« Le serment de paix viennois (c. 1020). Contribution à l’étude du manuscrit A9 de la bibliothèque de la bourgeoisie de Berne », dans Bernard Andenmatten, Catherine Chène, Martine Ostorero, Eva Pibiri (dir.), Mémoires de cours. Mélanges offerts Agostino Paravicini Bagliani, Lausanne, 2008, p. 29-43. (original) (raw)
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Le code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes de l'article L.122-5, 2' et 3' a, d'une part, que les «copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, «toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou avants cause est illicite>> (art. L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L. 335-2 et suivants du code de la propriété intellectuelle .
Il s’agit d’une analyse critique de la (sur-)abondance de citations alléguées par Guittone d’Arezzo pour consoler un ami ruiné, Monte Andrea. Dans un premier temps, l’article rassemble les principaux commentaires critiques déjà publiés sur cette lettre, et relève une tendance générale à porter un jugement négatif sur l’abondance des citations. Puis l’étude cherche à mieux situer ce genre de lettre dans le contexte culturel de l’époque : la typologie des lettres et des sermons du XIIIe siècle permet alors de proposer une appréciation plus juste de la lettre de Guittone. Enfin, une analyse rapprochée du contenu permet de mettre en relief l’importance et le rôle des citations d’Aristote. Il est ainsi possible de prouver que cette lettre s’inscrit dans un horizon d’attente bien présent à l’époque, et que son auteur a choisi un instrument tout à fait pertinent pour diffuser son nouveau magistère. Si tratta di un’analisi critica della (sovr-)abbondanza di citazioni allegate da Guittone d’Arezzo per consolare un amico rovinato, Monte Andrea. In un primo tempo, l’articolo raduna i principali commenti critici già pubblicati su questa lettera rilevando la generale tendenza a dare un giudizio negativo sull’abbondanza delle citazioni. Poi lo studio cerca di situare meglio questo genere di lettera nel contesto culturale dell’epoca: la tipologia delle lettere e delle prediche del secolo XIII permette allora di proporre una valutazione più giusta della lettera di Guittone. Infine, un’analisi ravvicinata del contenuto permette di mettere in rilievo l’importanza e il ruolo delle citazioni di Aristotele. Diventa così possibile provare che questa lettera s’iscrive in un orizzonte d’attesa ben presente all’epoca, e che il suo autore ha scelto uno strumento del tutto pertinente per diffondere il suo nuovo magistero. http://arzana.revues.org/543
À la toute fin du registre 22 des Deliberazioni comuni du Conseil des Dix, on rencontre une série de documents bien peu usuels pour ce type de répertoire : une double feuille imprimée ainsi que la copie manuscrite de quatre lettres et d'une facture. Tous ces documents se trouvent après la dernière délibération du registro où les entrées sont organisées en un ordre chronologique fondé sur les dates auxquelles les délibérations ont été votées en Conseil... Lien https://interfas.univ-tlse2.fr/lineaeditoriale/1740
L’année 1598 est un tournant à double titre pour le royaume de France qui retrouve enfin la paix intérieure et extérieure après quarante années d’affrontements civils et religieux et des incursions répétées de troupes étrangères de tous les peuples voisins, Espagnols, Flamands sujets du roi d’Espagne, Allemands des différents Etats du Saint-Empire, Savoyards, Lorrains, Anglais. Après une courte guerre contre le duc de Lorraine, Henri IV a déclaré la guerre à l’Espagne de Philippe II en 1595, le Roi Catholique appuyant les droits de sa fille Isabelle-Claire-Eugénie sur le trône de France contre celui qu’il considère, à l’image des ligueurs français, comme un usurpateur. Excommunié par le pape Sixte Quint en 1585 comme relaps après son retour au culte réformé, il n’est reconnu que par une partie des Français comme leur souverain légitime depuis son accession au trône en 1589. A Vervins, peu de temps après l’enregistrement de l’Edit de Nantes (13 avril 1598), Henri IV signe la paix avec ses ennemis encore en lice, Espagnols et Savoyards, en tâchant de ne pas s’aliéner l’appui des puissances protestantes amies, Angleterre et Provinces-Unies. Mots clés : intérêts, médiateur, mûrissement, négociation multilatérale, mandat.
PARIS 1570 Le mariage des arts au coeur des guerres de religion Actes du colloque de Paris (mai 2013) Études réunies par Hugues Daussy, Isabelle His et Jean Vignes 4 Jean Martin, C'est l'ordre qui a été tenu à la nouvelle et joyeuse entrée, que […] Henri deuxième […] a faite […] en sa bonne ville […] de Paris […], Paris, J. Dallier,