Hemangiomas - considerations of stomatological interest (original) (raw)
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Le Mali médical, 2005
Summary This is a retrospective study on epidemiologic aspects of hematological malignancies from 1996 to 2003 in the Hospital of Point G, Bamako, Mali, in which we looked at files of all patients who visited the center during that period. During the study, 264 cases were diagnosed for hematological malignancies corresponding to an annual mean of 33 cases. Hematological malignancies were mostly lymphoid types (76.51%), among which NHL were predominant. For non lymphoid malignancies, CML was the most frequent (70.96 %). The prevalence of hematological malignancies was multiplied by 2.18 for lymphomas, 2.16 for leukemia, and 1.87 for multiple myeloma; whereas it was stable for other cases. The sex ratio was in favor of men with regard to all hematological malignancies except for CML that is more frequent un female (p=0,002). The case frequency repartition according to age showed a bimodal distribution with one peak for the 10-19 years old and another peak for the 40-49 years old. Amon...
[A rare case of placental chorioangioma associated with neonatal disseminated hemangiomatosis]
Journal de gynécologie, obstétrique et biologie de la reproduction, 2009
Placental chorioangioma is a benign vascular tumor. Lesions larger than 4 cm may cause fetal and maternal complications. Its association with disseminated neonatal hemangiomatosis is rarely described. We report a case of a large chorioangioma associated with an hydrops foetalis and disseminated neonatal hemangiomatosis. The relationship between placental chorioangioma and hemangioma is briefly discussed.
Consent, in hematology and beyond
Hématologie, 2018
Liens d'intérêts : Les auteurs déclarent n'avoir aucun lien d'intérêt en rapport avec cet article. A ndré Lalande, dans son Vocabulaire technique et critique de la philosophie [1], définit le consentement comme un « acte de volonté par lequel on décide ou même on déclare expressément qu'on ne s'oppose pas à une action déterminée dont l'initiative est prise par autrui ». Cette définition, tr es large, appelle plusieurs commentaires, s'agissant de l'appliquer au champ de la santé, et plus précisément encore, à celui des maladies du sang. Consentir, comme décider, exprime la volonté de la personne
Syndrome anémique en hématopathologie
EMC - Vétérinaire, 2004
C. TRUMEL (Maître de conférence, département des sciences cliniques des animaux de compagnie) c.trumel@envt.fr N. BOURGES-ABELLA (Maître de conférence, département des sciences biologiques et fonctionnelles) A. DIQUELOU (Maître de conférence, département des sciences cliniques des animaux de compagnie) École nationale vétérinaire, 23, chemin des Capelles, 31076 Toulouse cedex, France.
L'histomonose est une maladie parasitaire, infectieuse, propre aux galliformes. Il s'agit d'une typhlo-hépatite qui affecte surtout la dinde et la pintade. Cette maladie est décrite depuis longtemps (dès 1895). Elle était devenue très rare depuis l'utilisation d'antiparasitaires efficaces, jusqu'au début des années 2000. L'interdiction des anti-histomoniques (2003) a entraîné une réémergence de la maladie, principalement dans la filière dinde. Synonymie : maladie de la tête noire / « maladie de la crise du rouge » En anglais : blackhead disease L'agent de la maladie et son pouvoir pathogène L'agent responsable est Histomonas meleagridis, protozoaire flagellé polymorphe. Deux formes existent chez l'hôte définitif : une forme sans flagelle dans les tissus, et une forme avec flagelle dans la lumière caecale. Le cycle évolutif de Histomonas meleagridis est, pour partie, lié au cycle du nématode Heterakis gallinarum, parasite des caeca des volailles. La transmission de H. meleagridis d'un hôte à un autre se fait par l'intermédiaire des oeufs de H. gallinarum résistants dans le milieu extérieur. Les oeufs ingérés libèrent le protozoaire dans la lumière caecale, où il se multiplie. Ensuite, il passe à travers la paroi caecale dans le sang et gagne le foie. Dans les caeca, il cohabite avec les adultes H. gallinarum qu'il peut réinfecter. Les oeufs d'H. gallinarum assurent la survie de H. meleagridis dans le milieu extérieur, mais aussi une protection dans les voies digestives. Les oeufs parasités de H. gallinarum peuvent être ingérés par des vers de terre qui accumulent et véhiculent les larves porteuses de H. meleagridis. S'il a longtemps été considéré que H. gallinarum jouait un rôle essentiel dans le cycle parasitaire de H. meleagridis, il est maintenant admis une autre possibilité de transmission, directe de la forme trophozoïque par ingestion de fèces infestés (« cloacal dropping »). Les données épidémiologiques De nombreux galliformes hébergent le parasite. La dinde, la pintade et la perdrix sont très sensibles, alors que la poule, le faisan ou la caille expriment une forme plus discrète. Actuellement, l'espèce la plus concernée par des formes cliniques d'histomonose est la dinde. Il existe aussi des différences de sensibilité entre les souches de volailles. Les formes les plus graves chez la dinde s'expriment dès la fin du 1 er mois de vie, mais surtout entre 8 et 18 semaines d'âge. Chez la poule, les symptômes sont visibles vers 3 à 5 semaines. Les poules et dindes plus âgées sont réceptives mais les formes cliniques sont plus rares ou moins marquées. Elles excrètent par contre de nombreux oeufs d'Heterakis. Les volailles peu sensibles (poules), les dindes âgées, et les oiseaux sauvages sont des porteurs sains qui constituent un réservoir. Heterakis joue un rôle significatif de vecteur, car il parasite les mêmes hôtes que H. meleagridis, et il le protège dans le milieu extérieur. Le ver de terre a un rôle de dissémination et de conservation des parasites.
