite F 31ab avec son contexte chez Clément Strom. V. 105, 3 (T 642).]
Révolution de la cosmogénèse La Revue Atlantico http://www.atlantico.fr/decryptage/big-bang-theorie-qui-pourrait-tout-changer publie le 5 janvier 2015 un article, mis à jour le 9 janvier 2015, sous le titre : Big Bang, la théorie, qui pourrait tout changer : ce ne serait pas l’origine de l’univers Selon l’auteur, Aurélien Barrau, professeur à l’Université Joseph Fourier, membre de l’Institut universitaire de France, c’est une idée qui fait son chemin. Ce n’est pas une certitude mais elle est confortée par « un faisceau d’indices » qui tend à démontrer que « le Big Bang n’est pas l’origine de l’Univers [notre Cosmos physique fini] mais que celui-ci serait éternel ». Il se serait donc déjà produit un nombre infini de fois dans le passé et il se recommencerait cycliquement en rebondissant sur lui-même. Bref, il s’agirait précisément de la théorie qui est développée — celle-ci avec certitude — ici même, sous le titre : Le Grand Rebond ou l’Eternel Retour Essai d’épistémologie et modèle philosophique de cosmogénèse Richard Sünder Rappelons que le Pr Robert Vallée, ancien maître de conférences à l’Ecole polytechnique (Paris), puis Professeur à l’Université de Besançon, a confirmé « l’intérêt de votre entité Zéro-Infini », c’est-à-dire de l’Arithmétique thermodynamique, qui est le point de départ de la cosmogénèse de Richard Sünder. Ceci, après avoir vérifié la validité de la solution rigoureuse des équations d’Einstein pour le premier instant du Temps physique de notre Cosmos par l’Américain Howard Robertson et le Britannique Arthur Walker qui, sans se connaître, l’ont découverte, chacun de son côté, en 1935 (voir Jean Charon dans Vingt-cinq siècles de cosmologie, Livre de poche, La Connaissance de l’Univers, Le Seuil, et Jean-Pierre Luminet dans Géométries de la variété univers, Groupe d’astrophysique relativiste, Observatoire de Paris, section de Meudon). Les précédents papiers, qui ont ce même titre, sont des extraits du texte présent qui est le seul complet et à jour. Les cosmologistes se croient les seuls capables d'éclairer l'origine de notre Cosmos physique qui est actuellement fini. Stephen Hawking a montré que, faute de thermodynamique, les cosmologies ne sont que des systèmes d'équations inertes, sans aucun feu pour les mettre en mouvement. Le présent essai démontre que l'origine de notre Cosmos relève exclusivement de la métaphysique, c'est-à-dire du couple Zéro-Infini, qui est la solution du Théorème d'incomplétude de Kurt Gödel. "Je vous confirme l'intérêt de votre entité Zéro-Infini" a écrit à Richard Sünder le Pr Robert Vallée, ancien maître de conférences en mathématiques à Polytechnique (Paris), puis professeur à l’Université de Besançon, après avoir vérifié les travaux de Howard Robertson et d'Arthur Walker qui ont trouvé, séparément et sans se connaître, en 1935, la solution rigoureuse des équations d'Einstein, à savoir le point mathématique de volume spatial nul mais de densité et de température infinies, c'est-à-dire l'énergie infinie. Afin de tout comprendre, Richard Sünder avait fondé son modèle sur l'Infini vide, qui est l'inertie infinie. Il lui manquait le contraire dialectique de l'Infini, qui ne pouvait être que le Plein infini contenu dans un volume spatial nul, de densité et de température infinies, qu'il baptisa aussitôt… Zéro. Il avait L’Infini vide… Ne manquait que son contraire absolu : le Zéro plein ! L'Arithmétique — donc le couple Zéro-Infini — est la Thermodynamique absolue : température infinie en Zéro et température zéro en l'Infini. Elle met donc en mouvement le Modèle géométrique de l'Arithmétique parce qu'elle est le feu absolu et la glacialisation, donc la cristallisation, absolue. Research Interests: Philosophie, Métaphysique, Physique, cosmologie, cosmogénèse, and Epistémologie, Histoire des Sciences, Stephen Hwking, Jean-Paul Sartre, Être et