QUAND LES ASSYRIENS DECOUVRENT LES MONTAGNES DU ZAGROS (original) (raw)
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LE VASE DE SOISSONS, LECTURES DE GREGOIRE DE TOURS
Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie de l’Aisne, 2020
Analyse structurale de l'ensemble des lectures et interprétations auxquelles a donné lieu, au fil des siècles, le récit du baptême de Clovis par Grégoire de Tours, au fondement de l'histoire de France.
LES GRIMOIRES ET LEURS ANCETRES
Paru dans : Karin Ueltschi (éd.), L'univers du livre médiéval. Substance, lettre, signe, Paris, Champion, 2014 (Colloque, congrès et conférences sur le Moyen Âge, 17), pp. 307-324.
LES MYSTÈRES DE LA BÊTE ZOLIENNE
OSTIUM, 2018
The Mysteries of the Zolian Beast Few French writers have pushed the love of animals as far as Emile Zola. To the somewhat Rousseauist eyes of the French writer, the animal is always good and man, animated by a “fraternal tenderness” towards him, has a sacred duty to defend this mute and fragile companion against hunger and cruelty. But where does the human bestiality come from, since we do not keep it from animals? In theory, Zola begins by imputing it to the incompatible “shock of temperaments” (Thérèse Raquin), then he explains it by misery (Germinal) or analysis it as degeneration, a “hereditary crack” (The Human Beast). The article examines in detail how the “bad Beast” works in practice, in Germinal’s text. It proves that the way Zola uses this notion corresponds in fact very vaguely to his own naturalist theories. The Beast is a curious relative of the Christian devil, on the one hand, and of the evil deities of paganism, on the other. Omnipresent and polymorphic, absolutely not “scientific”, contrary to what Zola claims, but very suggestive on the poetic level, the Beast remains one of the most striking metaphors of evil that the ending nineteenth century have invented.
EXPOSITION LE MONT ATHOS et THESSALONIKI A L AUBE DU SIECLE
THESSALONIQUE et LE MONT ATHOS A L AUBE DU SIECLE , 2013
La photographie, grâce à sa capacité inhérente à reproduire fidèlement la réalité extérieure, soit en tant que « fenêtre » soit en tant que « miroir », élargit les possibilités de la perception du monde. Dans cet esprit, l’exposition met l’accent sur une lecture différente de la libération de Thessalonique et du Mont Athos (en 1912), envisagée comme référence d’une époque qui débute à la fin du XIXème siècle et s’achève avec les trois premières décennies du XXème siècle. Avec les turbulences historiques, politiques et économiques, les évolutions ethniques dans l’espace balkanique et les exploits technologiques significatifs de l’histoire de la photographie en toile de fond, nous avons sélectionné une série de documents photographiques et cinématographiques (inédits ou pas) qui retracent l’histoire des deux lieux ainsi que leurs évolutions parallèles à travers les siècles. Avec comme véhicule le temps photographique, l’exposition tente de relier le passé au présent, l’héritage emblématique byzantin au fil perdu du cosmopolitisme de Thessalonique, d’exalter le temps, la spiritualité et l’immuable créativité de la vie monastique au Mont Athos. Afin de permettre une représentation visuelle de l’époque aussi complète et objective que possible, la conception de l’exposition met l’accent sur une sélection qui interroge, étudie et met en corrélation différentes approches photographiques (historiques, archéologiques, artistiques, anthropologiques, géographiques, etc.). Cette approche pluridisciplinaire et la recherche dans des collections de l’étranger riches en documents historiques, scientifiques et photographiques inédits (France et Russie), ont constitué les deux axes méthodologiques essentiels de l’exposition.
L'ALLIAGE DES MONNAIES DE BRONZE (AMPHIPOLIS, THASOS, MARONÉE)
Actes du Colloque International "Thasos. Matières premières et technologie de la préhistoire à nos jours" 1999
Présentation de la méthode d'analyse de monnaies de bronze par activation avec des neutrons rapides et analyse des résultats obtenus pour les bronzes d'Amphipolis (IVe s.) et pour des séries de bronzes de Thasos et de Maronée. Les bronzes ordinaires du IVe s. possèdent une teneur maximum en étain (autour de 15 %), et pratiquement pas de plomb. Le plomb apparaît d'abord dans des émissions exceptionnelles du IVe s., dont la valeur semble avoir été fortement surévaluée. Par la suite, il semble bien que la teneur en plomb augmente, au détriment de l'étain, dans le courant de l'époque hellénistique. Ce facteur permet de sérier les séries de bronze d'Amphipolis dont le classement restait très confus.