Œuvre d’art comme récit historique (Rapport des discussions du groupe de travail) (original) (raw)
Related papers
Témoignages filmés. Du document à l’œuvre d’art
Journées d'étude interdisciplinaire Paysage(s) de l’étrange. Sur les traces visibles et invisibles d’un patrimoine régional en transformation : (re)constructions artistiques et théoriques d’une histoire transfrontalière marquée par les grands conflits, 2016
L'art analysé comme un travail
Idées économiques et sociales, 2009
Distribution électronique Cairn.info pour Réseau Canopé. © Réseau Canopé. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
L’Objet de l’histoire de l’art
Critique d’art, 2004
Voici une génération, certains essais d'Ernst Hans Gombrich poursuivaient le mêmerare-dessein de retour sur soi et de prospective de la discipline. L'ouvrage, à nouveau L'Objet de l'histoire de l'art Critique d'art, 23 | 2012
L’histoire de l’art prise aux mots
Appareil, 2012
Cet article reprend et développe le contenu de deux conférences, données à Berne, lors du premier congrès de l'Association suisse des historiennes et historiens de l'art, en 2010, et au Collège de France, en 2011. Il s'inscrit également dans le programme de recherche qui vient d'être lancé, en octobre 2011, par la Chaire d'histoire de l'art de la période moderne (XVI e-XVIII e siècles) de l'université de Genève, sur le langage de l'histoire de l'art. Il fait déjà l'objet d'un séminaire hebdomadaire, auquel participeront les étudiants du département, qui se tiendra, au semestre d'automne, pendant les prochaines années. Il accueillera également en son sein des mémoires de maîtrise et des thèses de doctorat, et donnera lieu à la publication d'un Dictionnaire des idées reçues en histoire de l'art, dont les articles seront rédigés par les membres passés ou présents de l'équipe de recherche. « J'aime mieux être homme à paradoxes qu'homme à préjugés »
De l’œuvre aux discours : quand l’archive témoigne
Critique d’art, 2004
En juin 1970, Gina Pane présente à la Galerie Rive droite l'installation Acqua alta/Pali/ Venezia. Vigoureusement défendue par Pierre Restany dans la préface du catalogue de l'exposition 1 , l'oeuvre n'obtient pas pour autant les grâces d'un François Pluchart qui, dans les pages de Combat, déplore son manque d'efficacité tout en la jugeant "ni vraiment moderne, ni vraiment inactuelle" 2. Il s'agit là des tous premiers mots que consacre le critique au travail de l'artiste, des mots auxquels Gina Pane s'empressera de répondre par le biais d'un courrier combinant croquis et note explicative 3. Par des voies semblables, l'artiste s'était déjà manifestée auprès de P. Restany, quelques mois auparavant, afin de solliciter l'intérêt du critique pour les oeuvres en question 4. En avait résulté une collaboration très fructueuse. Contre toute attente et malgré les circonstances houleuses de leur premier contact, c'est une relation bien plus féconde qui allait naître entre F. Pluchart et l'artiste. Les documents de Gina Pane conservés dans les dossiers de P. Restany et de F. Pluchart, comme ceux rassemblés par Dany Bloch et Aline Dallier, témoignent directement des liens établis par l'artiste avec chacun de ces critiques dans les années 1970. Très proches de la forme définitive sous laquelle ils furent restitués en exposition ou dans les revues, ces documents nous projettent, entre dessins préparatoires et notes d'intention de l'artiste, au coeur même de l'élaboration de l'oeuvre. Riche de 264 photographies, la documentation iconographique rassemblée par F. Pluchart illustre abondamment la pratique de l'artiste sur une période qui s'étend de 1968 (Pierres déplacées) à 1984 (Le Martyre de Saint Sébastien d'après une posture de Memling, partition pour un corps) 5. Au gré des 108 lettres qu'elle lui adressera parallèlement-de manière très régulière, jusqu'à la mort du critique en 1988-s'expriment avec sincérité les doutes et la ferveur qui animent l'artiste au quotidien de sa pratique 6. La place occupée par Gina Pane au sein du parcours des critiques est tout autant éclairée par le contenu des archives. Celles de P. Restany signalent l'enthousiasme avec lequel le critique a rapidement adhéré à l'oeuvre de l'artiste, et contribué à sa reconnaissance De l'oeuvre aux discours : quand l'archive témoigne Critique d'art, 23 | Printemps 2004
L’Histoire à l’atelier : restaurer les œuvres d’art (XVIIIe-XXIe siècles)
Critique d’art, 2013
Éditeur Groupement d'intérêt scientifique (GIS) Archives de la critique d'art Référence électronique Justine Collet, « L'Histoire à l'atelier : restaurer les oeuvres d'art (XVIIIe-XXIe siècles) », Critique d'art [En ligne], Toutes les notes de lecture en ligne, mis en ligne le 01 juin 2014, consulté le 21 septembre 2020. URL :