Bessines (original) (raw)
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Des recherches de datations absolues et relatives ont été réalisées dans la galerie des Pas et dans la galerie des gravures de la grotte d'Aldène.
Centuriae Latinae. Cent une figures humanistes de la Renaissance aux Lumières offertes à Jacques Chomarat, 1997
notice sur Bessarion, sa vie, son oeuvre
ADLFI. Archéologie de la France - Informations, 2013
Tesina : Modelo para el estudio de la vulnerabilidad de los servicios técnicos urbanos frente a los riesgos naturales Gala Serra Pablo Octobre 2007, 5/44 1 Définitions préalables : Pour savoir en quoi consiste notre travail de recherche, définissons tout d'abord les différents termes qui y sont liés. Pour ces définitions, nous nous sommes basés sur les ouvrages : Veyret Y., Géographie des risques naturels en France, de l'aléa à la gestion, (2004) et Veyret Y., Meschinet de Richemond N., Le Risque, Les risques, (2003).
Dans la seconde moitié du XX e siècle, le Moulin d'Andé, dans l'Eure, fut un lieu emblématique où se rencontrèrent écrivains, cinéastes, artistes et intellectuels de tous bords et de tous pays. Lieu de création et caisse de résonance artistique et idéologique, le Moulin fut aussi un réseau culturel hors du commun. André Schwarz-Bart y trouva un lieu d'inspiration et de création. Les nombreuses rencontres qu'il y fit furent déterminantes pour son oeuvre. Le présent essai explore avec liberté le réseau d' « intertextualités spéculatives » qui se tissa autour de son oeuvre, en esquissant trois de ces rencontres littéraires : celles avec Georges Perec, Arnoldo Palacios et Richard Wright. Autour de l'oeuvre schwarz-bartienne, nous proposons ici trois études de cas qui ont en commun de se dérouler au Moulin d'Andé en Normandie, lieu emblématique animé depuis 1956 par Suzanne Lipinska, où se sont noués les rapports entre de nombreux auteurs, artistes, éditeurs, traducteurs, cinéastes et intellectuels 1. Dans la seconde moitié du XX e siècle, ce lieu qui fut un refuge pour Georges Perec, loin d'un Paris trop mondain, est devenu le quartier général géré par Maurice Pons, l'homme au coeur de ce « réseau ». Ou pour le dire avec les paroles de Noëlle Chatelet, une membre de cette communauté artistique et intellectuelle, « C'est là qu'on se tricote soi-même pour les longues soirées de pluie. […] C'est les oubliés devenus inoubliables » ou encore « C'est là où l'on donne de soi. C'est là où l'on prend de l'autre 2. » Le Moulin a ainsi vu se développer des relations solidaires à travers des rencontres entre dissidents algériens, intellectuels africains américains comme Richard Wright, personnalités caribéennes comme René Depestre et J.S. Alexis d'Haïti, des anthropologues et des féministes (Monique Wittig et Françoise Basch), des artistes et intellectuels de mouvance gauchiste. L'endroit a servi de lieu de création pour des musiciens et des cinéastes comme François Truffaut, Claude Lanzmann et Sarah Maldoror. Bref, il s'agit d'un « lieu de tous les possibles », selon l'expression de Suzanne Lipinska préfaçant les souvenirs de quelques 55 hôtes qui lui ont témoigné leur gratitude et leur respect 3. C'est aussi là que beaucoup de signataires du Manifeste des 121 sont passés : revendiquant le « droit à l'insurrection », des militants de gauche, des anthropologues anticolonialistes, des éditeurs, des pionniers de la décolonisation protestaient fermement contre la guerre d'Algérie.
ADLFI. Archéologie de la France - Informations, 2015
Cette première campagne de fouilles extensives menée sur le site des Buissières à Panossas visait à approfondir la connaissance des deux secteurs déjà sondés en 2012 qui concernent, respectivement, un édifice thermal préservé par la végétation d'un bosquet, d'une part, une zone à vocation agricole et artisanale située 150 m plus à l'ouest, d'autre part. Conformément aux prescriptions de la CIRA, elle s'est principalement concentrée sur ce dernier secteur, afin de reconnaître le plan d'un grand bâtiment tripartite visible sur les clichés aériens.
Discrete Mathematics, 1995
In this note, we show that the inverse of the q-analogues of Bessel function qJo and the quotient of the functions q J1 and qJo are the generating functions of some heaps of sticks. Moreover, we show that the numerators of the rational functions appearing in the development of these functions are associated to some kind of braids. Resum/~ Nous montrons dans cette note que l'inverse du q-analogue de la fonction de Bessel qJo ainsi que le rapport des q-analogues des fonctions de Bessel q J1 and qJo sont les fonctions g6neratrices de certains empilements de demi-segments. Nous montrons que les num6rateurs des fonctions rationnelles apparaissant dans le d6veloppement de ces quotients sont associes fi certains 616ments du groupe des tresses.
dessine-moi un Pissenlit !, 2020
A short history of the Dandelions (Taraxacum) in art and botany.
Émile Benveniste , "De la subjectivité dans le langage". In : ders., Problèmes de linguistique générale, 1. Paris : Gallimard 1966, p. 258-266. [Seule modification apportée au texte : à l´époque de Benveniste, les linguistes français n'avaient pas encore l'habitude de faire la distinction entre 'langagier' (niveau observé) et 'linguistique' (niveau à partir duquel on observe). Cette distinction a été établie dans la version ci-dessous.] CHAPITRE XXI De la subjectivité dans le langage 1 Si le langage est, comme on dit, instrument de communication, à quoi doit-il cette propriété ? La question peut surprendre, comme tout ce qui a l'air de mettre en question l'évidence, mais il est parfois utile de demander à l'évidence de se justifier. Deux raisons viennent alors successivement à l'esprit. L'une serait que le langage se trouve en fait ainsi employé, sans doute parce que les hommes n'ont pas trouvé de moyen meilleur ni même d'aussi efficace pour communiquer. Cela revient à constater ce qu'on voudrait comprendre. On pourrait aussi penser à répondre que le langage présente telles dispositions qui le rendent apte à servir d'instrument ; il se prête à transmettre ce que je lui confie, un ordre, une question, une annonce, et provoque chez l'interlocuteur un comportement chaque fois adéquat. Développant cette idée sous un aspect plus technique, on ajouterait que le comportement du langage admet une description behavioriste, en termes de stimulus et de réponse, d'où l'on conclut au caractère médiat et instrumental du langage. Mais est-ce bien du langage que l'on parle ici ? Ne le confond-on pas avec le discours ? Si nous posons que le discours est le langage mis en action, et nécessairement entre partenaires, nous faisons apparaître, sous la confusion, une pétition de principe, puisque la nature de cet « instrument » est expliquée par sa situation comme « instrument ». Quant au rôle de transmission que remplit le langage, il ne faut pas manquer d'observer d'une part que ce rôle peut être dévolu à des moyens non-linguistiques, gestes, mimique, et d'autre part, que nous nous laissons abuser, en parlant ici d'un « instrument », par certains procès de transmission qui, dans les sociétés humaines, [259] sont, sans exception, postérieurs au langage et qui en imitent le fonctionnement. Tous les systèmes de signaux, rudimentaires ou complexes, se trouvent dans ce cas.