Michel Lallement, Tensions majeures. Max Weber, l'économie, l'érotisme. Gallimard, coll. « nrf Essais », Paris, 2013, 275 pages (original) (raw)
2014, Travail, genre et sociétés
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DRAFT. Citer la version définitive accessible ici : https://shs.cairn.info/revue-cahiers-d-economie-politique-2024-2-page-91?lang=fr Cet article examine les études de Weber sur la psychophysique publiés en 1908-1909 au regard de L'Ethique protestante, au moyen du problème de la communauté : d'une part la communauté sectaire, qui permet de penser une subjectivité religieuse et économique constamment sous le contrôle de ses pairs ; d'autre part la communauté ouvrière, espace d'expression d'une rationalité aiguë et en même temps de contrôle social strict : la rationalité ouvrière se développe, selon Weber, dans un ajustement constant par rapport aux décisions des entrepreneurs, ajustement qui peut aller jusqu'à des stratégies de "freinage" où un rapport de force s'installe silencieusement, selon les normes mêmes du capitalisme, avec le patronat. Nous examinerons ainsi comment la subjectivité peut être pensée par une psychologie sociale où la communauté joue un rôle crucial, et comment elle a pu constituer diverses formes de rationalité. On espère ainsi contribuer à une histoire communautaire de la subjectivité moderne.
Y a-t-il un « cas Weber » dans l'histoire de la sociologie française ? La question posée par Monique Hirschhorn ne s'appuie pas seulement sur des faits matériels (la traduction française si étonnamment tardive et d'ailleurs encore inachevée d'une œuvre maîtresse) et sur l'histoire des idées (de la « splendide ignorance » de Durkheim et des siens pour le sociologue d'Heidelberg à l'adhésion récente de certains de nos meilleurs auteurs). Elle procède aussi, visiblement, de l'irritation ressentie par une disciple devant le « mauvais » traitement trop longtemps réservé par la sociologie française à l'un des maîtres étrangers de la discipline.
Revue Organisations & territoires
La fable du Martien, de Max et d'Alfred Weber : une introduction au paradoxe fondamental de l'économie spatiale Luc-Normand Tellier Université du Québec à Montréal ans mon récent ouvrage 1 , plusieurs pages sont consacrées à la compréhension de ce que j'appelle le paradoxe fondamental de l'économie spatiale. Afin de faire découvrir ce paradoxe, j'avais imaginé une fable que nous avons dû renoncer à inclure dans le livre, faute d'espace. Ce conte philosophique raconte la rencontre imaginaire entre un Martien et deux frères célèbres : Max Weber (1864-1920), économiste, sociologue et philosophe allemand connu, entre autres, pour le lien qu'il a tenté d'établir entre le protestantisme et le capitalisme, et Alfred Weber (1868-1958), un des grands penseurs de l'économie spatiale. La fable se présente comme suit.
Cette note se propose d’arpenter la voie tracée par les travaux qui plaident pour une relecture wébérienne des transformations contemporaines des organisations, en précisant quelques hypothèses de travail qui peuvent ressortir de la relecture du sociologue allemand. Nous ne défendons pas l’idée selon laquelle on retrouverait dans les écrits de Weber une réponse à toutes les questions que pose aujourd’hui le phénomène gestionnaire. L'oeuvre de Weber présente néanmoins plusieurs intérêts pour la sociologie de la gestion et c’est à partir de ce prisme que nous réalisons cette recension. Nous faisons le pari que l’on trouve chez cet auteur classique une approche du phénomène bureaucratique qui permette de repenser à nouveau frais la question de la convergence des modèles productifs, entre privé et public.
Max Weber: ville et capitalisme moderne
SocietàMutamentoPolitica, 2014
Max Weber's essay on The City, published after his death, has often been interpreted as a contribution to urban sociolog y or as a plea for 'communal liberty'. The present article comes back to the reception of the text, examines it on the background of the research on urban problems at the time of Weber and insists on the strong relation of The City with the detailed analysis of the oriental city in The Economic Ethics of World Religions. Analysing these different contexts and Weber's argumentation which is focalized on the Stadtwirtschaftspolitik as Verbandshandeln (urban economic policy as activity of a corporate group) enables to clarify the nature and the purpose of Weber's unfinished essay. It extends the questioning of The Protestant Ethic and the Spirit of Capitalism, investigating into the rationalization of economic life conducts and institutions in a certain type of medieval towns whose structural conditions had favoured the emergence of the rational capitalism of enterprise and of the modern state. Un an après la mort de Max Weber, en 1921, un texte de 150 pages serrées parut sous sa signature dans Archiv für Sozialwissenschaft und Sozialpolitik, revue que Weber avait co-dirigée depuis 1904. Ce texte posthume n'était accompagné d'aucune indication concernant la date ou les circonstances de sa rédaction ; il portait pour titre : « La ville. Une enquête sociologique » 2. Le texte est inache-1 Abbréviations utilisées dans les notes :
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Lettres québécoises : La revue de l’actualité littéraire, 1988