Les sententiae dans les tragédies de Sénèque (original) (raw)

2012, HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe)

Mes premières pensées vont à Jacqueline Dangel, qui, alors que ce travail voit enfin le jour, n'est désormais plus parmi nous pour le lire. Elle en avait suivi depuis longtemps la maturation, qu'elle avait orientée de sa finesse et soutenue de son humanité ; mon souvenir demeure. Ma gratitude va ensuite au Centre d'Études et de Recherches sur l'Occident Romain (CEROR), qui accepte de publier ce travail dans sa collection, ainsi qu'au service Éditions de l'Université Lyon 3, dirigé par François Ové, que je remercie pour sa disponibilité, sa bienveillance, et surtout sa compétence. Je voudrais également témoigner mon amitié affectueuse à Christine Mauduit, grâce à qui ma réflexion a connu de nouveaux prolongements ; nos entretiens nombreux et chaleureux continuent de nourrir mon intérêt pour le théâtre antique et m'offrent un exemple de collaboration des plus stimulants. Je ne saurais oublier ceux qui m'ont aussi accompagnée dans ce projet : Mireille Armisen-Marchetti, qui a co-dirigé la thèse de doctorat d'où est issu ce livre ; Jean Soubiran, dont les remarques et corrections, prodiguées avec générosité, m'ont été précieuses ; mes ami(e)s, relecteurs et relectrices-en particulier Isabelle David, Marie Ledentu et, à nouveau, Christine Mauduit-, qui, par leurs conseils et suggestions, ont soutenu ce travail. J'adresse enfin toute ma reconnaissance à ma famille, toujours admirative, et notamment aux trois hommes chers à mon coeur, Sébastien, Armand et Amaury, qui ont dû faire preuve de patience et de compréhension quand je n'étais pas disponible pour eux. Souhaitons que le fruit de ces heures austères le soit moins ! CONVENTIONS D'ÉCRITURE Pour la ponctuation des sententiae, nous reprenons les signes intermédiaires de l'édition de référence (C.U.F.) mais supprimons les signes finaux, dans un but d'harmonisation et de détachement de ce que nous avons comparé à des vers libres. Le nom des personnages, quand il n'est pas précisé dans le cours du commentaire, est abrégé devant la sententia prononcée. Sont ainsi désignés :