Sur l’infestation deMyotis nattereri(Kuhl, 1818)(Chiroptera, Vespertilionidae)parBasilia nattereri(Kolenati, 1857)(Diptera, Nycteribiidae)dans le Sud-Ouest de la France (original) (raw)
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We hereby report on examinations of specimens held at the Muséum d’histoire naturelle de Nîmes (France) and conclude that Vespertilio (Myotis) latipennis (Crespon,1844) is not a synonym of Myotis myotis (Borkhausen, 1797) as currently recognised but can be identified as either Myotis emarginatus (E. Geoffroy, 1806) or Myotis cf. nattereri (Kuhl, 1817). If the specimen represents the latter species, it would be synonym with Myotis sp. A of the nattereri group.
Description d’une chauve-souris nouvelle : Myotis nathalinae nov. sp. (Chiroptera —Vespertilionidae)
Mammalia, 1977
Description (Tun petit Myotis d'Europe occidentale, voisin de M. daubentoni. Lors d'un travail precedent (Tupinier, 1975), portaiit sur les Chiropteres de la faune d'Espagne, j'avais mis en evidence 1'existence d'animaux proches de Myotis daubentoni (Kühl, 1819) mais qui pre*sentaient des caracteres osseux ne permettant pas de les inclure dans cette espece. Ces exemplaires appartiennent ä une nouvelle espece de*crite ici : Myotis nathalinae Derivatio nominis. Cette espece est dediee a mes deux filles Nathalie et Aline qui ont contribue* ä la decouverte des premiers specimens lors de travaux sur la faune espagnole. Hololype. Male adulte conserve dans 1'alcool, depose au Museum National d'Histoire Naturelle ä Paris sous la reference : GG 1975-1123 (Coll. Y. Tupinier n° 165) capture ä Cabezarrubias, province de Ciudad Real, en Espagne le 2 aoüt 1971. Get exemplaire faisait partie d'une population qui avait comme glte une galerie de mine desafiecte*e ä environ 750 m d'altitude.
Bulletin de la Société entomologique de France, 2019
Xylotrechus chinensis (Chevrolat, 1852) a été observé pour la première fois en France métropolitaine. Deux foyers de cette espèce invasive sont signalés en Gironde et dans l'Hérault. Un rappel des précédentes interceptions et introductions mondiales et une synthèse des connaissances biogéographiques et biologiques sont présentés. Les aspects de nuisibilité, de contrôle et le statut d'espèce invasive sont donnés. L'expansion potentielle de l'espèce en France est estimée. Abstract.-Xylotrechus chinensis (Chevrolat, 1852), new invasive species in France mainland (Coleoptera, Cerambycidae, Clytini). Xylotrechus chinensis (Chevrolat, 1852) was observed for the first time in French mainland. Two outbreaks are reported in the Gironde and Hérault departments. The previous interceptions and introductions worldwide are reviewed as well as the available biogeographic and biological data. The injuriousness, control methods, and invasive species status are documented. The expansion potential of this species in France is assessed.
Parasite, 1999
Fifteen specimens of Pteromylaeus bovinus (Geoffroy St. Hilaire) from the Tunisian coast were examined for ectoparasites during 1996-1998. Myliocotyle pteromylaei gn. et sp. n. found on gills of twelve host specimens is described and illustrated. It differs from other Heterocotylinae mainly by the number and morphology of haptoral dorsal structures, arrangement and number of the anterior glands and morphology of the penis. M. pteromylaei, along with Heliocotyle kartasi, illustrates the originality of monocotylids gill parasites of Pteromylaeus bovinus.
Bulletin de la Société entomologique de France
Cette étude établit la synthèse des observations d'Ascalaphe soufré (Libelloides coccajus) et d'Ascalaphe ambré (L. longicornis) dans la moitié nord de la France depuis le XIX e siècle. Plus de 900 observations (588 de L. coccajus, 308 de L. longicornis) rapportées par près de 250 observateurs permettent de préciser la distribution actuelle et passée des deux espèces et leur phénologie imaginale. Ces deux Névroptères partagent des préférences très similaires pour les habitats pelousaires, en particulier les pelouses sèches calcaricoles. Néanmoins, leurs distributions ne se recoupent que partiellement. Les effectifs dénombrés se limitent en très grande majorité à un ou quelques individus seulement, même si ces deux Ascalaphes présentent chacun des bastions dans lesquels les effectifs instantanés comptent plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d'individus. La forte augmentation du nombre annuel d'observations depuis les années 1990 s'explique en grande partie par l'accroissement du nombre d'observateurs. Des recherches historiques approfondies dans l'ouest de la zone d'étude permettraient de confirmer l'extension de L. coccajus au cours du XX e siècle et en ce début du XXI e siècle, parallèlement à un déclin de L. longicornis à l'est. Des recherches ciblées sur les larves et la mise en place de suivis permettraient de mieux comprendre l'écologie et la démographie de ces Névroptères. Summary.