Recension de : Stéphane-Marie MORGAIN, La théologie politique de Pierre de Bérulle (1598-1629), préf. Robert DESCIMON, Paris, 2001 (original) (raw)
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The article analyzes the perception of the revolt of 1378 in Florentine memory, from the end of the 14th century to the middle of the 15th century. Two types of sources – Florentine family books and humanistic writings – are submitted to a crossed analysis. From the confrontation of those sources, the two following conclusions can be drawn: first, the interpretations of the event gradually change and eventually shun any socio-economic analysis of the conflict; second, those interpretations reflect two key political issues, both distinct and consecutive in time: the resemantization of guelfism and, from the 1430s onwards, the social analysis of the republic through a rigidly hierarchical framework.
Positions luthériennes, 2017
Après le mémorial édifié par les paroissiens le 1er juin 1827, dans l’église de Waldersbach, commémorant la première année du décès du pasteur oberlin, cent quatre-vingt six ans plus tard, le 11 octobre 2013, c’était un mémorial immatériel qui était dévoilé par le Ministère de la culture : une plaque labélisant l’ancien presbytère protestant de Waldersbach, l’actuel Musée oberlin, en « Maison des illustres ». Ce label a été créé deux ans plus tôt, selon les termes du Ministère : « pour signaler au public les lieux dont la vocation est de conserver et transmettre la mémoire des femmes et des hommes qui les ont habités et se sont illustrés dans l’histoire politique, sociale et culturelle de la France1 ». Ce fait d’actualité a été l’occasion de rechercher dans les archives du pasteur-pédagogue Jean-Frédéric oberlin (1740-1826) ce qu’une telle promotion au rang « d’illustre » aurait pu lui inspirer comme commentaires. etc.