Barbery – Les Tuileries de Barbery (original) (raw)

Fontevraud-l’Abbaye – Abbaye

2020

Deux opérations de sauvetage ont accompagné en 1996 les travaux de restauration menés par la Conservation régionale des Monuments historiques, à l’intérieur de l’abbaye de Fontevraud : la première au nord de l’église abbatiale, la seconde à l’intérieur du cloître du grand monastère de moniales, le Grand Moûtier. Nord de l’église abbatiale La seconde campagne menée au nord de l’église abbatiale a été conduite sur une surface de 800 m2 ; la fouille du secteur sera achevée en 1997. L’étude menée..

Fontevraud – Abbaye royale

2020

Depuis 1983, les travaux de restauration et de mise en valeur conduits par la Caisse Nationale des Monuments Historiques, la Conservation Régionale des Monuments Historiques et le Centre Culturel de l’Ouest sur l’ensemble des bâtiments du complexe abbatial de Fontevraud, sont précédés et accompagnés de fouilles et de relevés archéologiques concernant tout aussi bien les élévations que le sous-sol. L’ensemble de ces investigations a été placé sous la responsabilité scientifique de D. Prigent, ..

Thervay – Le Colombier

2019

L’ouverture d’une carrière destinée à l’approvisionnement des chantiers liés à la construction de la ligne à grande vitesse Paris-Bâle, sur le territoire de la commune de Thervay (Jura), au lieu-dit « Le Colombier », avait amené le service régional de l'archéologie à prescrire la réalisation d’un diagnostic archéologique sur les parcelles cadastrées YK 9 et YK10. En avril 2006, cinq tranchées de sondage avaient permis de mettre au jour des structures de combustion liées à la production de cha..

Saint-Éloy-les-Tuileries – La Rivière

2021

L’opération menée sur deux bâtiments appartenant au hameau de la Rivière s’intègre à plusieurs problématiques. L’une d’elles concerne la question de l’origine et de l’évolution du hameau aux confins du Limousin et du Périgord, depuis le Moyen Âge jusqu’à la période contemporaine. Parallèlement, l’enquête repose sur la nécessaire datation de bâtiments ruraux trop souvent considérés comme « récents » (période contemporaine), en tous cas rarement datés. C’est tout particulièrement le cas de cert..

Poupry – Les Hernies

2021

La fouille prescrite au lieu-dit les Hernies (lot 3), contiguë à celle du lot 2, a été réalisée dans le cadre de l’aménagement d’une zone d’activités par le syndicat mixte d’Artenay-Poupry, a porté sur une surface de 1,1 ha, et s’est déroulée en 2016. Elle a entraîné la mise au jour d’une vaste nécropole de la fin du premier et du début second âge du Fer. Ses limites semblent avoir été cernées et permettent de définir un espace funéraire d’environ 4 000 m2. Il comprend au total 86 sépultures ..

Montagney – La Forge

2019

Historique et présentation du site Les sources, en cours de dépouillement aux archives départementales et nationales sont rares et éparses. L’activité de la forge de Montagney a débuté vers 1689. L’annuaire du Doubs de 1847 signale une amorce d’activité dès 1500. L’usine en 1772 produit 225 t de fonte et 300 t de fer. En 1748 la forge est connue dans les archives pour fabriquer des boulets de canon. En 1812 l’usine comprend un haut fourneau, deux feux de forge, un martinet, un patouillet et d..

Le château de Bussy-Rabutin

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2018

Courage, talent, esprit, ces ingrédients auraient pu lui assurer une belle carrière si un esprit libertin, un goût immodéré de séduire, d'être aimé, de briller en société, ne lui avaient valu bien des mauvais jours, la prison et l'exil. C'est paradoxalement grâce à ces moments de disgrâce que nous connaissons intimement Roger de Bussy-Rabutin. Exilé dans ses terres de Bourgogne, il occupa seize années de relative solitude à créer une oeuvre sans équivalent, mettant en scène les décors de ses maisons, dont celui si remarquable du château qui porte son nom, et concevant cet autre monument que constitue le récit de sa vie, ses Mémoires. À sa mort, ses enfants firent éditer ses ouvrages. Ils offrirent ainsi à la postérité deux fragments du Grand Siècle, car, aux lettres du comte de Bussy-Rabutin, se mêlaient celles de sa cousine tant aimée, la marquise de Sévigné. Si ses enfants assurèrent sa postérité littéraire, ils respectèrent aussi son château et ses décors si riches, si codés, tout comme leurs successeurs sous Louis XV. Le comte de Sarcus, un siècle plus tard, lui donna ses dispositions actuelles, compléta les séries de tableaux jusqu'au règne de Charles X et ne manqua pas d'inscrire, lui-aussi, des commentaires et des légendes au bas des portraits. C'est ce château, conservé et transformé, qui a été acquis par l'État après la Grande Guerre et que le Ministère de la Culture a confié au Centre des monuments nationaux. Depuis, tout au long de l'année, des visiteurs viennent rencontrer ce personnage qui incarne si bien le Grand Siècle. Et en découvrant sa création, ses décors, ses commentaires, Roger de Bussy-Rabutin devient presque un familier, La façade du corps de logis est typique du premier dix-septième siècle. C'est là, véritablement, le bâtiment que Bussy nommait sa « maison ». Chronologie du château Fin XII e : tours sud-ouest (chapelle) et sud-est XIV e siècle : famille de Châtillon Fin XIV e : tours nord-ouest et nord-est ; reprise des tours rectangulaires préexistantes. XV e-XVI e siècle : famille de Rochefort XVI e : Galeries 1600-1733 : famille de Rabutin Deuxième quart du XVII e : corps de logis Aménagement de l'appartement de Bussy 1733-1789 : famille Dagonneau Aménagement du rez-de-chaussée droite Réalisation des jardins 1835-1919 : famille de Sarcus Restauration du château Aménagement du 1 er étage droite

L’Écaille: Derrière les Jardins

Identifiant de l'opération archéologique : 4932 Date de l'opération : 2004 (FP) Cette opération de fouille archéologique fait suite à une phase de diagnostic réalisée au début de l'année 2004, en préalable au projet de création d'un lotissement. L'Écaille est un petit village situé au sud du département des Ardennes, à environ 30 km au nord de Reims. Le gisement archéologique est localisé au nord de l'agglomération. Le terrain présente une légère déclivité sud-nord passant de 76 m à 72 m NGF et est bordé au nord par la Retourne, petit affluent de L'Aisne.Le substrat est composé d'alluvions anciennes. Elles consistent en dépôts de graviers ou de sables argileux. La grève crayeuse, élaborée au cours du quaternaire, se compose de granules, graviers et limons pulvérulents, étalés largement sur les pentes par solifluxion. Les structures archéologiques apparaissent dans ces niveaux, à environ 0,60 m de profondeur.

Saint-Symphorien – L’Argileyre

2013

Identifiant de l'opération archéologique : 025378 Date de l'opération : 2008 (SU) Découvert par prospection de surface, le site voisinait les travaux de construction d’un petit supermarché. Les dégâts étaient déjà faits, néanmoins un locusdonnant des tessons de céramique médiévale en grande quantité semblait persister au-delà du fossé de ceinture de la parcelle. Sur une épaisseur visible d’à peine 0,20 m dans la coupe du fossé, les tessons affleuraient à la surface en grand nombre. Le matérie..