LA COUCHE 625 DE LA RUE LAMARTINE : UN ENSEMBLE CÉRAMIQUE DE RÉFÉRENCE À AMIENS (SOMME) POUR LA PÉRIODE FLAVIENNE (original) (raw)
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2018
Annoncer la Bonne Nouvelle du salut en Jésus Christ jusqu’aux extrémités de la terre en vue du salut à la fois historique et eschatologique, telle est la mission de l’Église. Pourtant, après plus d’un siècle d’évangélisation, les peuples d’Afrique en sont encore à se demander si le salut annoncé n’est pas un vain mot. Non parce que les pasteurs sont inactifs, mais parce que leurs engagements multiformes dans le cadre de l’évangélisation n’apportent presque rien aux efforts des populations en vue de se libérer des conditions de vie sous-humaines qui leur sont imposées. On ne peut pourtant pas croire que la force de l’Évangile, ferment de l’éternel renouveau de tout ordre social et moral, soit inopérante en Afrique alors qu’elle a fait ses preuves ailleurs. Alors se pose la question de l’efficacité de l’Église dans sa mission et de sa pertinence au sein de chaque génération de chaque peuple, langue et nation, et particulièrement dans la calamiteuse situation africaine. L’analyse de la communication sociopolitique des évêques du Cameroun lors de la crise généralisée des années 90, avec les résultats connus, amène à penser qu’il s’impose à l’Église d’être autrement dans une Afrique en quête d’une nouvelle manière d’être si, du moins, elle ne veut pas tomber dans l’insignifiance.
LE « BLANC » DU POMMIER : UNE ZONE « GRISE » AU QUÉBEC
Le blanc, anciennement connu sous le nom d'oïdium et parfois de mildiou poudreux (en anglais : powdery mildew), est une maladie fongique qu'on rencontre fréquemment sur les pommiers. Il n'entraîne habituellement pas de problème majeur au Québec, excepté en pépinières ou lors d'années particulières au niveau climatique. Depuis 1998, nous observons une nette augmentation des problèmes qui sont en lien direct avec les saisons plus chaudes que nous avons connues.
LA VILLA GALLO-ROMAINE DE SCHIEREN (LUXEMBOURG)
Archaelogia Luxemburgensis, 2016
An introduction to the roman villa of Schieren (Luxembourg). Established on a steep slope of the right bank of the river Alzette, and consisting of a main building and secondary buildings of symmetrical, axial disposition, the complex covers an estimated 8-9 hectares. Though the preservation of the archaeological remains was variable, an under-floor heated room yielded an impressive amount of fragmented wall paintings. The painted fragments show that despite its modest floor plan of 4.5 x 3.5m, the room was 4.8m high with a vaulted ceiling. With extravagant stucco, the figurative painted decorations are numerous, varied in subject and a riot of colour. Study continues and the excavation is ongoing.
PLOTIN : LE SOMMEIL DE L'ÂME ET L'ÉVEIL À SOI-MÊME
Camenae (Paris-Sorbonne), 2008
Porphyre décrit la manière très particulière de travailler qu'avait son maître 1 : jamais Plotin ne supportait de relire ou de recopier une seconde fois ce qu'il avait écrit 2 , sa vue étant d'ailleurs trop faible pour le lui permettre. Il écrivait sans le moindre souci ni de calligraphie, ni d'orthographe, n'ayant égard qu'au sens 3. Et le plus étonnant, sans doute, c'est la méthode qu'il pratiqua jusqu'à sa mort 4 : il examinait entièrement son sujet « en son âme », du début jusqu'à la fin, et « confiant ensuite à l'écriture le résultat de cet examen, il écrivait avec une telle continuité ce qu'il avait composé dans son âme qu'il semblait copier d'après un livre ce qu'il écrivait » 5. Que survînt un visiteur inattendu, Plotin s'entretenait avec lui tout en maintenant ininterrompu le cours de sa pensée ; puis il reprenait, après le départ de son interlocuteur, ce qu'il était en train d'écrire 6. Une telle concentration intellectuelle, qui avait frappé tous ses proches, ne pouvait s'expliquer que par l'exceptionnelle présence de Plotin à la fois à lui-même et aux autres. C'est pourquoi Porphyre insiste sur la continuité de cette « attention à soi-même » qu'avait