Du Moyen Âge au Renouveau national, l’incroyable malléabilité de la figure d’Alexandre (original) (raw)
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RiMe. Rivista dell'Istituto di Storia dell'Europa Mediterranea (ISSN 2035-794X), 2016
É con piacere che il presente Fascicolo di RiMe ospita sei articoli interamente dedicati alla storia mediterranea di Età Moderna, tutti realizzati da dottorandi e giovani ricercatori che offrono molti spunti di riflessione euristica e storiografica. Tre di essi confluiscono nel Dossier monografico dal titolo 'Reti consolari nel Mediterraneo. Percorsi e metodologie a confronto (secc. XVII-XIX)' a cura di Annalisa Biagianti, autrice anche di un contributo al suo interno. Dossier che si collega molto bene anche agli altri tre saggi che pubblichiamo nella sezione "Varia" di questo numero. Cosi facendo RiMe prosegue una positiva tradizione di opportunità e sostegno nei confronti dei colleghi che si avviano alla ricerca, offrendo loro spazi per pubblicare i propri studi. Era già accaduto in maniera sistematica in due occasioni: con il Dossier 'Le identità nella Corona d'Aragona. Nuove linee di ricerca' a cura di Esther Martí Sentañes (Numero 10, giugno 2013) e con il Focus 'Corona d'Aragona-Sardegna', sempre a cura di Esther Martí Sentañes (Numero 11/1, dicembre 2013). Due positive esperienzea cui vanno aggiunti numerosi altri contributi di giovani colleghi distribuiti nei 17 numeri della rivista pubblicati nei suoi primi otto anni di vita-che la Rivista intende continuare anche in futuro.
Félix Alexandre, un éventailliste pour l'impératrice
Napoléon III, le magazine du Second Empire, 2019
Un éventailliste pour l’impératrice, A Fan-maker for Empress Eugénie Félix Alexandre (1822-1887) To read the article, please order a copy of the magazine : https://www.hommell-magazines.com/magazines-histoire/napoleon-3/numero-46.html « Le plus éminent des éventaillistes français de notre époque est M. Alexandre qui a créé une école, un style moderne qu’il a l’intention d’imprimer sur le XIXe siècle ». Ainsi débute l’éloge du baron Brisse dans l’Album de l’Exposition universelle de 1855. Âgé de trente-trois ans, Félix Pierre Victor Alexandre est déjà une des personnalités parisiennes qui contribue, par son talent, à la renommée de la France. Depuis plusieurs années déjà, il suit la voie tracée par les éventaillistes du XVIIIe siècle, dont l’excellence demeure le modèle. Artiste et entrepreneur, il figure parmi les premiers artisans à initier le renouveau de l’éventail artistique à partir des années 1850. L’école dont parle le baron Brisse est en réalité un vivier de peintres et de dessinateurs qui gravitent dans l’entourage de l’éventailliste. Durant le Second Empire, les éventails issus de ses ateliers sont recherchés par toute la haute société européenne, et chaque élégante suit les pas de l’impératrice Eugénie dont il est un des fournisseurs les plus appréciés. Cette renommée, Félix Alexandre la doit à son exigence d’artiste et d’entrepreneur. Aujourd’hui méconnu, Alexandre jouit pendant près de vingt-cinq d’un succès remarquable qui n’a pour équivalent que l’exceptionnelle qualité des éventails qu’il propose.
Alexandre chez les Malles : techniques d’un récit dans l’Anabase d’Arrien
Dialogues d'histoire ancienne. Supplément, 2010
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La figure réinventée au début de la période moderne
Dans la vaste constellation de termes qui circonscrivent, chacun à leur manière, la représentation, sa forme et ses enjeux, la notion de figure, figura latine, occupe une place de choix, en vertu notamment de son partage étymologique avec d'autres termes, au premier rang desquels se trouve « fi ction » : « Figura, de la même famille que fi ngere [façonner], figulus [potier], fictor [sculpteur, modeleur] et effigies [image, portrait, statue], signifie à l' origine "objet façonné". » C' est par ce retour étymologique que s'ouvre l'étude fondatrice qu'Erich Auerbach a consacrée à l'évolution philologique du mot figura de ses origines jusqu'à la fin du Moyen Âge, identifiant par là une notion centrale de l'histoire des représenta-tions en Occident. Il y mettait ainsi en évidence comment cette figure prend son origine dans une interprétation spirituelle de l'histoire sainte pour devenir, par transfert, un mode de représentation. Dans cette lignée étymologique, Jacques Le Brun ajoute que « fi gura, c' est la chose façonnée, la structure, la forme, le genre littéraire ou la "fi gure" de style, en tout cas une chose construite ou la construction de quelque chose, une forme plastique et mouvante (…).
L’éclectisme du style dans le « canard » au xixe siècle
2018
Éditeur : Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques Année d'édition : 2018 Date de mise en ligne : 27 novembre 2018 Collection : Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques ISBN électronique : 9782735508631 http://books.openedition.org Édition imprimée Nombre de pages : 141 Référence électronique CABOURET, Bernadette (dir.). La communication littéraire et ses outils : écrits publics, écrits privés. Nouvelle édition [en ligne]. Paris : Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 2018 (généré le 03 mars 2020). Disponible sur Internet : http://books.openedition.org/cths/3605. ISBN : 9782735508631.