"Les droits de l'art", Colloque international organisé par Anna Arzoumanov, Mathilde Barraband, Geneviève Bernard-Barbeau et Marty Laforest, Université du Québec à Montréal (original) (raw)
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L'Art, un acte de participation au monde (sous la dir. de Sylvie Mokhtari)
Cette anthologie analytique a été élaborée dans la continuité de la thèse de doctorat à partir d’une sélection de 1660 textes écrits par le théoricien de l’Art corporel, sociologique et critique, François Pluchart, fondateur des revues "arTitudes" (1971-72), "arTitudes international" (1975-77) et "L’Art vivant" (1984-85).
Le droit d'exposition des oeuvres graphiques et plastiques
Soutenance : 10 décembre 2011 – Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille Mention : Très honorable avec les félicitations du jury, présentation à un prix de thèse, autorisation de publication Membres du jury : M. Jean-Michel BRUGUIÈRE, Professeur à l’Université Pierre Mendès France – Grenoble II, rapporteur M. Frédéric POLLAUD-DULIAN, Professeur à l’Université Panthéon-Sorbonne – Paris I, rapporteur M. Antoine LATREILLE, Professeur à l’Université Paris-Sud XI, examinateur M. Emmanuel PUTMAN, Professeur à l’Université Paul Cézanne – Aix-Marseille III, examinateur M. Hervé ISAR, Professeur à l’Université Paul Cézanne – Aix-Marseille III, directeur de recherches
Journée d'études "Dialogues entre art et droit"
2020
Les domaines de l'art, de la culture et du patrimoine se situent au croisement de diverses disciplines. Parmi elles, le droit et l'histoire de l'art proposent des sujets d'étude à problématiques similaires, que les chercheurs envisagent à travers leurs disciplines respectives. Cependant, leurs études, souvent menées en parallèle, ne se croisent pas toujours. Le besoin de spécialisation que requiert la recherche scientifique tend inévitablement vers une discipline unique. Cette journée d'étude a pour objectif de faire dialoguer les chercheurs spécialisés dans le droit d'un côté et dans l'histoire de l'art, du patrimoine et du marché de l'art de l'autre. Cette démarche se situe dans le prolongement des doubles formations universitaires qui intègrent la pluridisciplinarité dans le secteur. Il s'agit de créer une opportunité pour les chercheurs qui appartiennent à des domaines différents de communiquer et de travailler ensemble. L'enrichissement mutuel que peut apporter la confrontation des socles théoriques et des outils propres à chaque discipline peut, espère-t-on ici, avoir des bénéfices non seulement dans le cadre d'échanges ponctuels mais aussi dans les relations des chercheurs à long terme. Les thématiques abordées, choisies en fonction de leur capacité à cristalliser des problématiques qui se situent à l'intersection du domaine juridique et des études en histoire de l'art, seront abordées dans le cadre de présentations en binômes. Elles permettront l'échange de concepts et de méthodes, et ouvrent les portes à de futures coopérations. Organisatrices : Mme Sofia Roumentcheva, doctorante en droit de la propriété intellectuelle à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Mme Ina Belcheva, doctorante en histoire de l'art et patrimoine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Bulletin d'histoire politique, 2012
Tous droits réservés © Association québécoise d'histoire politique; VLB Éditeur, 2012 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'
2021
Le champ français de l’histoire de l’art a vu se consolider de véritables corpus de théories et de pratiques questionnant les poncifs qui ont façonné, parfois implicitement, notre manière de penser et de donner à voir l’histoire de l’art. Cette pluralité d’outils critiques, témoin de la dynamique d’échanges entre les sphères universitaires, militantes et artistiques, a permis aux différent.e.s acteur.trice.s des mondes de l’art de se réapproprier les débats politiques et sociaux de la lutte contre les stéréotypes de classe, de race et de genre et d’en- gager une révision critique des fondements de l’histoire de l’art, de son écriture et des enjeux de pouvoir qui s’exercent au sein des institutions qui la pense et la diffuse. Ce colloque entend interroger la pluralité des stratégies qui contribuent au chantier de la relecture. Il s’agira ainsi d’explorer, au-delà des narrations dominantes et des pratiques hégémoniques, les autres territoires et récits qui contribuent à la fabrique de l’art et de son histoire.