Max Planck (original) (raw)

domisylzen

15 d�cembre 2018

Max Planck

Toute mati�re provient d'une force et n'existe que par celle-ci ... Nous devons pr�sumer l'existence, sous cette force, d'un Esprit conscient et intelligent. Cet Esprit est la matrice de toute mati�re.

domisylzen

09 novembre 2017

Max Planck

Je consid�re la mati�re comme d�rivant de la conscience. Nous ne pouvons aller au-del� de la conscience. Tout ce dont nous parlons, tout ce que nous voyons comme existant, suppose la conscience.

odin062

24 d�cembre 2012

Max Planck

Habituellement, une nouvelle v�rit� scientifique ne s'impose pas parce que ses adversaires finissent par �tre convaincus et le d�clarent, mais plut�t parce qu'ils disparaissent graduellement, et que la g�n�ration montante est d�s le d�part familiaris�e avec cette v�rit�.

dido600

05 d�cembre 2018

Max Planck

�La v�rit� ne triomphe que si ses adversaires finissent par mourir�.

odin062

24 d�cembre 2012

Max Planck

Une th�orie nouvelle ne triomphe jamais. Ce sont ses adversaires qui finissent par mourir.

JCLDLGR

22 juin 2019

Depuis qu'il existe une science de la nature, on lui a toujours assign� comme fin sup�rieure de grouper en une synth�se syst�matique la prodigieuse diversit� des ph�nom�nes physiques et m�me si possible de la condenser en une seule formule. Pour parvenir � ce r�sultat on a toujours eu recours � deux m�thodes oppos�es. Ces deux m�thodes se sont souvent trouv�es en lutte mais il est arriv� aussi qu'elles se soient corrig�es mutuellement, chacune contribuant � la f�condit� de l'autre, ce qui s'est produit surtout quand elles se sont trouv�es r�unies dans l'esprit d'un m�me savant qui les a successivement appliqu�es � un objet commun.

Danieljean

06 mars 2018

Les v�rit�s scientifiques finissent toujours par s'imposer, pas parce que la v�rit� triomphe toujours mais parce que leurs ennemis finissent par mourir.

thomasmorin58

10 novembre 2021

Il y a des savant innombrables pour qui leur science a �t� le soutien et le r�confort continuel d'une vie ext�rieurement mis�rable.

Tel Johann Kepler, dont nous c�l�brions nagu�re le 300e anniversaire. Vue du dehors, sa vie n'a �t� qu'une longue suite de cruelles d�sillusions. Il fut toujours accabl� par le souci du pain quotidien et ne put jamais se lib�rer de la g�ne. A la fin de sa vie nous le voyons m�me contraint de r�clamer � la di�te, si�geant � Ratisbonne, le payement du reliquat de sa pension imp�riale. Mais le moment le plus douloureux de cette existence fut certainement celui o� il dut prendre la d�fense de propre m�re accus�e de sorcellerie.

Ce qui l'emp�cha de c�der au d�couragement et le soutint dans ses travaux, ce fut sa science et, par l�, nous n'entendons pas seulement l'accumulation de donn�es num�riques r�sultant de ses observations astronomiques; mais la foi � un univers r�gi par des rationnelles.

Il serait tr�s instructif de comparer Kepler sous ce rapport avec celui dont il fut le disciple, Tycho de Brah�. Ce dernier poss�dait, en effet, les m�mes connaissances scientifiques que son �l�ve, il avait � sa disposition le m�me mat�riel d'observations, mais il lui manquait la croyance aux lois �ternelles. C'est pourquoi Tycho de Brah� est connu seulement comme un astronome de valeur, tandis que Kepler est consid�r� comme �tant le cr�ateur de l'astronomie moderne.

Dubsjp

10 septembre 2023

Max Planck

La science ne pourra jamais r�soudre le dernier myst�re de la nature.

thomasmorin58

10 novembre 2021

Nous sommes en pr�sence d'une d�marche intellectuelle, pour laquelle aucune logique n'est suffisante. S'il veut l'accomplir avec succ�s, le physicien devra poss�der deux qualit�s : une connaissance approfondie de son sujet et une imagination cr�atrice puissance.

Il lui faut, en effet : premi�rement, �tre familier avec toutes sortes de mesures et, secondement, avoir une acuit� intellectuelle suffisante pour rapprocher deux mesures diff�rentes sous un point de vue commun.

L'histoire nous offre de nombreux exemple de ces rapprochements : [...]. C'est Newton, rapprochant la chute d'une pomme du mouvement de la Lune autour de la Terre. Plus tard, c'est Einstein, rapprochant le mouvement d'un corps soumis � la gravitation, situ� dans une enceinte en �tat de repos, d'une corps �chappant � la gravitation et se trouvant dans une enceinte qui se d�place vers le haut avec un mouvement acc�l�r�. Enfin, Bohr rapprocha le mouvement d'un �lectron autour d'un noyau atomique du mouvement des plan�tes autour du soleil.