Hématome mésentérique : rare complication d'un traitement anticoagulant oral au long cours
Annales de Chirurgie, 2006
Les auteurs rapportent le cas d'un hématome mésentérique chez un patient de 77 ans, conséquence d'une complication exceptionnelle d'un traitement anticoagulant oral au long cours. L'angiotomodensitométrie abdominopelvienne se révèle une aide au diagnostic d'hématome mésentérique et permet d'en éliminer les causes organiques en particulier vasculaires, par une méthode non invasive et équivalente à l'artériographie conventionnelle. Dans le cas rapporté la détérioration clinique du patient justifia une prise en charge chirurgicale corroborant les données d'imagerie. Une revue de la littérature a permis de confronter les rares cas similaires décrits.
Toute reproduction, toute utilisation, partielle ou totale, des textes, schèmas et photos de cet ouvrage, sans l'autorisation écrite de BIOFORMA, seront poursuivies devant les tribunaux compétents. Seule une impression pour une copie personnelle ( étudiant, interne, biologiste de labm ) est permise. BIOFORMA 230 bd raspail 75014 Paris Miroir de la pratique quotidienne, les enquêtes interlaboratoires collectent des informations témoignant de l'état de l'art dans la pratique biologique. Ces données constituent une aide à la décision dans la pratique quotidienne du laboratoire, dans les choix des réactifs, des techniques, des technologies, des équipements, enfin dans l'identification des besoins de perfectionnement ou de modification réglementaire. On trouvera ici des informations sur des tests de coagulation utilisés en dépistage de risque hémorragique : TQ, TCA ou de risque thrombosant : ACC, AT, suivies d'exposés de cliniciens sur l'intérêt de la recherche d'antiphospholipides et grossesse. L'actualité des risques de transmission de virus, alimentaire, parentérale, par transfusion, au cours de la grossesse, voire par rapports sexuels, a justifié d'une part les enquêtes interlaboratoires sur les marqueurs des hépatites B et C ou le VIH (93 M), d'autre part la publication de textes faisant le point sur les virus, l'épidémiologie, les modes de transmission, les moyens de prévention, les pathologies. ETALONORME 94 B et 93 M Ce fascicule présente les principaux résultats de l'opération de Contrôle de Qualité Etalonorme 94 B, organisée sous l'autorité de l'Agence du Médicament par convention avec Bioforma en Juin 1994. Il présente les textes des experts faisant le point sur certaines des pathologies explorées par les confrontations 93 M et 94 B. Pour chaque thème on trouve ainsi, l'état de l'art des pratiques biologiques en France et l'état des connaissances. Confrontation interlaboratoire 94 B La confrontation 94 B s'est déroulée en juin 1994. L'exploitation finale a porté sur les résultats de 4 283 laboratoires. Cette opération a exploré tout particulièrement les tests d'hémostase avec la détermination du temps de Quick, du temps de céphaline + activateur, le dépistage et les tests de confirmation d'un anticoagulant circulant (ACC) immun, présent dans l'échantillon B3, le dosage de l'antithrombine III, normal sur l'échantillon B4. Un frottis avait été préparé avec le sang d'un sujet porteur d'une splénomégalie myéloïde. Enfin les tests de dépistage sérologique des hépatites B et C devaient être pratiqués sur un sérum contenant des anticorps anti-HBs, IgG anti-HBc, anti-HBe et anti-HCV. Ce sérum B5 était négatif en antigène HBs et antigène HBe, négatif aussi en anticorps IgM anti-HBc. Principaux résultats 94 B et points de vue des experts Hémostase, TQ, TCA, ACC, AT