[Treatment of undescended testicles] (original) (raw)
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La Revue du praticien
France avec moins de 150 décès. L'incidence a tendance à augmenter, dans les pays industrialisés, d'environ 10 % tous les 5 ans. Quatre-vingt-dix pour cent des tumeurs testiculaires surviennent chez des hommes de moins de 45 ans. Le cancer du testicule est la tumeur solide la plus fréquente chez les hommes de 25 à 35 ans. Le pic d'incidence des TGNS se situe pendant la 2 e décennie, tandis que le pic d'incidence des séminomes se situe pendant la 3 e décennie. Les formes bilatérales sont exceptionnelles (2 %). * Paiement par carte bancaire « secteur bancaire sécurisé » sur son site Internet www.33docpro.com
Kyste épidermoïde du testicule : Étude de cas
Canadian Urological Association journal = Journal de l'Association des urologues du Canada
Le kyste épidermoïde (KE) du testicule est une tumeur bénigne rare. Le diagnostic peut être évoqué par l’échographie et l’IRM. En cas de lésion unique de petite taille, il est possible d’effectuer une chirurgie conservatrice. Ce traitement nécessite une confirmation anatomopathologique. Le présent article fait état de l’observation d’un patient de 34 ans ayant été admis en consultation d’urologie pour désir d’enfant. Le diagnostic de KE associé à une varicocèle gauche a été retenu. L’énucléation du kyste avec cure de varicocèle a été réalisée sans complications postopératoires. Une revue de la littérature nous a permis de mettre en évidence les différents aspects du KE du testicule et les méthodes thérapeutiques envisageables.
La Revue du praticien
I L es tumeurs du testicule sont les tumeurs solides les plus fréquentes de l'adulte de moins de 45 ans. Les tumeurs germinales du testicule étant de loin les plus fréquentes (95 % des cas), seules ces formes histologiques sont ici étudiées. Elles sont très particulières en cancérologie, car très sensibles à la chimiothérapie et à la radiothérapie et curables même à un stade métastatique.
Léon Athanase Gosselin (1815–1887) et ses recherches sur les maladies du testicule
Basic and Clinical Andrology, 2009
Résumé Léon Athanase Gosselin fut un des plus grands chirurgiens français du xix e siècle. Il dirigea, successivement, plusieurs services universitaires de chirurgie et excella surtout en orthopédie, en anatomie, en physiologie et en urologie. Grâce à ses recherches poussées sur les maladies du testicule, du cordon spermatique et du scrotum, ainsi que sur leurs conséquences sur la fécondité et la puissance virile, Gosselin peut être considéré, à juste titre, comme un grand andrologue avant la lettre.
Traitement des hernies de l'aine étranglées
EMC - Techniques chirurgicales - Appareil digestif, 2007
La hernie étranglée est une urgence chirurgicale. Le risque d'étranglement est dix fois plus élevé pour les hernies crurales que pour les hernies inguinales. Le traitement de la hernie étranglée doit être effectué en urgence, et comporte un premier temps viscéral consistant à libérer l'intestin hernié, apprécier sa viabilité et éventuellement pratiquer sa résection. Le temps de réparation pariétale consiste habituellement en une herniorraphie, en raison du risque septique.
Infertilité et séminome testiculaire
La Presse Médicale, 2007
Infertility and testicular seminoma Introduction > Infertility in men may be associated with an elevated risk of testicular cancer. The authors report a case of testicular seminoma discovered fortuitously during a workup for infertility. Case > A 30 year-old male was seen for infertility. Physical examination and testicular ultrasonography were normal. The sperm count found oligoasthenospermia related to the excretory ducts. The patient underwent testicular biopsies for infertility, which showed an intratubular germ cell tumor. Tumor markers (beta HCG, alpha FP, LDH) were normal. Computed tomography was normal for the thorax, abdomen, and pelvis. We performed an inguinal orchiectomy. The pathology examination found seminoma, at a pT1 stage. One course of chemotherapy followed. Discussion > The incidence of testicular cancer is increasing throughout the world. Recent studies show a strong relation between infertility and an increased risk of testicular cancer, and some authors even suggest a causal relation.
