La traduction multilingue des noms propres dans PROLEX (original) (raw)

Les noms propres se traduisent-ils ? Étude d’un corpus multilingue

Dans cet article, nous abordons le problème de la traduction des noms propres. Nous présentons notre hypothèse, selon laquelle la thèse très répandue de la non-traductibilité des noms propres peut être contredite. Puis, nous décrivons la construction du corpus multilingue aligné que nous utilisons pour illustrer notre propos. Nous évaluons enfin les apports et les limites de ce corpus dans le cadre de notre étude.

Noms propres en intsimult Multilingua

Les dimensions du problème Zusammenfassung Die Beobachtung zeigt, dali bei der Simultanubersetzung Eigennamen zu zahlreichen Fehleistungen des Dolmetschers fùhren. Die Frage ist nient ohne Bedeutung, denn Eigennamen sind bei Konferenzen allseits gegenwârtig (Namen der Veranstalter, der Delegierten, verschiedener Organisationen, von Geselischaften, Produkten, in den Beitràgen erwàhnten Orten usw), und wie es scheint, legen die Teilnehmer Wert darauf, daS die Namen korrekt wiedergegeben werden (ANC 1979: 40). Der vorliegende Artikel zeigt das Problem in seinem ganzen Umfang auf und legt hierzu die Ergebnisse eines Versuchs vor, der anhand einer Konferenzaufzeichnung durchgefùhrt wurde. Als Beitrag zur Êrklàrung der Schwierigkeiten werden im Lichte der Verôffentlichungen ùber die Wortrezeption, der Informationstheorie und des Konzepts des Dolmetschgleichgewichts' theoretische Erwagungen beigesteuert. Anschlie&end wird dargelegt, wie die Dolmetscher bei Eigennamen taktisch vorgehen. Die SchluRbemerkungen und die parallel hierzu vom Verfasser dûrchgefùhrten Ùberlegungen ùber Fachwôrter bei der Simultanubersetzung (dieser Artikel erscheint in Meta) unterstreichen gemeinsam, wie wichtig Dokumentation fur den Konferenzdolmetscher ist.

La traduction des noms propres dans les K'erakanowt'ean Girk' (“Livres de grammaire”) de Oskan Erewanc'i

Il Nome Nel Testo, 2006

* Je désire ici remercier mes confrères de Erevan, Gohar Muradyan et Aram Topchyan qui ont bien voulu discuter avec moi plusieurs aspects de ce travail. 1 Tommaso CAMPANELLA, Tutte le opere. A cura di Luigi Firpo, Verona, Mondadori, 1954. Nous citons le texte latin d'après cette édition. 2 Ces manuscrits sont les suivants: A 2274 Matenadaran (1658-1662) B 2277 Matenadaran (1659) C 2275 Matenadaran (avant 1666) D 2276 Matenadaran (avant 1688) E 3391 Matenadaran (XVII ème siècle) F 2294 Matenadaran (XVIII ème siècle) T Ma XIII 80 Tübingen (XVII ème siècle). En outre, dans le ms. 2295 du Matenadaran de Erevan (G), copié en 1683 (pp. 49r-107r) on trouve un texte révisé et abrégé de la grammaire maior de Oskan.

La Traduction des Noms Propres dans Le Dictionnaire des Termes Techniques Islamiques

2018

La conception classique qui préconise la non-traduction des noms propres est aujourd'hui fortement mise en question. Les études récentes réalisées par les grands traductologues et linguistes démontrent les paradoxes dans les différentes pratiques en ce qui concerne le transfert des noms propres. Dans l'étude présente, nous essayons d'identifier les choix traductifs des noms propres du persan en français dans le Dictionnaire des notions et expressions des sciences islamiques, rédigé en 1996, par le feu Ebrahim Shakourzadeh. L'analyse des traductions de trois grandes sous-catégories des noms propres à savoir les anthroponymes, les toponymes et les pragmonymes du domaine islamique, nous permet, dans un premier temps, de dégager les caractéristiques propres aux stratégies du traducteur partant de la préservation de l'étrangeté et la couleur locale de la langue et culture d'origine pour aller vers les normes de la langue et culture réceptrice. Nous montrons ensuite comment dans le cas des noms propres qui se rattache simplement à un référent extralinguistique, le transfert ne pose pas de problème. Mais là où ils déclenchent en même temps une signification, les problèmes de traduction commencent : certains noms propres déclencheurs de sens doivent être traduits, forcément pris en compte dans le contexte, dans le cas de certains d'autres, généralement à caractère métaphorique, une traduction littérale ne va engendrer que la confusion chez le lecteur français. Il vaudrait mieux que dans ce cas, le traducteur recoure à une combinaison de procédés Mots clés-Traduction, nom propre, dictionnaire termes islamiques *Date de réception : 2018/04/01 Date d'approbation : 2018/06/23

STATUT LINGUISTIQUE DU NOM PROPRE : L'EXEMPLE D'ÉTUDES CONTRASTIVES DE TOPONYMES

As the toponyms (and other proper names) often migrate to other languages, my presentation will concern the problem of crossing endonyms from one language to another and the formation of exonyms. This question was laid down in the legislative texts prepared by the Expert Group of the United Nations on Geographical Names (UNGEGN).

Les noms propres en interprétation simultanée

Multilingua - Journal of Cross-Cultural and Interlanguage Communication, 2000

... caracteristiques physiques du son emis: dans un montage experimental, un segment acoustique compose d'un toussotement suivi de la syl-labe anglaise ... Le doveloppement th^orique est suivi de la presentation des tacliques utilisoes par les interpretes face aux noms propres. ...

Le propre des noms dans un contexte bilingue

Intuitiv lässt sich sehr leicht zwischen Eigennamen und Gattungsnamen unterscheiden; wenn man jedoch genauer hinschaut, wird es sehr schwierig, die beiden Kategorien nach einheitlichen Kriterien voneinander abzugrenzen. In dem vorliegenden Artikel geht es um den Gebrauch von Eigennamen in einem Korpus von 40 Gesprächen, die im Rahmen einer Studie über die Sprachgewohnheiten in der zweisprachigen Stadt Biel-Bienne geführt worden sind. Anhand einiger Beispiele werden bestimmte charakteristische Eigenheiten dargestellt, die in den (zweisprachig geführten) Gesprächen immer wieder vorgekommen sind. Es geht dabei um die Illustration zweier theoretischer Fragen im Zusammenhang mit den Eigennamen: Haben Eigennamen eine Bedeutung -und wie stellt sich die Frage der Übersetzung von Eigennamen in einem von Sprachkontakt gekennzeichneten Kontext? Und wie widerspiegelt sich dieser Sprachkontakt in der Unterscheidung zwischen Eigennamen und Gattungsnamen?