Que peuvent nous apprendre les productions écrites des sourds ? : analyse de lectes écrits de personnes sourdes pour une contribution à la didactique du français écrit en formation d'adultes (original) (raw)

, qui porte la responsabilité de mon engagement dans cette thèseJ. Directrice de recherche, conseillère scientifique, coach, documentaliste,… Merci pour ton soutien constant. Toto va bene ! À Christian Cuxac, mon directeur de recherche, pour la cordialité et la confiance dont il a toujours fait preuve à mon égard. À tous mes collaborateurs sourds et entendants qui se sont prêtés de bonne grâce à ce jeu. Remerciements sincères pour leur participation, leurs encouragements et leur patience. Ceux qui, pour des raisons matérielles (distance, …) n'ont pas eu droit aux pizzas, tartes et gâteaux habituellement préparés avec soin pour mes volontaires parisiens, sont assurés que je me rattraperai aussitôt que l'occasion m'en sera offerte (cette page vaut pour un bon). À Marzena Watorek, pour les sessions de travail qui m'ont permis de m'approprier le modèle de l'ALA et à Eva Lenart, qui a bien voulu relire ma partie méthodologique. À Françoise et Laurence, pour nos échanges toujours riches, pour nos beaux projets à venir et pour leur amitié et soutien constants. À Marie-Thérèse L'huillier : merci pour tes encouragements, pour nos nombreuses conversations sur le français écrit, tes conseils et ton amitié. À Anne-Laure, pour nos échanges, le plus souvent autour d'un bon plat, ce qui n'enlève rien ! À toutes les personnes qui m'ont aidée à rencontrer mes collaborateurs sourds (Sandrine Schwartz, Nadia Bourgeois, André Minguy, Françoise Leclerc) et mes informateurs entendants (Claire Verdier, Christine Vilkitzki et Brigitte Garcia). À Marie-Anne Sallandre et toute l'équipe du département de linguistique des langues des signes de Paris 8, pour m'avoir mis le pied à l'étrier (et bien plus encore) lors de mon monitorat. À tous mes étudiants de ces six dernières années, pour les réflexions qu'ils m'ont apportées sur mon thème de recherche ; à tous mes étudiants et collègues sourds pour les mêmes raisons et pour leur patience face à mon expression en LSF souvent hésitante et leurs encouragements à persévérer. Je mesure la chance d'avoir pu disposer d'une salle de travail durant toute la durée de ma thèse. Merci au laboratoire SFL de mettre tant de choses à disposition des doctorants. Merci à mes collègues du bureau des doctorants : Annie-Claude, Muhsina, Eva, Camille, Dina, Nawel, et j'en oublie. Merci pour l'ambiance, les rires, les échanges théoriques, les coups de mains et pour tous nos projets à mener, scientifiques et touristiques. Merci aussi à Georgie, pour sa sympathie et les multiples petits services rendus. À Marie-José Josserand et à Coralie Vincent, pour les relectures de dernière minute, à Nawel et Claire pour le solide coup de main en anglais. Merci à elles. À mon Guillaume préféré pour sa confiance inconditionnelle, son soutien constant, sa patience et ses petits plats. À mon fils Eliott, qui projette de faire dix thèses quand il sera grand et qui est quand-même bien content que la mienne soit terminée. À tous mes amis qui vont maintenant devoir se passer de cette sempiternelle question : « Alors tu la rends quand ??? » Phrases produites par de jeunes sourds et validées comme d'authentiques « deafisms » par des enseignants spécialisés. La mère voulait aider Alban à sortir de ce tas mais le père prend les devants… Et ironie du sort, au lieu d'aider son fils, le père s'écrie (Alice D3) Ceci correspond à un classique cas d'impropriété, très courant également chez les entendants natifs et apprenants. Il s'agit dans notre corpus d'un phénomène tout-à-fait