Décompositions de graphes : quelques limites et obstructions (original) (raw)
Une thèse est une longue épopée enrichissante, parsemée de rencontres et de surprises, se terminant par une grande rétrospective du travail accompli : la rédaction. Les remerciements en sont la cerise, adressés à toutes les personnes ayant contribué à ce que la thèse puisse arriver à son terme dans les conditions qui sont les siennes. Mais est-il plus facile d'écrire les remerciements que le contenu principal du manuscrit ? Pas si sûr.. . Allez, je me lance ! Tout d'abord, j'adresse mes sincères remerciements à tous les membres de mon jury de thèse pour avoir accepté d'en être les membres (de mon jury de thèse) : à Michel Habib, qui m'a fait l'honneur de présider et animer avec brio la soutenance ; à Christophe Paul et Cyril Gavoille, qui ont accepté d'en être les rapporteurs, et dont les commentaires m'ont permis d'améliorer (si besoin encore) ce manuscrit ; à Mathieu Liedloff et Yann Vaxès, qui ont accepté de participer au jury de la soutenance, et de poser de judicieuses questions. Une thèse sans directeur de thèse, c'est comme un vélo sans guidon ! De surcroît lorsque le doctorant s'égare.. . De nombreux remerciements vont donc tout naturellement à Ioan Todinca, mon directeur de thèse, pour sa gentillesse, son expertise, ses conseils, et son important soutien durant mes trois années de thèse, y compris lorsque j'ai souhaité emprunter quelques fois des directions s'éloignant furtivement du sujet qu'il m'avait initialement confié. J'en profite pour remercier également les différents collègues de recherche rencontrés au fil de ma thèse, qu'ils soient locaux ou non, et qui ont contribué (et contribuent encore) significativement à la richesse que m'apporte la recherche scientifique. Pour ne pas en oublier, je ne prendrai pas le risque de vouloir les citer ; ne m'en voulez pas, vous vous reconnaissez forcément ! Et l'environnement de travail dans tout ça ? Il ne suffit pas d'avoir un bon sujet pour faire une bonne thèse ! Un grand merci à chacun des collègues enseignants, chercheurs ou administratifs, du LIFO, de l'IUT d'Orléans et du Département Informatique de l'UFR Sciences ; l'ambiance aussi bien professionnelle que sociale y est idéale, et les innombrables pauses passées ensembles y sont sans nul doute pour quelque chose. Je remercie notamment Christel Vrain et Jérôme Durand-Lose, directeurs successifs du LIFO, pour leur accueil chaleureux au sein du laboratoire ; Sébastien Limet, chef du département informatique de l'IUT d'Orléans, pour sa gentillesse durant mes trois années passées en tant que moniteur au sein de son département ; Ali Ed-Dbali, chef du département informatique de l'UFR Sciences, où mon début de carrière d'enseignant s'est poursuivi. Il est une catégorie particulière parmi les collègues de travail : les doctorants. Compagnons de voyage et d'expériences, nous sommes amenés à partager beaucoup de choses. Que de moments inoubliables passés avec les doctorants du LIFO ou de l'ADSO ! Faisons fi des risques de la liste non exhaustive, pour en citer quelques-uns (dans le désordre alphabétique et chronologique) : Matthieu Lopez (l'incontournable), Julien Tesson (le motard aventurier), Maxime Senot (le matinal franc-comtois), Simon Petitjean (le footeux culannais), Hélène Coullon (la hockeyeuse métalleuse), Anthony Della Roca (le nimois incognito), Nicolas Dugué (le jeune épique), Joeffrey Légaux (le belge toulousain), Jacques-Henri Sublemontier (le cynophile), Ahmed Turki (le réalisateur), Thang Quang Dinh (le co-bureau), Jérémie Vautard (Mr Babybel), Claire Herrbach (l'initiative), Paméla Gasse (la confidente),.. . Je savais bien que j'allais en oublier ! Je pense également aux étudiants que j'ai eu le plaisir d'encadrer durant ces quelques années, ou que j'ai croisé au détour d'un couloir, ou à la FIFO ; certains sont même devenus des amis ! Là encore, il serait périlleux de vouloir tous les citer ; le principal, c'est que je pense à vous ! À toute les personnes qui ont apporté leur pierre indispensable à l'édifice, citées ou non précédemment (notamment toutes celles extérieures à l'université) : je ne pourrais vous citer toutes et tous, mais sachez que vous avez vous aussi votre part d'inoubliable dans cette aventure unique ! « Tu veux faire une thèse ? Mais c'est encore trois ans d'études !-Oui, au moins.. . » Les choix d'études peuvent parfois être difficiles pour notre entourage, surtout lorsqu'il s'agit d'y greffer encore et toujours des années supplémentaires. J'ai la chance d'avoir une famille qui m'a toujours soutenue (et supportée) dans mes choix d'études. Je leur dois sans aucun doute d'être arrivé jusque-là, avec succès ! C'est ainsi que s'achève cette thèse ! Me voilà arrivé au bout de cette épopée. Ma chère Kris, ma chère Same, c'est aussi grâce à vous ; Ma pensée toute spéciale vous est dédiée.