Le politique le vrai projet militaire (original) (raw)
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viXra, 2018
Il s'agit d'un travail académique, une sorte de fiction ou philosophie politique ,qui n' a rien avoir avec une réalité quelconque mais pour développer l'imaginaire du politique en ces temps de misère politique. Ce travail de recherche n'est pas exhaustif et ouvre la voie à un débat plus large sur le rôle du politique.
Le politique : projet militaire Rachid ELAÏDI
Il s'agit d'un travail académique, une sorte de fiction ou philosophie politique ,qui n' a rien avoir avec une réalité quelconque mais pour développer l'imaginaire du politique en ces temps de misère politique . Ce travail de recherche n'est pas exhaustif et ouvre la voie à un débat plus large sur le rôle du politique.
Actuel Marx, 2010
La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-actuel-marx-2010-1-page-150.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
La politique comme pure acte de guerre
Science politique, Université de Moncton c'est un des traits fondamentaux des sociétés occidentales que les rapports de force qui longtemps avaient trouvé dans la guerre, dans toutes les formes de guerre, leur expression principale se sont petit à petit investis dans l'ordre du pouvoir politique. -Michel Foucault 1 Nous sommes donc en guerre les uns contre les autres; un front de bataille traverse la société toute entière, continûment et en permanence, et c'est ce front de bataille qui place chacun de nous dans un camp ou dans un autre. Il n'y a pas de sujet neutre. On est forcément l'adversaire de quelqu'un. -Michel Foucault 2 Il est de bon ton en philosophie politique d'opposer la politique et la guerre et de faire contraster le calme de la vie pacifiée dont témoignerait l'existence d'un lien social harmonieux avec la violence des discordes qu'illustrerait cette fois l'absence d'un tel lien. Du méson que louaient les Grecs de l'époque classique au contrat que célèbrent quant à eux les Modernes, la conviction apparaît la même selon laquelle la politique participerait principalement d'une domestication des conflits et d'un dépassement des différends effectuée en vue d'une réconciliation qui serait autre chose qu'un simple modus vivendi.
2017
Réduction, résilience, résistance… À bien des égards, ces trois mots sont emblématiques de la manière dont le champ des études autochtones s'est développé depuis le milieu du XXe siècle. Malgré les différences qui distinguent ces concepts les uns des autres, ils partagent tous trois une même ambition critique. Ils mettent en évidence un rapport qui est, d'une part, fortement inégalitaire et, d'autre part, historiquement construit existant entre des entités coloniales et les Peuples autochtones sur lesquels elles ambitionnent d'exercer un pouvoir. La réduction évoque l'ensemble des processus violents par lesquels ce pouvoir s'exprime, se consolide et s'accroit. La résilience renvoie à la capacité des Peuples autochtones de perdurer sous ces assauts constants, de contrecarrer l'aliénation que les régimes assimilationnistes de tout acabit tentent de leur imposer. La résistance voit la locomotive coloniale pour la Bête qu'elle est, et aspire à en renverser la vapeur. Elle vise la transformation même des mentalités, des processus et des institutions violentes qui président aux souffrances et au mal-être si souvent associés à ce qu'un Rapporteur spécial des Nations-Unies a nommé la « situation autochtone », au singulier (Stavenhagen 1999). La force critique de ces trois termes est indéniable. Collectivement, ils éclairent cette situation qui a été qualifiée de « coloniale », de « subalterne », de « violence structurelle », de « racisme systémique », d' « oppression », de « marginalité » et de bien d'autres termes. Au cours des six dernières décennies, les structures de domination qui pèsent sur les Peuples autochtones ont été décrites, analysées, disséquées, pourchassées jusque dans leurs radicelles les plus fines par des chercheurs engagés dans ce qu'elles et ils considèrent être une science émancipatrice, voire une science 1 Martin Hébert est professeur au département d'anthropologie de l'Université Laval. Il est membre du Groupe de recherches sur les imaginaires politiques en Amérique latine (GRIPAL), chercheur régulier au CIÉRA et membre du Centre pour la conservation et le développement autochtones alternatifs (CCDAA). Ses recherches portent sur les imaginaires politiques, les violences sociales et les dynamiques conflictuelles. Elles sont ancrées dans des terrains au Mexique (Chiapas et Guerrero), au Québec et au Guatemala. Il s'intéresse, notamment, aux rapports entre les peuples autochtones et l'industrie forestière, à l'ethnographie des violences structurelles et aux expériences autonomistes autochtones.
Ateliers d'anthropologie, 2015
Fondé en 1920 par la puissance mandataire française, le Liban se caractérise par sa composition sociopolitique unique au Proche-Orient. Cette démocratie parlementaire regroupe dix-sept minorités religieuses dont la représentation politique est organisée proportionnellement à leur importance démographique et politique, dans le cadre d'un « Vouloir de la politique » Ateliers d'anthropologie, 42 | 2015 « Vouloir de la politique » Ateliers d'anthropologie, 42 | 2015 9 10 À l'époque où cette discussion a lieu, en 2002, Wael Abou Faour, le secrétaire général de la Munazzame depuis 1997, vient de quitter son poste pour se consacrer pleinement à ses fonctions dans le conseil du commandement du PSP (qu'il avait intégré dès 1999). Zaher Ra c ad, son successeur à la tête de la Munazzame de 2002 à 2005, est un shiite de la Bekaa ; il intégrera également le conseil du commandement du PSP où il sera chargé des relations « Vouloir de la politique » Ateliers d'anthropologie, 42 | 2015
Nouvelles FondationS, 2006
Distribution électronique Cairn.info pour Fondation Gabriel Péri. © Fondation Gabriel Péri. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.