-Recent and older records of Libelloides coccajus (Denis & Schiffermüller) and L. longicornis (Linnaeus) in Northern half of France (Neuroptera, Ascalaphidae). This study gathers the records of the owlflies Libelloides coccajus and L. longicornis in the northern half of France since the XIXth century. More than 900 records (588 for L. coccajus, 308 for L. longicornis) have been reported by ca 250 observers over that period. The two species seem to share the same preference for grasslands, especially dry calcareous grasslands. Yet there is relatively little overlap in their distribution in the study area. Most of the records report one or a few individuals, although both species can be found in dozens, or even hundreds, in some localities. The strong increase in the annual number of records since the 1990s is mostly attributed to the increase of people visiting areas favourable to these species. Yet L. coccajus may have experienced a westward extension of its distribution during the XXth century, while L. longicornis may have declined in eastern France, but further search for past records is needed to confirm these changes. The systematic search for larvae and the development of monitoring programmes would help better understanding the ecology and demography of these neuropterans. Zusammenfassung.-Gesamtüberblick über neueste und alte Beobachtungen von Libelloides coccajus (Denis & Schiffermüller) und L. longicornis (Linnaeus) in der Nordhälfte Frankreichs (Neuroptera, Ascalaphidae). Die vorliegende Arbeit gibt einen Gesamtüberblick der Beobachtungen des Libellen-Schmetterlingshaftes (Libelloides coccajus) und des Langfühlerigen Schmetterlingshaftes (L. longicornis) in der nördlichen Hälfte Frankreichs seit dem XIX. Jahrhundert. Mehr als 900 Meldungen von beinahe 250 Beobachtern erlauben es, die heutige und frühere Verbreitung beider Arten, sowie deren Imaginalphänologie, festzulegen. Diese beiden Netzflügler bevorzugen Rasenhabitate, insbesondere Kalk-Trockenrasen. Dennoch überdecken sich ihre jeweiligen Verbreitungsmuster nur teilweise. Die aufgezählten Funde umfassen in den LISTE DES CONTRIBUTEURS
Parasite, 2006
The female of Phlebotomus chadlii Rioux, Jumminer & Gibily, 1966 is described and illustrated for the first time from a specimen collected in El Kef region, northwest Tunisia. It was distinguished from P. ariasi by several characters of the spermathecae: 1) the enlarged portion of P. chadlii spermathecae duct appears smooth and better developed than that of P. ariasi; 2) in P. chadlii, this part comprises three quarters of the duct whereas, in P. ariasi, it covers only the half; 3) the spermathecae neck of P. chadlii is shorter than that of P. ariasi. The duct base is compatible with the large aedeagus size of P. chadlii male. Besides, the assignment of this female to the species P. chadlii is supported by: 1) the presence of males in the same area, over the last three years; 2) the total absence in this area of P. ariasi; 3) the concomitant presence, in the same trap station, of the described female with P. chadlii males. Résumé : La femelle de l'espèce Phlebotomus (Larroussius) chadlii Rioux, Juminer & Gibily, 1966, inconnue jusqu'à ce jour, est décrite à partir d'un exemplaire capturé au nord-ouest de la Tunisie, dans la région du Kef. Elle a pu être distinguée de P. ariasi par plusieurs caractères de la spermathèque : 1) chez P. chadlii, la partie évasée du conduit apparaît plus lisse et plus large que chez P. ariasi ; 2) chez P. chadlii cette partie représente les trois-quart du conduit alors que chez P. ariasi elle n'en forme que la moitié ; 3) chez P. chadlii, le col de la spermathèque est plus court que celui de P. ariasi. La base du conduit est compatible avec la grande taille de la valve pénienne de P. chadlii. Par ailleurs, l'attribution de cette femelle à l'espèce P. chadlii est soutenue par : 1) la présence de mâles P. chadlii dans la même localité, durant trois années successives ; 2) l'absence totale de P. ariasi dans cette région ; 3) la coexistence, dans la même station, de la femelle décrite, avec des mâles de P. chadlii.
Osmia, 2010
On the presence of Andrena binominata Smith, 1853 (Hymenoptera, Andrenidae) and Nomada duplex Smith, 1854 (Hymenoptera, Apidae) in France. - The bees Andrena (Carandrena) binominata Smith, 1853 and his supposed cuckoo Nomada duplex Smith, 1854 are reported from the surroundings of Perpignan (Pyrénées-Orientales, France) for the first time and some observations made on the field in 2010 are presented. Furthermore, the geographic distribution of both species is synthesized and illustrated with a map. The new data are also discussed with an emphasis on conservation biology.
Un affleurement du Barrémien inférieur (zone à Nicklesia pulchella) du Gard a livré de nombreux Céphalopodes parmi lesquels des représentants des genres Heminautilus SPATH, 1927 et Eucymatoceras SPATH, 1927 (Nautilida, Nautilaceae), deux unités génériques connues jusqu’à présent uniquement dans le Barrémien terminal et l’Aptien inférieur. Le matériel étudié n’a pas permis de confirmer ou infirmer la synonymie des espèces Eucymatoceras plicatum (FITTON, 1836) et E. requienianum (d’ORBIGNY, 1840) habituellement admise par les auteurs qui ont abordé ces taxons. Une nouvelle espèce d’Heminautilus (H. boselliorum sp. nov.) est décrite, il s’agit de la plus ancienne espèce connue du genre.