Thrombolyse par le rt-PA au cours de l'infarctus cérébral (original) (raw)
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Vascularite cérébrale au cours de la polyarthrite rhumatoïde
Revue du rhumatisme, 2007
Les angéites inflammatoires du système nerveux central sont exceptionnelles au cours de la polyarthrite rhumatoïde (PR) et leur symptomatologie parfois trompeuse. Dans la majorité des observations rapportées, il s'agit de PR anciennes, nodulaires, destructrices, positives pour le facteur rhumatoïde, touchant plus souvent les patients de sexe masculin et la vascularite s'associe à des signes généraux marqués et à des manifestations extra-articulaires bruyantes de vascularite. Nous rapportons l'observation d'une patiente âgée de 59 ans suivie depuis 20 ans pour une PR positive pour le facteur rhumatoïde, érosive, bien équilibrée par du méthotrexate et chez qui l'apparition de céphalées brutales résistantes au traitement médical associées à des troubles de la marche ont permis de découvrir une vascularite cérébrale. L'IRM cérébrale montrait des hypersignaux punctiformes bilatéraux sous-corticaux périventriculaires et l'angio-MR un rétrécissement filiforme de l'artère carotide interne droite et un aspect en chapelet de l'artère carotide interne gauche évocateurs de lésions de vascularite. La patiente a été traitée par un bolus associant méthylprednisolone (1 g/j pendant trois jours) et cyclophosphamide (1 g) ayant amené une normalisation de l'examen neurologique et du bilan inflammatoire avec un recul de cinq mois. Les schémas thérapeutiques habituels utilisés en cas de vascularite cérébrale associent des bolus mensuels de corticostéroïdes et de cyclophosphamide avec une corticothérapie continue entre les bolus à dose variable. D'autres thérapeutiques peuvent être proposées en cas d'échec des bolus combinés et notamment les anti-tumor necrosis factor (TNF) alpha qui peuvent être efficaces dans la vascularite cérébrale rhumatoïde. Ces biothérapies ne devront être prescrites qu'après avoir éliminé les autres causes de vascularites dont notamment la maladie de Horton et le Wegener qui se sont avérés réfractaires aux anti-TNF.
2009
L'incidence des accidents vasculaires cerebraux chez le sujet de moins de 55 ans est de 34/100 000. Le bilan etiologique complet ne permet pas de mettre en evidence d'etiologie dans 30 a 35 % des cas. L'imputabilite des etats dits pro-thrombotiques dans la pathologie arterielle cerebrale reste incertaine. Cette etude realisee sur des donnees collectees de maniere prospective, proposait d'inclure un bilan de thrombophilie au bilan etiologique des infarctus arteriels cerebraux des sujets de moins de 55 ans afin de justifier de telles recherche, de determiner d'eventuels sous groupes de patients devant beneficier de ce depistage. Patients et methode. 84 patients ont ete inclus entre le 1 er janvier 2006 et le 31 decembre 2007 dans l'unite neurovasculaire du Centre Hosptalier Saint Jean de Perpignan. Le bilan etiologique comprenait le depistage de differentes thrombophilies: hyperhomocysteinemie, mutation C677T de la methylene-tetra-hydro-folates reductase (MTHFR...
Journal Francais D Ophtalmologie, 2000
PURPOSE: to evaluate the efficacy and the safety of low dose intraocular tissue plasminogen activator (rt-PA) in the treatment of traumatic hyphema and postoperative fibrinous membrane. METHODS: Six microg to 10 microg of rt-PA was injected into the anterior chamber to treat severe fibrinous postoperative membranes and total traumatic hyphemae. RESULTS: Thirteen eyes of 13 patients were treated. Four cases of traumatic hyphema and 9 cases of fibrinous membranes were included. Complete fibrinolysis within 24 hours was observed in 4 cases (30.8%). A partial success was noted in 7 eyes (53.8%). No beneficial effect was observed in two cases of traumatic hyphema associated with intravitreal hemorrhage after penetrating trauma. No side effect attributable to rt-PA occurred. CONCLUSION: Low dose intraocular rt-PA appears to be safe and effective in the treatment of postoperative fibrinous membrane and endocular hemorrhage limited to the anterior chamber.
Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, 2005
We reported the late thrombosis of a drug-eluting coronary stent related to discontinuation of antiplatelet therapy for venous surgery of the right leg more than half and a year after its implantation. After this acute myocardial infarction, a cardiac assistance device has to be used as a bridge to transplantation because of end stage ischaemic cardiopathy. Antiplatelet therapy management must