Le Renversement comme geste critique de la métaphysique (original) (raw)

L’Agir humain devant Dieu. Remarques sur une tournure remarquable de la Septante

Manuscript of a paper published in Revue Biblique 113 (2006), 5-17. In the Septuagint, the expression "to sin before" is used several times when the sin is directed toward God. Similar expressions are found rather less frequently with some other verbs : to speak, to approach, to see, etc., "before God". These turns of phrase are reminiscent of the Targum. In the present article it will be argued that the said expressions reflect influence of the style used at the royal court in the Persian period. The occurrences in the Septuagint witness to the Aramaic background of the translators. The link between the Septuagint and the Targum would appear to be indirect.

Le renversement praxéologique, ou l’intelligence du Renard

2014

International audienceL'usage du langage est le propre de l'Homme (et des animaux de la fable). Longtemps, le langage fut considéré comme le simple véhicule d'une pensée autonome. Aujourd'hui, il acquiert une fonction cognitive et une densité propre. La question devient alors celle de son rapport à l'action. Action communicationnelle que constitue sa mise en discours, mais aussi action extra-langagière qui met en jeu les relations des interlocuteurs entre eux ainsi que leurs rapports au monde qu'ils construisent ensemble

LE GRAND REBOND OU L’ETERNEL RETOUR Essai d’épistémologie et modèle philosophique de cosmogénèse (12)

Révolution de la cosmogénèse La Revue Atlantico http://www.atlantico.fr/decryptage/big-bang-theorie-qui-pourrait-tout-changer publie le 5 janvier 2015 un article, mis à jour le 9 janvier 2015, sous le titre : Big Bang, la théorie, qui pourrait tout changer : ce ne serait pas l’origine de l’univers Selon l’auteur, Aurélien Barrau, professeur à l’Université Joseph Fourier, membre de l’Institut universitaire de France, c’est une idée qui fait son chemin. Ce n’est pas une certitude mais elle est confortée par « un faisceau d’indices » qui tend à démontrer que « le Big Bang n’est pas l’origine de l’Univers [notre Cosmos physique fini] mais que celui-ci serait éternel ». Il se serait donc déjà produit un nombre infini de fois dans le passé et il se recommencerait cycliquement en rebondissant sur lui-même. Bref, il s’agirait précisément de la théorie qui est développée — celle-ci avec certitude — ici même, sous le titre : Le Grand Rebond ou l’Eternel Retour Essai d’épistémologie et modèle philosophique de cosmogénèse Richard Sünder Rappelons que le Pr Robert Vallée, ancien maître de conférences à l’Ecole polytechnique (Paris), puis Professeur à l’Université de Besançon, a confirmé « l’intérêt de votre entité Zéro-Infini », c’est-à-dire de l’Arithmétique thermodynamique, qui est le point de départ de la cosmogénèse de Richard Sünder. Ceci, après avoir vérifié la validité de la solution rigoureuse des équations d’Einstein pour le premier instant du Temps physique de notre Cosmos par l’Américain Howard Robertson et le Britannique Arthur Walker qui, sans se connaître, l’ont découverte, chacun de son côté, en 1935 (voir Jean Charon dans Vingt-cinq siècles de cosmologie, Livre de poche, La Connaissance de l’Univers, Le Seuil, et Jean-Pierre Luminet dans Géométries de la variété univers, Groupe d’astrophysique relativiste, Observatoire de Paris, section de Meudon). Les précédents papiers, qui ont ce même titre, sont des extraits du texte présent qui est le seul complet et à jour. Les cosmologistes se croient les seuls capables d'éclairer l'origine de notre Cosmos physique qui est actuellement fini. Stephen Hawking a montré que, faute de thermodynamique, les cosmologies ne sont que des systèmes d'équations inertes, sans aucun feu pour les mettre en mouvement. Le présent essai démontre que l'origine de notre Cosmos relève exclusivement de la métaphysique, c'est-à-dire du couple Zéro-Infini, qui est la solution du Théorème d'incomplétude de Kurt Gödel. "Je vous confirme l'intérêt de votre entité Zéro-Infini" a écrit à Richard Sünder le Pr Robert Vallée, ancien maître de conférences en mathématiques à Polytechnique (Paris), puis professeur à l’Université de Besançon, après avoir vérifié les travaux de Howard Robertson et d'Arthur Walker qui ont trouvé, séparément et sans se connaître, en 1935, la solution rigoureuse des équations d'Einstein, à savoir le point mathématique de volume spatial nul mais de densité et de température infinies, c'est-à-dire l'énergie infinie. Afin de tout comprendre, Richard Sünder avait fondé son modèle sur l'Infini vide, qui est l'inertie infinie. Il lui manquait le contraire dialectique de l'Infini, qui ne pouvait être que le Plein infini contenu dans un volume spatial nul, de densité et de température infinies, qu'il baptisa aussitôt… Zéro. Il avait L’Infini vide… Ne manquait que son contraire absolu : le Zéro plein ! L'Arithmétique — donc le couple Zéro-Infini — est la Thermodynamique absolue : température infinie en Zéro et température zéro en l'Infini. Elle met donc en mouvement le Modèle géométrique de l'Arithmétique parce qu'elle est le feu absolu et la glacialisation, donc la cristallisation, absolue. Research Interests: Philosophie, Métaphysique, Physique, cosmologie, cosmogénèse, and Epistémologie, Histoire des Sciences, Stephen Hwking, Jean-Paul Sartre, Être et Néant Abstract : Stephen Hawking constate que les cosmologies sont des systèmes d’équations dépourvus de toute dynamique. Ce sont des photographies mais ce n’est pas un film. « Qu’est-ce donc qui met le feu aux équations pour qu’elles produisent un monde ? » demande-t-il. Réponse : Rien ! Absolument rien ! Il faut alors recourir au « Créateur » ! Dieu ! Ce qui ne résout rien car se pose la question sans solution : « Et le Créateur ou Dieu, qui l’a créé, lui ! » Conclusion : les cosmologistes sont dans l’impasse. Le problème qu’ils cherchent à résoudre est sans solution ! Jean-Pierre Changeux constate que la conscience émerge du système cérébral comme l’iceberg émerge de l’océan, ce qui ne définit strictement en rien ce qu’est la conscience et son extension, l’esprit. La conscience et l’esprit n’ont donc aucune existence physique (Littré). Ce sont de « pures constructions de l’esprit » (Robert) qui relèvent de la mythologie, donc de la Métaphysique. Paradigme des paradoxes : pour récuser la Métaphysique, les scientifiques sont contraints d’utiliser la pensée, produit métaphysique de l’encéphale ! Auteur du Modèle géométrique de l’Arithmétique Thermodynamique, Richard Sünder démontre alors que la genèse de notre Cosmos physique fini relève bel et bien de la Métaphysique, que les cosmologistes sont mal armés pour la résoudre et que seul le métaphysicien est armé pour y parvenir ! Et il résout l’énigme métaphysique de l’origine… Aboli bibelot d’inanité sonore (Mallarmé).

