Henri Bourrelier (original) (raw)
Related papers
BOUCLIER D'ACHILLE, Gérôme Taillandier
Montant dans le train qui me mène à Irkoutsk où j'ai rendezvous au monastère de Saint Ephraïm le Bègue, le train est surchargé d'un large troupeau de déportés qui iront expier en Sibérie leurs péchés contre notre Tsar. Je parviens à trouver une place dans un wagon honnête, et soudain, un jeune homme de bonne mise entre dans le compartiment en saluant le monde, coutume qui date du paléolithique inférieur. Stupéfait, je lui fais part de l'existence du livre extraordinaire que je lis, le moulin d'Amlodhi. Il me répond alors en évoquant la dimension insurpassable de la Colère d'Achille et me cite le Bouclier d'Achille et sa description de la cosmogonie Achéenne. Nous nous séparons avec amitié lorsqu'il descend à Tsarskoïe Sielo. Aussitôt arrivé au monastère, je me rends à la bibliothèque où je lis ce texte, dont je vous envoie le commentaire. GT
1999
Samedi 20 avril 1898, est mort a Roanne un Roannais qui honora son pays, monsieur Auguste Boullier. C’est ainsi que debute la necrologie d’Auguste Boullier, parue dans le Journal de Roanne du dimanche 5 mai 1898. La famille Boullier est d’origine modeste puisque le grand-pere paternel d’Auguste est epicier a Roanne, dans la rue des Minimes. Ensite, son pere Charles fait fortune dans le negoce du fer et acquiert un rang de notable dans la vie roannaise : depute de la Loire a l’assemblee Constituante de 1848, maire de Roanne du 12 octobre 1860 au 7 septembre 1870 (il organise la construction de l’actuel Hotel-de-Ville et des eglises Saint-Louis et Notre-Dame-des-Victoires), president du Tribunal de Commerce, president de la Chambre de Commerce. Charles Boullier installe sa position en achetant en 1851 sa residence campagnarde de Nandax. Il epouse Antoinette Bonnabaud qui appartient a la bourgeoisie marchande roannaise.
Michel Henry, lecteur de Husserl
Cahiers philosophiques, 2011
Distribution électronique Cairn.info pour Réseau Canopé. © Réseau Canopé. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Entretien avec Maurice Godelier
Le Portique Revue De Philosophie Et De Sciences Humaines, 2007
Anthropologue de réputation internationale, Maurice Godelier a vécu entre 1967 et 1988 parmi les Baruya, une tribu des hautes terres de la Nouvelle-Guinée à laquelle il a consacré de nombreuses enquêtes. Maurice Godelier a exploré plusieurs domaines essentiels de l'anthropologie dont, récemment, la distinction entre les choses que l'on donne, celles que l'on vend, et celle que l'on ne peut ni vendre ni donner. Une part importante de son activité de recherche reste surtout liée à la question de l'économie. C'est en 1966 qu'il publie aux éditions Maspero un ouvrage majeur consacré à cette question : Rationalité et irrationalité en économie. Ces travaux ont été prolongés dans la publication d'une série d'ouvrages dont : La production des Grands Hommes. Pouvoir et domination masculine chez les Baruya de
Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 2008
L'utilité de cette édition ne peut qu'apparaître à quiconque se penche sur la bibliographie concernant Henri d'Andeli, constituée, dans la plupart des cas, d'ouvrages fort datés. L'oeuvre de ce clerc normand, actif dans le deuxième quart du XIII e siècle, mérite sans aucun doute d'être relancée et diffusée à travers cette nouvelle édition, la première, après 1880, à recueillir les quatre textes qui lui sont attribués, à savoir, dans l'ordre : La Bataille des Vins, La Bataille des Sept Arts, le Lai d'Aristote et le Dit du Chancelier Philippe.