Religion et société (original) (raw)

Société et religion

2008

Cette édition électronique a été réalisée par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi à partir de : Jean-Louis Benoît "Société et religion: sécularisation laïcité et politique.-Les élections américaines, la société musulmane et le déclin du catholicisme européen à la lumière du texte tocquevillien-." Texte inédit, 8 mai 2008. L'auteur, Jean-Louis BENOÎT, professeur agrégé, docteur ès Lettres, enseignant en Classe Préparatoire aux grandes Ecoles (e.r.) a consacré l'essentiel de ses recherches à l'oeuvre d'Alexis de Tocqueville, il a publié livres et articles et organisé des colloques consacrés à l'auteur de La Démocratie en Amérique. Il nous a accordé le 4 janvier 2008 son autorisation de diffuser électroniquement ce texte de cette conférence dans Les Classiques des sciences sociales.

Religions et sciences sociales

Revue d'histoire de l'Amérique française, 2004

Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : info@erudit.org Article « Religions et sciences sociales : un chassé-croisé interprétatif entre histoire, théologie et sociologie » Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.

Religion et socialisation des déviances

Classiques des sciences sociales., 2006

Pluralité des représentations et contrôle social Conclusion Références Raymond Lemieux, "Religion et socialisation des déviances." (1982) 4 André Turmel "Religion et socialisation des déviances. Concurrences et alternatives dans les rapports entre discours religieux et pratiques médicales.". Un article publié dans l'ouvrage sous la direction de Raymond Lemieux, Réginal Richard et Jean-Paul Rouleau, Pathologie(s) et religion(s). Les Cahiers de recherches en sciences de la religion, vol.

Tradition religieuse et justice sociale

Théologiques, 2016

Cet article tente de voir dans la pratique religieuse, et spécifiquement celle de l’islam, les indices d’une réponse individuelle à l’injustice sociale. La démarche de mise en contexte part de la thèse de Nancy Fraser qui consiste à reconsidérer la justice sociale à travers ses dimensions de reconnaissance et de redistribution. La perspective de l’auteure féministe se rapproche de la praxis coranique de la zakat. Aussi, l’initiative se poursuit en exposant ce commandement divin au fondement de la foi. Trois propriétés y sont rattachées : 1) la zakat constitue un vecteur de redistribution des biens possédés ; 2) elle formule une créance du démuni sur les biens du nanti ; 3) elle construit une éthique de comportement individuel élevée sur la solidarité et la justice. Finalement, l’entreprise figure une proposition possible dans le contexte québécois.

La religion et le religieux dans la société postmoderne

2012

Dans la modernité, selon Jean-François Lyotard 1 , « l'idée du grand récit arrive vers sa fi n ». Dieu, comme idée universelle, n'est plus là. Sa personne est remplacée par l'esthétique, la citoyenneté, le drapeau, la raison, la nature. On pourrait dire : « à chacun quelque chose selon son choix ». Marcel Gauchet 2 nous parle du « désenchantement du monde ». 1 Jean-François Lyotard (1924-1998), philosophe, écrivain, essayiste français, membre du Collège International de Philosophie, associé au poststructuralisme et généralement reconnu pour sa théorie de la postmodernité (« hypermodernité »). Auteur de très nombreux articles et d'une trentaine de livres où la philosophie est étroitement mêlée aux questions de l'art, de la littérature, de la psychanalyse, de l'histoire. 2 Marcel Gauchet, philosophe français, né en 1946. Issu d'un milieu modeste, entre à l'Ecole Normale d'Instituteurs puis, après une maîtrise de philosophie, se lie avec Claude Lefort et surtout Pierre Nora, avec qui il fonde Le Débat. S'intéressant à l'Etat, la laïcité et la religion, il publie Le désenchantement du monde en 1985, ouvrage majeur qui le rend célèbre. Pour Gauchet, l'ébranlement de la société traditionnelle laïque suscite la chute du religieux : c'est à la lumière de l'histoire qu'il illustre sa théorie philosophique, soutenant que l'absolutisme royal, en abusant du pouvoir, a dépassé et discrédité le religieux dont il se réclamait. Jusqu'à un point de non-retour. Gauchet estime que le christianisme est « la religion de la sortie de la religion », c'est-à-dire une religion qui contient potentiellement en elle-même la dynamique de sécularisation. Cette sécularisation (ou « désenchantement du monde ») ne signifi e pas la fi n des croyances privées personnelles, mais que désormais la religion ne structure plus la société, elle n'en est plus le principe d'organisation ou de légitimité.

Foi et société en Chine

Arwaba, février 2014, pp.37-43. La société chinoise s’est structurée au cours du temps en fonction de rites et croyances liées au village, à la terre. Les rites célébrés ensemble assuraient la cohésion d’une société paysanne. Le confucianisme a eu pour tâche d’élargir ces rites et croyances à la dimension d’un Etat, et aussi de « rationaliser » certaines de ces croyances, d’assurer la communication entre le peuple et les Lettrés. Après s’être présentée d’abord comme « religion anti sacrificielle », le taoïsme lui-même s’est amalgamé avec la religiosité populaire, lui a fourni des cadres et des concepts renouvelés. Un phénomène d’acculturation un peu semblable s’est produit avec le bouddhisme, mais cette dernière religion a de fait fourni aussi une approche du transcendant, une organisation sociale (le monastère), une ouverture sur le monde qui ont mis en question les cadres traditionnels.

Cité et religion

Collections Electroniques De L Inha Actes De Colloques Et Livres En Ligne De L Institut National D Histoire De L Art, 2011

Religion collective et religion privée

Dialogues d'histoire ancienne, 2013

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