Néant Abstract : Stephen Hawking constate que les cosmologies sont des systèmes d’équations dépourvus de toute dynamique. Ce sont des photographies mais ce n’est pas un film. « Qu’est-ce donc qui met le feu aux équations pour qu’elles produisent un monde ? » demande-t-il. Réponse : Rien ! Absolument rien ! Il faut alors recourir au « Créateur » ! Dieu ! Ce qui ne résout rien car se pose la question sans solution : « Et le Créateur ou Dieu, qui l’a créé, lui ! » Conclusion : les cosmologistes sont dans l’impasse. Le problème qu’ils cherchent à résoudre est sans solution ! Jean-Pierre Changeux constate que la conscience émerge du système cérébral comme l’iceberg émerge de l’océan, ce qui ne définit strictement en rien ce qu’est la conscience et son extension, l’esprit. La conscience et l’esprit n’ont donc aucune existence physique (Littré). Ce sont de « pures constructions de l’esprit » (Robert) qui relèvent de la mythologie, donc de la Métaphysique. Paradigme des paradoxes : pour récuser la Métaphysique, les scientifiques sont contraints d’utiliser la pensée, produit métaphysique de l’encéphale ! Auteur du Modèle géométrique de l’Arithmétique Thermodynamique, Richard Sünder démontre alors que la genèse de notre Cosmos physique fini relève bel et bien de la Métaphysique, que les cosmologistes sont mal armés pour la résoudre et que seul le métaphysicien est armé pour y parvenir ! Et il résout l’énigme métaphysique de l’origine… Aboli bibelot d’inanité sonore (Mallarmé).
VIGIL, JM. – Le défi de la nouvelle cosmologie aux religions [Fr].
https://servicioskoinonia.org/relat/411.htm [Cet'article est aussi publié en espagnol et en anglais].
Dans la première partie, l'auteur présente schématiquement les différents défis que la nouvelle cosmologie pose aux religions, qui proviennent du changement survenu dans l'image du cosmos, ainsi que dans l'image de la nature, dans l'image de l'être humain et même dans l'image de Dieu. Dans une seconde partie, il déduit, de ces changements d'images, les défis globaux à l'image traditionnelle de la religion : un géocentrisme profond, qui demeure, la nécessité de " dire adieu au monde d'en haut ", de réviser le concept de révélation, de dépasser le bibliocentrisme, l'anthropocentrisme et l'anthropocentrisme que l'auteur qualifie d'épistémologique, ainsi que le théisme au profit d'un postthéisme. Il conclut en évoquant la conviction que nous sommes dans un "nouveau temps axial".
Stephen Hawking constate que les cosmologies sont des systèmes d’équations dépourvus de toute dynamique. Ce sont des photographies mais ce n’est pas un film. « Qu’est-ce donc qui met le feu aux équations pour qu’elles produisent un monde ? » demande-t-il. Réponse : Rien ! Absolument rien ! Il faut alors recourir au « Créateur » ! Dieu ! Ce qui ne résout rien car se pose la question sans solution : « Et le Créateur ou Dieu, qui l’a créé, lui ! » Conclusion : les cosmologistes sont dans l’impasse. Le problème qu’ils cherchent à résoudre est sans solution ! Jean-Pierre Changeux constate que la conscience émerge du système cérébral comme l’iceberg émerge de l’océan, ce qui ne définit strictement en rien ce qu’est la conscience et son extension, l’esprit. La conscience et l’esprit n’ont donc aucune existence physique (Littré). Ce sont de « pures constructions de l’esprit » (Robert) qui relèvent de la mythologie, donc de la Métaphysique. Paradigme des paradoxes : pour récuser la Métaphysique, les scientifiques sont contraints d’utiliser la pensée, produit métaphysique de l’encéphale ! Auteur du Modèle géométrique de l’Arithmétique Thermodynamique, Richard Sünder démontre alors que la genèse de notre Cosmos physique fini relève bel et bien de la Métaphysique, que les cosmologistes sont mal armés pour la résoudre et que seul le métaphysicien est armé pour y parvenir ! Et il résout l’énigme métaphysique de l’origine… Aboli bibelot d’inanité sonore (Mallarmé).