Nouvelles des archives aéronautique : le fonds René Couzinet (original) (raw)

Le fonds Antoine Meillet

Genesis, 2012

Irène Fenoglio dirige, au sein de l'ITEM, l'équipe « Génétique du texte et théories linguistiques ». Ses travaux portent essentiellement sur les manuscrits de linguistes. Dernières publications : « Déplier l'écriture pensante pour relire l'article publié. Les manuscrits de "L'appareil formel de l'énonciation" », dans Relire Benveniste. Réceptions actuelles des Problèmes de linguistique générale (dir. E.

Fonds de Jean Duvignaud

2022

This is just the material I collected during 3 weeks of archival work at IMEC in Caen during the 1st and the 16th of december. Contained are letters from Adorno, Octavio Paz, René König and others to Jean Duvignaud. Welcome to read it...

La Fondation Carnot (1895-1914)

in André Gueslin, Dominique Kalifa (dir.), Les exclus en Europe 1830-1930, Paris, Éd. de l’Atelier, 1999, p. 180-192.

En 1895, la veuve du Président Sadi Carnot confit à l’Académie des sciences morales et politiques la mission de découvrir les plus « méritantes » des veuves d’ouvriers chargées d’enfants et frappées par la pauvreté. Pour désigner les heureuses élues, les académiciens devront mettre sur pied un véritable concours de la misère. Une ingénierie de la récompense honorifique. Invités à comparer des milliers de demandes, historiens, criminologues, économistes ou sociologues couronnés par l’Institut de France seront conduits à rétribuer les vertus du malheur. A établir des degrés dans la pénurie, à construire une figure spécifique de l’exclue méritante, à fixer des principes de la grandeur indigente. En somme, à mettre un tarif à la moralité des plus démunis.

René Maran, une approche par les archives

Continents manuscrits, 2021

L'équipe Manuscrits francophones de l'ITEM a ouvert en 2020 un chantier de recherche autour des archives de René Maran. Plusieurs raisons motivaient ce choix. L'effet Goncourt, bien sûr, puisque 2021 est l'année du centenaire du Goncourt 1921 attribué à Batouala, véritable roman nègre qui fit connaître René Maran à travers le monde. L'enthousiasme de Bernard Michel ensuite, petit-fils de l'écrivain, qui souhaitait un regain des études maraniennes. Il met depuis tout en oeuvre pour inciter, d'une part, la communauté des chercheurs à relire et étudier à nouveaux frais les textes de son grand-père ; d'autre part, pour que les institutions françaises valorisent son oeuvre et l'inscrivent dans le patrimoine national. L'accès aux manuscrits enfin, clef de voûte pour une approche génétique telle qu'elle se pratique à l'ITEM. Or les archives de René Maran se révèlent d'une très grande richesse. Nous allons commencer par les présenter, puis nous pointerons quelques pistes surgies de cette entreprise collective, toute récente et fragile encore, de connaissance de l'oeuvre par les manuscrits, avant d'évoquer rapidement l'actualité maranienne de cette année du centenaire. Les archives René Maran René Maran conservait toutes les traces de genèse, y compris les notes préparatoires et les plans hâtivement griffonnés de ses futurs essais. Après sa mort le 9 mai 1960, ces brouillons ont été préservés de la destruction avec le même soin méticuleux. Sa veuve Camille, qui a continué d'habiter square Delambre à Paris, au deuxième étage d'une maison pleine de sa mémoire, a rangé à son exemple dans des chemises et des enveloppes les documents restés épars jusqu'alors. Le meuble-bibliothèque du salon, particulièrement, contenait de très nombreux volumes ayant appartenu à son mari, sans doute près de 10 000 ouvrages. Cet appétit de Maran pour les livres est attesté par ses amis, au premier chef le poète Léon Bocquet, René Maran, une approche par les archives Continents manuscrits, 17 | 2021

"En avion au-dessus de... dialogues entre Mathieu Pernot et le fonds LAPIE", livret de l'exposition présentée aux Archives nationales du 4 avril au 17 septembre 2017.

Les Archives nationales proposent dans le cadre du Mois de la photo du Grand Paris, une exposition à partir du fonds de l'entreprise LAPIE. Dans les années 50, ses avions ont sillonné le territoire français, engrangeant des milliers de vues aériennes destinées à la production de documentation pédagogique et de cartes postales, accompagnant ainsi l'essor du tourisme de masse. L'ensemble représente un témoignage exceptionnel des profondes mutations que connaît le territoire français à cette époque. Les Archives nationales ont proposé au photographe Mathieu Pernot de s'approprier un vaste ensemble de cartes postale du fonds LAPIE pour réaliser une création inédite à Paris et à Pierrefitte-sur-Seine.