Le comportement politique des Québécoises lors de la campagne référendaire de 1995 : une application de la théorie du dépistage (original) (raw)

François Roy, «Les Québécois sont-ils souverainistes? Étude sur le comportement électoral des Québécois de 1970 à 1994», mémoire de maîtrise, Université Laval, 2012

2012

En 1970, les Québécois se retrouvent pour la première fois dans des élections où se présente un parti souverainiste. Durant les années 1970, l'option souverainiste accroît sa popularité dans l'électorat. Au même moment, le Parti libéral du Canada reste le favori des Québécois. Sur cette base, on peut dire que ces derniers ont une attitude assez ambiguë relativement à leur choix - si ce n'est à leur avenir - politique. En effet, ils appuient un parti fédéraliste réputé centralisateur sur la scène fédérale et un parti souverainiste prônant la sécession sur la scène provinciale ! Dans le présent travail, on observe le comportement électoral des Québécois durant la période 1970 et 1994. La question suivante, simplement énoncée mais on ne peut plus difficile à résoudre, est au centre de nos préoccupations : les Québécois sont-ils souverainistes ? Pour avancer dans notre compréhension des choses, nous avons analysé plusieurs campagnes électorales en fouillant les résultats de sondages et en nous appuyant sur une documentation composée principalement d'articles de journaux, mais aussi de monographies et d'études.

Élections québécoise de 2007: Analyse d'un scrutin expérimental

Un scrutin expérimental a été tenu à l'université Laval, Québec quelques jours avant l'élection québécoise. Les électeurs utilisaient en plus de la pluralité, le vote par assentiment et le vote par évaluation. À partir de ces données, il a été possible de comparer le richesse en information de chaque mode de scrutin, de dresser des cartes de l'espace politique québécois et d'en déduire les valeurs au coeur du débat politique et d'explorer quel aurait pu être le résultat de l'élection réelle si d'autres modes de scrutin avaient été utilisés.

Les répondants-discrets et l’élection québécoise de 1985

Politique, 1986

«L'attention aux refus de répondre qui sont souvent considérés comme de petits détails d'enquête, donne en réalité beaucoup plus d'informations sur les modes de production des opinions et, partant, sur les conditions d'une utilisation rigoureuse des sondages, que bien des commentaires sur leur signification politique».

Le comportement électoral des minorités au Québec lors des élections de 1976

Bulletin d'histoire politique, 1994

Tous droits réservés © Association québécoise d'histoire politique; VLB Éditeur, 1994 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/ Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'