Du dessin au dessein des plantes sauvages (original) (raw)
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Scénographie des jardins de ‘‘plantes et arbres curieux’
Curiositas, les cabinets de curiostés en Europe, 2013
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Le voyage discret des plantes Revue d'ethnoécologie, 1 | 2012 attention of ethnobotanists. The two plants we selected, Abelmoschus moschatus and Zingiber zerumbet, present marked contrasts. The first, widely disseminated, was integrated by Amazonian populations together with most of its original uses, whereas the second, with more localised uses, underwent important innovations. Based on the pretext of the circumstances of their "rediscovery" by the Wayãpi Indians, we recount their "natural history".
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À l’ère de l'informatique, qui aurait cru que le dessin allait contribuer à jeter les bases d'une meilleure compréhension et d'une meilleure gestion du développement des arbres ? LE DESSIN, OUTIL DE RECHERCHE À une époque où la mode est aux ordinateurs portables et aux analyses statistiques, il serait facile d'oublier l'importance du dessin en science. Pourtant, il est admis que la méthode doit se mettre au service de la recherche, et non l'inverse. Or, lorsqu'on cherche à identifier les mécanismes de fonctionnement des méristèmes apicaux d'une plante de l'envergure d'un arbre tout au long d'un cycle de vie pouvant s'étendre sur 200 ou 300 ans, on a intérêt à mettre de côté la prise de mesures fines. Le dessin permet d'assembler et de comparer rapidement une multitude de données. Il permet de voir au-delà de ce qui est connu, en forçant le regard de l'observateur sur son objet d'étude ; un premier pas en recherche qui donne ici des résultats étonnants et foncièrement utiles.
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2020
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Blattmasken. Un motif iconographique mêlant frontalité et dynamisme végétal
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Fixité et mouvement coexistent fréquemment dans l'imagerie antique. Les Blattmasken en sont la parfaite illustration, car elles se caractérisent à la fois par une fron talité presque exemplaire et par un dynamisme végétal insufflé par les feuilles dont elles sont composées. Les quatre exemples choisis pour illustrer ce propos corres pondent chacun à une formule particulière d'intégration des têtes végétalisées dans leur environnement immédiat. Celles-ci peuvent en effet être isolées de tout contexte végétal, intégrées dans un décor de rinceaux, ou encore structurellement liées à celui-ci en lui donnant naissance ou en émergeant de l'une de ses volutes. Cette forme de végétalisation de la figure humaine semble se rattacher à une hybrida tion plutôt qu'à une métamorphose. Cette fusion des règnes humain et végétal révèle une symbolique complexe qu'il conviendra de préciser.
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Aix-en-Provence cedex 1 Tél. 33 (0)4 13 55 31 91 pup@univ-amu.fr -Catalogue complet sur http://presses-universitaires.univ-amu.fr/ diFFusion LibrAiries : AFPu diFFusiondistribution sodis Actes du colloque international d'Aix-en-Provence 5-8 février 2014 Textes réunis par Perle Abbrugiati avec la collaboration de 1831. Giacomo got his gun Les lignes qui suivent exposent une intuition et une idée. La première, c'est qu'il se passe quelque chose entre Leopardi et le végétal. Je dis « quelque chose » faute de mieux et avec maladresse, parce qu'il est difficile de mettre des mots sur ce rapport : quelque chose qui serait de l'ordre d'une attention particulière, d'un souci, comme si pour Leopardi le végétal permettait de saisir sensiblement ce qu'est l'existant. Ce n'est pas le végétal comme thématique, dans sa dimension ornementale, qui importe, ni par exemple que Leopardi mette dans les mains de la jeune fille de son Samedi du village (ornare ella si appresta, v. 6) des bouquets de roses et de violettes (alors que ces deux fleurs ne fleurissent pas au même moment) mais plutôt comme dynamique ou motif qui innerverait sa pensée :