La Surveillance Des Rayonnements Autour Des Accélérateurs De Haute Énergie Un Vrai Challenge (original) (raw)

Rayonnement des gaz : des spectres de raies aux modèles approchés

Support de cours, Ecole Thématique "Rayonnement Thermique En Milieux Semi-Transparents", Odeillo, 14-20 juin 2014 Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International .

La pollution lumineuse : passer de la définition d'un problème à sa prise en compte technique

Éclairer la ville autrement. Innovations et expérimentations en éclairage public (Ed.: Jean-Michel Deleuil), 2009

Durant la période nocturne, la lumière constitue l’un des marqueurs principaux de l’activité humaine, activité avérée (éclairage festif, éclairage événementiel, etc.) ou activité possible (éclairage fonctionnel et permanent de voies de circulation, éclai- rage sécuritaire des zones commerciales, éclairage de bâtiments de bureaux vides). Si elle est indispensable à certaines fonctions, la lumière n’en est pas moins altératrice de la nuit, du noir, des moments nocturnes (au sens astronomique du terme) bref, d’une ressource naturelle commune. La nuit, qui nécessite – ou permet, selon les cas – l’usage de lumière artificielle pour la plupart des activités, est une ressource en accès libre pour l’Homme. ressource qui n’a aucune valeur de marché (comme l’air par exemple) et que tout un chacun peut exploiter avec pour seuls coûts apparents, ceux des infrastructures déployées et ceux de l’énergie électrique nécessaire à la production de lumière. Ne sont que très rarement considérés les coûts environnementaux, sociaux ou sanitaires de cette perte du noir, ce qui entraine souvent une surestimation des bénéfices que l’on peut tirer de l’éclairage artificiel nocturne en termes de mise en valeur du patrimoine, d’image de marque de la ville, de vie sociale nocturne, de facilité de déplacements, ou de sécurité par exemple. Les décisions en matière d’éclairage public sont donc prises au regard des bénéfices qui en seront tirés et des coûts directement supportés par les décideurs, sans tenir compte des coûts sociaux, culturels, sanitaires et environnementaux qui seront supportés par la société et l’écosystème dans son ensemble. Cette logique n’est pas sans rappeler la « tragédie des biens communs », menant à une surexploitation des ressources en accès libre. Au moment où, pour la première fois dans l’histoire de l’éclairage urbain, se posent chez beaucoup de concepteurs!lumière les questions de surintensité des flux lumineux, de réduction des niveaux d’éclairement pour ne pas transformer la nuit en milieu urbain en un jour permanent, il convient de mener une réflexion multidisciplinaire approfondie pour arriver à concilier les fonctions consensuelles de l’éclairage public avec une certaine « sauvegarde » du noir, du nocturne comme ressource culturelle, sociale, sanitaire et comme biotope. Cette prise en considération de tous les coûts de la lumière artificielle doit passer avant tout par une nouvelle vision de l’éclairage public, avant de s’appliquer à tous les types d’éclairage que l’on trouve dans la ville nocturne. L’arrivée de nouveaux acteurs, comme les associations dites « de défense du ciel nocturne », dans les processus de concertations préalables à toute nouvelle installation d’éclairage public force les acteurs de l’aménagement du territoire à se pencher sur la problématique de la pollution lumineuse. La réflexion ici menée se propose donc tout d’abord de présenter, au vue des connaissances actuelles, les différentes facettes de la problématique de la pollution lumineuse, puis de montrer comment, dans la pratique, une concertation et une réflexion interdisciplinaire entre les acteurs locaux intéressés de près ou de loin par la lumière pourraient amener à prendre en considération de façon plus systématique cette problématique dans la mise en place d’un nouvel éclairage public.

Détection de Défauts par Observation de Saut de Moyenne dans les Systèmes Photovoltaïques

Forum National sur les Energies Renouvelables et l’Environnement, 2018

Les défauts dans les systèmes photovoltaïques (PV), qui peuvent entraîner une perte d’énergie, arrêt du système ou même de graves manquements à la sécurité, sont souvent difficiles à éviter. Détecter les défauts dans de tels systèmes est impératif pour améliorer leur fiabilité, la productivité, la sécurité et l’efficacité. Ici, une approche de détection rapide de l’ombrage des modules PV et les défauts du côté courant continu (CC) des systèmes PV sont proposés. Cette approche combine la flexibilité et la simplicité d’un modèle de Bishop avec un algorithme de détection de saut de variance qui est le Test de Page-Hinkley pour détecter les changements naissants dans un système PV. Le modèle de Bishop adapté à ce type d’étude grâce à sa possibilité à prendre en compte le mode d’avalanche du système, est utilisé pour prédire les grandeurs de sortie en fonctionnement saine du système, dont le courant, la tension et la puissance en utilisant des températures et des irradiances mesurées. Les résidus entre les grandeurs réels mesurées et les grandeurs prédites par le modèle sont établis et utilisés dans l’algorithme de détection comme indicateurs de défaut. Les données réelles du système photovoltaïque installé au site de Vignola-Ajaccio, sont utilisées pour évaluer la performance de l’approche proposée. Les résultats montrent que l’approche proposée surveille avec succès le côté DC des systèmes PV et détecte l’ombrage temporaire.

Modélisation Des Bilans Radiatif et Énergétique

Ce que je pense, Ce que je veux dire, Ce que je crois dire, Ce que je dis, Ce que vous avez envie d'entendre, Ce que vous croyez entendre, Ce que vous entendez, Ce que vous avez envie de comprendre, Ce que vous comprenez, Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même … " Encyclopédie du savoir relatif et absolu Edmond Wells CONCLUSION RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

La Surveillance Des Particules Ultrafines en France

2018

La mesure des particules ultrafines (PUF) se developpe de plus en plus dans les reseaux de surveillance de la qualite de l'air en France. Ces particules sont tres petites en taille (inferieur a 100 nm) et faibles en masse, mais representent des effets sanitaires importants. Cet article presente differents resultats issus de campagnes de mesure de courte et longue duree qui ont ete realisees dans differents environnements (urbain, trafic et industrie), et une comparaison des concentrations en nombre et de la distribution en taille au niveau national. De plus, nous montrons comment la mesure de PUF peut permettre d'identifier des sources locales et contribuer a expliquer certains phenomenes atmospheriques.

Sûreté des réacteurs : la connaissance du risque hydrogène enrichie de 20 ans de R

Revue Générale Nucléaire

Le CEA s’est doté d’une compétence forte pour comprendre, modéliser et prévenir le risque hydrogène dans les installations nucléaires. À partir du milieu des années 1990, une approche couplée numérique et expérimental a été mise en oeuvre pour atteindre ces objectifs : le projet TONUS pour se doter d’outils numériques pour traiter de la distribution et de la combustion de l’hydrogène et le projet MISTRA pour alimenter ces modèles numériques en données expérimentales « CFD grade » pour la distribution de l’hydrogène et l’efficacité des moyens de prévention. Ces connaissances et ces outils ont conforté les démonstrations de sûreté des installations existantes tant civiles que militaires et contribuent à la conception de nouveaux réacteurs toujours plus sûrs. Enfin, elles sont valorisées pour la sûreté des installations industrielles liées à l’hydrogène vecteur d’énergie.