La théorie des renversements psychologiques : présentation et brève revue des travaux

These last years, an increasing interest appeared for the M. J. Apter’s theory of psychological reversal. This interest, recent scientific publications in French and big potential of researches, and applications of the model, make necessary to more widely present it in a theoretical feature article. We follow the classic plan of the scientific method and present first empirical observations and scientific intuitions about the reversals of psychological states. Then, this complex model is explained from its emotional motivational bases. As Apter (1982) states it: “The first purpose of the theory of the reversal is to show that the different aspects of a wide range of types of experience and behavior can be explained in reference to certain pairs of states and of reversals which arise among them”. After “reduction of tension” and “optimal level of arousal” models, reversal theory belongs to the third generation of models which take into account the extreme searches for relaxation or excitement. The concept of metamotivational state is presented and the four pairs of opposite states are described. Numerous variable connected with these states can be here only mentioned. Theory takes support on a considerable number of empirical and experimental proofs which represent 25 years of researches at an international level, declined on 9 main thematics. At the end, we discuss the article, the status of the theory as a general one and of personality. At the epistemological point of view, as a “grand theory” reversal theory shows some difficulties which are commented. It remains however a rich instrument in multiple perspectives for research and applications in many domains. Placed in the present supporting domains of cognitivism, behavioral-cognitivism, and social constructivism, the theory of psychological reversals has a promising future in psychopathology and health psychology.