Andrologie, 1992
SUB-ZONAL SPERM MICROINJEC-TION AS A TREATMENT FOR CERTAIN TYPES OF MALE FACTOR INFERTILITY. Subzonal insemination (SUZI) was evaluated, in a randomized prospective study, as a treatment for certain specific types of male factor infertility. Patients were classified according to the results of an extensive semen analysis as being either IVF failure with either normal or subnormal semen quality, specific (e.g. absent outer dynein arms) or non-specific flagellar dyskinesia, or oligoasthenoteratozoospermia. SUZI was found to be an efficient technique for achieving fertilization and pregnancy for all these indications, while there was a total failure of fertilization in the control, in-vitro inseminated oocytes. A total of 395 oocytes were microinjected and 133 fertilized, among which 75 (19 % overall) were diploid. More than 81% of these zygotes cleaved normally, and 31 embryo transfers resulted in seven pregnancies. However, results varied widely between the various indications, suggesting that the underlying pathology responsible for the sterility may influence gamete interaction and early embryonic development independantly of the SUZI technique.
Testicular microlithiasis: our experience
Andrologie, 2005
La micro-lithiase testiculaire (MIT) est une condition rare encore peu connue. Nous avons étudié 4 patients qui ont été soumis à une échographie testiculaire, dans trois cas pour un trouble de la fertilité et dans un cas pour hémospermie et prostatite. Trois sujets ont présenté une MIT à haute densité et un patient à basse densité. L’échographie n’a pas montré de lésions suspectes de néoplasie testiculaire. Chez deux patients l’examen clinique et l’anamnèse étaient négatifs; un sujet avait été traité pendant l’enfance pour rachitisme par calcium et vitamines; un patient rapportait une orchiépididymite aiguë. Les marqueurs (CEA; αFP; ßhCG) étaient négatifs. Le suivi (6–18 mois) incluait la palpation et l’échographie et n’a jamais montré de nodules testiculaires. Le diagnostic de la MIT est simple avec l’échographie qui permet de faire une classification selon la densité des calcifications. L’étiopathogénie demeure encore inconnue. Le diagnostic échographique différentiel est simple et se pose avec les lésions hyper-échogènes du testicule. Sur le plan structural les micro-calcifications sont faites d’hydroxyapatite, elles se développent sur les cellules dégénérées des tubes séminifères. La maladie peut intéresser 30 à 75% de tubes séminifères. La MIT peut être associée à une hypofertilité; elle est aussi retrouvée en cas de tumeur testiculaire. La relation entre MIT et cancer du testicule n’est pas claire; de même, on ignore si elle constitue un état pré-cancéreux. Cependant, les auteurs s’accordent pour un suivi échographique tous les six á douze mois. Le faible nombre de cas de notre série ne permet pas de poser de conclusions significatives; on peut quand même relever que 3 sujets avait une trouble de la fertilité et que nous n’avons pas relevé de néoplasies testiculaires ni au début, ni pendant le suivi. II faut signaler enfin l’hypothèse étiologique du cas où la thérapie pour le rachitisme peut avoir favorisé la MIT. Testicular microlithiasis (TMI) is a rare and little known condition. We verified its clinical and pathogenetic characteristics according to our experience. We performed testicular echography on four patients. Three of them had subfertlity and presented oligoasthenospermia in the spermiogram, while one patient had prostatitis with emospermia. Three patients had a high density TMI and one had a low density TMI. None of them showed neoplastic testicular lesions in the first echography. Anamnesis and examination revealed no outstanding data, one had been treated with calcium and Vit.D when a child for rachitis and another reported acute orchyepididymitis in his past history. Oncological markers were negative. 6–18 months follow-up with examination and echography didn’t show any testicular nodules. TMI is easy to diagnose and classify thanks to echography: Isolated TMI (the commonest, of flogistic, vascular or post-traumatic origin) Low-density TMI (<5calcifications per scan) High-density TMI (>5 calcifications per scan). Aetiology, pathogenesis of TMI and its connection to testicular cancer are not yet known. Differential diagnosis trhough echography is possible with both pathological hyperechogenic lesions of testicles (i.e. Tumors, hoematomas, partial atrophy, torsion, calcified hydatid) and non pathological ones (ilum, testicular mediastinum). The structure of the calcifications is constituted by hydroxyapatite which develop on degenerated spermatogones. They measure 1–3mm in diameter and can be found on 30–75% of the seminifer tubules. TMI is typical of patients with subfertility although the connection between this condition and male sterility is not clear. Similarly, TMI can be found in testicles’ tumours although even in this case, the connection between these conditions is not clear. That is why all authors agree in suggesting an echographical check every 6–12 months. Although the above case history can’t be considered significant due to the small number of patients, it is interesting to notice how 3 out of 4 patients had subfertility. Follow-up never showed probable neoplastic lesions. Finally what we also found worthy of notice is the possible connection between past orchyepididymitis and TML and connection between therapy for rachitis and TMI.