PirVE AMBIOFLUX. Caractérisation interdisciplinaire et intersectorielle des attracteurs paysagers des ambiances piétonnes du quartier de Hautepierre à Strasbourg (original) (raw)
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Le Centre pour la Communication Scientifique Directe - HAL - SHS, 2011
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HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2020
Bien que traduisant une différence de température entre ville et campagne, l'îlot de chaleur urbain n'en reste pas moins un phénomène à l'hétérogénéité marquée au sein même du milieu urbain. Il existe en effet non seulement une variabilité temporelle journalière, saisonnière et dépendante des conditions météorologiques, mais également une distribution spatiale liée aux caractéristiques des multiples surfaces urbaines. Ces paramètres spatiaux relèvent aussi bien de la morphologie urbaine que de l'occupation du sol. L'objectif de cette étude est de fournir une analyse de la variabilité spatio-temporelle de l'îlot de chaleur urbain strasbourgeois exposant à travers elle le rôle de ces différents paramètres. Son originalité réside dans le fait que la spatialisation du phénomène s'appuie en partie sur une classification LCZ de Strasbourg. Les résultats issus des premières analyses statistiques, ainsi que la cartographie, soulignent l'effet de mitigation de la végétation, ainsi que l'exacerbation de l'îlot de chaleur urbain dans les LCZ les plus minéralisées et à la densité de bâti importante.
Ambiances urbaines et espaces publics
2003
L'expose relate dans ce qui suit a ete structure en deux temps : le premier, en echo a la presentation d'Alain Lefebvre, repose la question d'une definition formelle de la notion d'espace public ; le second, en reponse aux questions ecrites et orales des etudiants doctorants, aborde celle de l'"indefinition" de la notion d'ambiance urbaine. Entre les deux, s'ouvre un monde ou les methodes des sciences sociales et celles de la conception urbaine ne peuvent plus eviter de se rencontrer.
LIGNES DE RUPTURES, INTERACTIONS ET TERRITORIALITÉS DANS L’ESPACE PUBLIC À BEYROUTH.
AMAJAU, 2021
Cet article s’intéresse aux dynamiques socio-spatiales de l’espace Beyrouthin, sous l’angle des mobilités de ces usagers, et en dehors des visions d’enclavement et de ruptures socio-spatiales et communautaires, qui prédominent la majorité des travaux qui portent sur cette ville. Trois logiques d’actions, économique, utilitaire, socio-culturelle et trois champs d’activités, les achats, les loisirs et les « visiting friends and relatives (VFR) », ont été mis en évidence pour expliquer ces mobilités et, en conséquence, le degré de porosité entre quartiers et les territorialités urbaines qui en émergent. La compréhension de ces logiques et la décision de franchissement des limites administratives et communautaires tiennent à la fois de caractéristiques individuelles et des situations géopolitiques du moment, et contestent dès lors les imaginaires et les lectures binaires de la fragmentation communautaire de cet espace urbain.
Ambiances Environnement sensible, architecture et espace urbain 4 | 2018
Ambiances, 2008
Experiencing on ambiance with architecture How can research on architectural and urban environments capture spatial and material experiments? While experimentation in architecture is often limited to materials and implementations, technical and constructive devices, prototypes and archetypes, can the atmosphere be experienced ?
Les espaces verts de la région bruxelloise. Entre rationalité et pittoresque
in Bruxelles Patrimoines, n° hors-série, Le patrimoine écrit notre histoire, Région de Bruxelles-Capitale, p. 212-229., 2013
L’histoire de la création et de la préservation des espaces verts bruxellois fut marquée, depuis la fin du XVIIIe siècle, par une tension constante entre deux courants. Le premier, plus ouvert à la modernité et à l’urbanisation, envisageait l’aménagement comme la suppression d’espaces verts dans une perspective de rationalisation de l’espace urbain et périurbain répondant à des exigences esthétiques, mais également économiques, sociales et hygiénistes ; il était au surplus favorable aux influences étrangères et à une certaine standardisation européenne du style de l’art des jardins. La deuxième tendance, davantage tournée vers le passé de la ville, et notamment vers les époques médiévale et renaissante, était hostile à toute urbanisation à outrance et particulièrement soucieuse de la préservation des espaces verts anciens ; elle était également moins perméable aux apports extérieurs – que ce fût du point de vue de la gamme des végétaux ou du style de l’art des jardins – et entendait encourager la recherche et la définition d’un « goût » national ou régional en matière d’architecture du paysage.