RochNtankeh MTh (original) (raw)
2012, Mémoire de Master en Théologie de la Mission
L’utilisation de la musique traditionnelle Medumba par les églises protestantes de Bangangté est une étude sur la place qu’occupe ce type de musique dans l’Église. Ce travail révèle l’existence de plusieurs obstacles à une utilisation massive de la musique traditionnelle Medumba dans l’Église. Ces entraves sont à la fois endogènes et exogènes. En outre, cette étude montre que la musique traditionnelle occupe une place prépondérante chez les Medumba. Elle est la musique de cœur de ce peuple et fait partie de la quasi-totalité des événements de la vie et rien n’est fait sans elle. Celle-ci peut donc contribuer à l’appropriation de l’Évangile par le peuple Medumba qui ne le considèrera plus comme une importation de l’Occident. Pour cela, la musique traditionnelle a le potentiel de constituer un instrument puissant entre les mains de l’Église pour la communication de l’Évangile si elle est utilisée de manière judicieuse.
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Compositeur, mon but n'est pas de développer une technique pour restituer les sons spatialisés de façon naturelle ou plus précise, j'en laisse le soin aux ingénieurs. Par contre, les remarques qui suivent me permettent d'entrevoir un art de la plastique des sons, ayant chacun leur vécu spatial ou leur cinétique propre. Une procédure générative unique lie la forme sonore au développement spatial. Le premier travail consiste donc à explorer les possibles sonores entrant dans cette catégorie de phénomènes et à les cataloguer. Cette démarche s'inspire de celle de Pierre Schaeffer. Je retiens aussi le mot d'humour d'Eric Mulard pour caractériser ce nouveau genre d'objets sonores: des "ectoplasmes" sonores (grec ecktos: dehors) et plasme (façonnés)).
Toulouse. Les Gaulois de Saint-Roch
Archéologia, 2009
L'agglomération gauloise de Saint-Roch à Toulouse fait l'objet de nouvelles recherches depuis 2001. En 2006 a été étudié un bâtiment associé à une vaste dépression au sein de laquelle deux squelettes humains ont été découverts. Le premier individu avait été enterré ou relégué, les bras en extension ; le deuxième avait subi des violences ayant entraîné la mort. Leur datation se situe à la charnière des IIe et Ier s. av. n. ère.
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