III. Pour les temps de Quick, les dispersions sur les deux échantillons lyophilisés, exprimées en CV%, sont très voisines de 6%. Les dispersions des expressions en activité : taux de prothrombine (TP) sont de 10,8% pour B3 et de 4,5% pour B4. Les temps de céphaline + activateur étaient quasi normaux pour le plasma B4, allongés pour le plasma B3, avec des dispersions globales très différentes : témoin local 6,4%, B4 : 8,8%, B3 : 19%. On note que quinze réactifs différents sont utilisés chacun par plus de vingt laboratoires. Le temps de céphaline + activateur du mélange "B3 + témoin local" (M+T) a été déterminé par 2 698 laboratoires. De nombreux appels téléphoniques témoignent de la nouveauté de cette recherche pour certains laboratoires. Les résultats en temps ou en rapport des temps sont encore plus dispersés que les TCA de B3, avec des CV voisins de 20%. Le R-TCA moyen (M+T) est de 1,36 pour l'ensemble, avec selon les céphalines des R-TCA moyen de 1,17 à 1,60. Les réponses d'interprétation de ce TCA (M+T) reflètent ces résultats avec 1 859/2 653 réponses "suspicion d'ACC" (70%). Les résultats de l'enquête sur l'emploi et l'interprétation des tests de confirmation des ACC témoignent d'abord d'une pratique d'ensemble limitée, seuls 830 laboratoires ont répondu à au moins un test de confirmation. On peut comparer la sensibilité de ces différents tests en examinant les rapports entre réponses positives et nombre total de réponses pour ce test. On trouvera plus loin deux textes, l'un du docteur Jacqueline Roussi, l'autre du Professeur Pierre Sié sur les méthodes de détection des ACC, un texte du Professeur Anne Gompel : antiphospholipides et grossesse et un texte du Professeur Jean-Charles Piette : intérêt de la recherche des anticorps antiphospholipides : le point de vue du clinicien. En médecine interne, de nombreuses publications portent sur le syndrome des antiphospholipides et les ACC, la proximité des pathologies lupiques, des avortements spontanés et des thromboses liées. En effet, curieusement, ce marqueur biologique anticoagulant circulant immun antiphospholipide, ne témoigne pas d'une tendance hémorragique, mais bien d'un risque thrombosant ! Ce stigmate biologique témoigne d'un désordre sousjacent complexe. Hépatites Pour 94 B, les marqueurs sérologiques de l'hépatite B ont été recueillis en identifiant spécifiquement les résultats de la recherche d'anticorps IgM anti-HBc, ce qui n'avait pas été réalisé dans les confrontations antérieures. Les taux de bonnes réponses : absence d'antigène HBs, présence d'anticorps anti-HBs, sont voisins de 99,5%. Pour les anticorps anti-HBc totaux 2 350/2 378 et IgM anti-HBc 1 129/1 151 ces taux sont voisins de 98%. La participation reste notable pour l'étude des marqueurs antigène HBe, (absent : 544/551) et anticorps anti-HBe, (présent : 558/574). Le taux de détection des anticorps anti-HCV, 1 654/1 661 participants, est supérieur à 99,4%. Seuls 6 laboratoires ont fourni deux réponses négatives. On se rappelle que dans la confrontation 93 M de juin 1993,
Diffuse miliary hemangiomatosis with hepatic involvement in an infant in Dakar
Our Dermatology Online, 2021
How to cite this article: Diop K, Ndiaye M, Ndiaye MT, Ndiaye C, Diatta BA, Diadier S, Ndour N, Deh A, Diallo M, Niang SO, Assane K. Diff use miliary hemangiomatosis with hepatic involvement in an infant in Dakar. Our Dermatol Online. 2021;12(Supp. 1):11-15. Submission: 30.08.2020; Acceptance: 04.12.2020 DOI:10.7241/ourd.20211s.3 Diff use miliary hemangiomatosis with hepatic involvement in an infant in Dakar