ÉCOLE DOCTORALE 60 Territoires, Temps, Société et Développement LE DOUBLE SARCOPHAGE DE MÉSEHTI S1C (CG 28118) -S2C (CG 28119) Recherches sur l'organisation du décor iconographique et textuel Membres du jury (original) (raw)

UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE 1 Mondes anciens et médiévaux LES HISTOIRES DE LA LITTÉRATURE NÉOHELLÉNIQUE 1780-1880 AUTOUR D'ADAMANTIOS CORAY ET DE JACOVAKIS RIZOS NÉROULOS DES ÉPIGONES ET DES ÉMULES

In this thesis we have studied the reasons why each book of the literature’s History (1780-1880) was written, the date which marks the beginning of the rupture with the ancien Greek past, the division into literary periods, literary notions presented (utility, love of the homeland, imagination, originality), the criteria of choice of writers who are listed in these books, the bibliographic sources used, the reciprocal influence of the historians, their agreements and their rivalry. We also have studied the references to popular songs, the role of Cretan literature, of the Ionian Islands literature, the preponderance of Phanariot literature and its role in the evolution of neo-Hellenic literature, finally the influence of the translated books on the production of original ones. The books of the neo-Hellenic literature History were based on two pillars: The Mémoire sur l’État actuel de la Civilisation dans la Grèce of Coray in 1803 and the Cours de littérature grecque moderne of Neroulos in 1827, both written in French. Around them a crowd of writers, editors, translators, merchants or just scholars, as well as their books, would identify or compete with each other : E. Philandros (1810) G. A. Manos (1825), C. Coumas (1832), Al. Soutsos (1833), Al. Négris (1829/1835), W. Brunet de Presle (1837), D. Vikélas (1871) and A. Rizos Rangavis (1877).

Résultats archéologiques et nouvelles données épigraphiques : le chantier Palais Sud 2 (2006-2008)- Mari, ni Est, ni Ouest (Supplément Syria II) avec Criaud H.

Le palais de Mari a toujours constitué, depuis les premières fouilles menées par André Parrot en 1935, un ensemble architectural de première importance, tant pour notre compréhension de l'architecture palatiale que pour les archives qu'il recèle. Bien que le niveau d'occupation du palais de la période amorrite soit aujourd'hui dégagé dans son ensemble, les palais de la période des šakkanakkus et ceux qui précèdent demeurent en cours de dégagement. Lors de la reprise de la direction de la mission de Mari par P. Butterlin 1 , différentes problématiques ont été élaborées en fonction des secteurs fouillés. Pour la zone palatiale, il a été décidé que des études complémentaires de la zone sud étaient nécessaires afin de compléter le plan tel qu'il nous était parvenu à travers les fouilles d'A. Parrot, et afin de mieux connaître les conditions de son implantation dans la trame urbaine de Mari et le secteur du centre monumental. En 2005, une campagne de fouilles en limite sud-est de la zone palatiale (Palais Sud 1) a permis de dégager le mur d'enceinte sud du palais de Ville II (phase P-1) et de mieux appréhender la relation de ce dernier avec la terrasse du Temple aux Lions appartenant au secteur religieux construite par Išṭup-Ilum, un des šakkanakkus restaurateurs 2 au début de la Ville III. Puis, en 2006, l'ouverture, en limite sud ouest de la zone palatiale, du chantier Palais Sud 2 relevait des mêmes motivations. Ce secteur, aujourd'hui très érodé, a déjà été effleuré par A. Parrot ( ). Cet état de conservation pourrait expliquer le fait qu'A. Parrot n'y poursuivit pas des travaux de fouilles en profondeur. Dans un premier temps, en procédant à un important décapage de surface, un réseau de murs en fondation a été mis au jour. Ensuite, un sondage profond a permis d'établir une stratigraphie étalonnant les différents états du palais depuis la phase P-1 jusqu'à la phase Grand Palais Royal-amorrite de la Ville III ( 3 . Outre ces différents états architecturaux, les fouilles ont permis de découvrir neuf tablettes. Ce sont les résultats de ces découvertes archéologiques et épigraphiques que nous présentons ici 4 . L. COLONNA D'ISTRIA ET H. CRIAUD Syria supplément 2 (2014) Le niveau d'occupation du GPR-šakkanakku Les vestiges, situés au-dessus de M13, M15 et M17, et au sud de M6 (mur du GPR-amorrite), correspondent à des constructions de la période des šakkanakkus 7 retrouvées sur une bande d'une dizaine de mètres de large (fig. 5). Les murs de cet état architectural (M7, M10, M11 et M12, M39 et M40) n'ont été retrouvés qu'au niveau de leurs fondations, profondes d'au moins 2 m, qui ont largement détruit les murs antérieurs. Ces fondations se caractérisent par la pose, entre les cotes de 181,10 et 181,16 m, d'un lit de galets d'une dizaine de centimètres d'épaisseur servant de chaussée drainante aux assises de briques crues disposées au-dessus 8 . C'est dans ces importantes tranchées de fondations que nous avons découvert la majorité des tablettes. La partie sud du palais était alors composée d'une série de petites pièces (locus 7 et 8) de 3,20 m de large pour des longueurs de 3,10 m et de 6,20 m respectivement. Au sud de M7, nous avons découvert une série de murs (M8, M9, M25, M28, M26 et M27) qui délimitent des pièces de petites dimensions (carrés VIII L47 sud et VIII L46) : locus 22, 23 et 21 ( ). Sur les sols de ces cellules, à 180,50 m d'altitude en moyenne, nous avons retrouvé de petites installations telles que des tannours et des jarres. La position stratigraphique de cet ensemble est encore incertaine : soit elle correspond à la première phase du GPR-šakkanakku, soit il s'agit d'une seconde phase d'extension au sud de M7.

UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR FACULTES DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES ************ DEPARTEMENT DE GEOGRAPHIE MASTER II : AMENAGEMENT DU TERRITOIRE-DEVELOPPEMENT LOCAL ET DECENTRALISATION

i Remerciements Jean Paul Sartre disait : « l'autre est la pièce maitresse de mon existence ». Autrement dit sans l'appui de notre prochain, il nous serait difficile de vivre voire impossible d'exister et de réaliser tous nos projets. La réalisation d'un mémoire en était un des projets qui nous était très chère. Il me parait prioritaire de remercier avant tout mes parents qui ont beaucoup contribué à mon éducation et ma formation intellectuelle. A mon Père, ma Mère, mes frères et soeurs, je vous dis un grand merci pour tout votre soutien. Un grand merci : A mes chers Professeurs Monsieur Amadou DIOP, Monsieur Ndiacé DIOP et Monsieur Yakham DIOP qui ont participé à notre formation depuis le premier cycle et qui ont bien voulu suivre notre travail et guider nos premier pas dans la recherche, en nous apportant des remarques, des suggestions et des conseils sans failles ; À Madame Sophie SOW, pour son assistance permanente et à tout le corps professoral et administratif du Département de Géographie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar; À Monsieur les Maires de Rosso pour toute leur disponibilité et leur générosité dans le partage d'informations et d'expériences tout au long de notre étude ; Enfin, mention spéciale à tous mes promotionnaires du Master 2, Diockel Youssous Ndiaye, Doudou Dione ainsi que tous ceux qui de prés où de loin ont contribué à la réalisation de ce mémoire.

Les Rgaybat (1610-1934) TOME II Territoires et société

Le Centre pour la Communication Scientifique Directe - HAL - SHS, 1989

Nous en déduisons, par association, que les Rgaybât n'étaient pas scindés en deux groupements avant leur extension vers la Sâgya al-I:!amrâ'. Au XVIIIesiècle, ils parcourent les pâturages de la Sâgya al-I:!amrâ. Si leur paysage s'est un peu transfo~mé, leur mode de vie n'a pas fondamen-20 Licence accordée à Sophie Caratini

Revisiter les lieux et les temps : figures de la mémoire et du patrimoine.. Diplôme pour l'Habilitation à la direction de recherches en ethnologie, Université Lumière-Lyon 2, 1er février 1999, jury constitué de Christian Bromberger, Isac Chiva, Jean Davallon, Yves Grafmeyer et François Laplantine

Ruralia. Sciences sociales et mondes ruraux contemporains, 1998

Cela fait plusieurs semaines que je réfléchi à cette soutenance. J'ai rempli des dizaines d'écrans et noirci autant de feuilles de papier. Finalement, je ne ferai pas une synthèse de mon dossier. Je ne dégagerai pas non plus les quelques idées par lesquelles j'ai tenté de le structurer. Vous l'avez lu, je l'ai relu, et je ne sais pas trop quoi en dire en attendant vos remarques et vos questions. Alors le texte que j'ai préparé est à l'image de mes préoccupations de ce moment 1 : préparation des demandes budgétaires pour l'an 2000, début des négociations pour le contrat de plan, Front national à Charbonnière 2 , pôle d'économie du patrimoine du Diois, (celui de Givors m'inquiète moins), six ?, sept ? ethnologues en DESS qui, dans quelques mois, chercheront du travail, et plein d'autres choses du même acabit. Ce texte est plutôt une déclaration de foi : l'ethnologie peut servir à quelque chose. J'ai d'ailleurs donné un titre à mon propos : « De la difficulté à trouver un titre qui justifie qu'on postule à la direction de travaux de recherche lorsqu'on est spécialiste désigné comme tel d'un secteur de l'ethnologie qui est censé s'intéresser plus à la mise en oeuvre de projets qu'à une réflexion abstraite sur la culture ». 2 Les trois ans passés à réfléchir, à écrire, à rédiger le document que vous avez lu ont été trois années difficiles. Trois années pendant lesquelles j'ai pu mesurer à quel point j'avais besoin de prendre le temps de penser, alors même que j'avais encore moins le loisir de penser, et que sans penser au temps qui me manquait, je m'investissais dans de nouveaux dossiers. Je prendrai un exemple que chacun comprendra : l'ethnologie, le patrimoine et la culture en général, mais aussi la démocratie, ont connu récemment une situation difficile, Charbonnières. Alors, avec le soutien de mon directeur, j'ai réfléchi depuis Revisiter les lieux et les temps : figures de la mémoire et du patrimoine.