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Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
(METHYL-2 NITRO-5 IMIDAZOLYL)-2 ETHANOL
Ensemble des dénominations
DCF : METRONIDAZOLE
DCIR : METRONIDAZOLE
autre d�nomination : B 5360
autre d�nomination : BAYER 5360
autre d�nomination : RP 8823
bordereau : 1230
sel ou d�riv� : METRONIDAZOLE BENZOATE
sel ou d�riv� : ORNIDAZOLE
sel ou d�riv� : SECNIDAZOLE
sel ou d�riv� : TINIDAZOLE
Classes Chimiques
Molécule(s) de base : METRONIDAZOLE
Regime : liste I
Proprietés Pharmacologiques
- ANTIBACTERIEN (principale certaine)
- ANTIPARASITAIRE (principale certaine)
- ANTIPROTOZOAIRE (principale certaine)
- TRICHOMONAS VAGINALIS (principale certaine)
Emergence de souches m�tronidazole-r�sistantes :
- Antimicrob Agents Chemother 1979;15:254.
- Lancet 1980;2:476.
- N Engl J Med 1981;304:12:735. - TRICHOMONACIDE (principale certaine)
- GIARDIA INTESTINALIS (principale certaine)
- BACTEROIDES FRAGILIS (principale certaine)
- Am J Med 1978;65,2:285-289.
Plus de 10 % de souches en France seraitent r�sistantes :
- Am J Obstet Gynecol 1983;145:865. - LEPTOSTREPTOCOCCUS (principale certaine)
- WELCHIA PERFRINGENS (principale certaine)
- AMOEBICIDE (principale certaine)
Th�oriquement mixte, mais efficace presque exclusivement sur les amibes tissulaires. - AMOEBICIDE DIFFUSIBLE (principale certaine)
Th�oriquement mixte, mais efficace presque exclusivement sur les amibes tissulaires. - AMOEBICIDE DE CONTACT (principale certaine)
Th�oriquement mixte, mais efficace presque exclusivement sur les amibes tissulaires. - ENTAMOEBA HISTOLYTICA (principale certaine)
Th�oriquement mixte, mais efficace presque exclusivement sur les amibes tissulaires. - BACTERICIDE (secondaire certaine)
Sur les diff�rentes bact�ries ana�robies.
Mécanismes d'action
- principal
Exerce une toxicit� s�lective vis-�-vis des microorganismes ana�robies ainsi que des cellules hypoxiques ; � leur niveau, le metronidazole est r�duit en d�riv�s capables d'alt�rer la structure de leur ADN.
Effets Recherchés
- ANTIBACTERIEN (principal)
- ANTIPARASITAIRE (principal)
- ANTIPROTOZOAIRE (principal)
Indications Thérapeutiques
- TRICHOMONASE UROGENITALE (principale)
- AMIBIASE (principale)
- AMIBIASE INTESTINALE (principale)
- GIARDIASE (principale)
- INFECTION A ANAEROBIES (principale)
Pr�vention et traitement. - AMIBIASE HEPATIQUE (principale)
Abc�s amibien du foie
- S Afr Med J 1985;68:923-924. - COLITE PSEUDOMEMBRANEUSE (principale)
- Br Med J 1979;1:1605.
Efficacit� comparable � celle de la vancomycine :
- Lancet 1983;2:1043.
Autre publication :
- Clin Pharm 1989;8:472-473. - ANGINE DE VINCENT (secondaire)
- ACNE ROSACEE (secondaire)
- Rev Med Toulouse 1982;18:349. - DERMATITE SEBORRHEIQUE (secondaire)
- Rev Med Toulouse 1982;18:349. - LEISHMANIOSE VISCERALE (� confirmer)
- Br Med J 1985;291:1611. - LEISHMANIOSE (� confirmer)
Kala-azar:
- Br Med J 1985;291:1611. - LITHIASE BILIAIRE(PREVENTION DES RECIDIVES) (� confirmer)
Inhibition de la synth�se de l'acide d�soxycholique par les bact�ries ana�robies du tube digestif . Etude r�alis�e chez 11 sujets normaux.
- Lancet 1978;2:1063. - MALADIE DE CROHN (� confirmer)
R�duirait la fr�quence des r�cidives il�ales apr�s r�section chirurgicale (sel ou base non pr�cis�s - Essai randomis� positif) :
- Gastroenterol Clin Biol 1995;108:1617-1621.
- Gastroenterol Clin Biol 1995;108:1935-1938.
En association avec la ciprofloxacine, serait aussi efficace que la corticoth�rapie dans le traitement des pouss�es, (sel de ciprofloxacine non pr�cis�, essai randomis� positif) :
- Am J Gastroenterol 1996;91:328-332.
Autres r�f�rences :
- Gastroenterology 1982;83:383.
- Gastroenterology 1982;83:541.
- Gastroenterology 1982;83:550. - INFECTION A HELICOBACTER PYLORI (secondaire)
Traitement de l'infection � Helicobacter pylori associant bismuth, t�tracycline et m�tronidazole (essai randomis� positif versus ranitidine) :
- Ann Intern Med 1991;115:266-269.
Eradication d'Helicobacter pylori, par association t�tracycline-m�tronidazole :
- Eur J Gastroenterol Hepatol 1992;4:877-880.
Traitement de l'infection � Helicobacter pylori, associant bismuth, amoxicilline et m�tronidazole :
- Scand J Gastroenterol 1992;27:973-976.
L'association m�tronidazole-amoxicilline permettrait une nette r�duction (8% vs 86%) des r�cidives d'ulc�re duod�nal, probablement par �radication d'Helicobacter pylori :
- N Engl J Med 1993;328:308-312. Gut 1997;41:43-48.
- Gut 1997;41:129-130.
Forte incidence des r�sistances au m�tronidazole :
- Am J Gastroenterol 1998;93:5-10.
- Am J Gastroenterol 1998;93:2-3. - HYPERPLASIE GINGIVALE (� confirmer)
Induite par la ciclosporine :
- Lancet 1994;343:986. - POCHITE (� confirmer)
Etude pilote positive (sel non pr�cis�) :
- Scand J Gastroenterol 1994;29:462-467. - DOULEUR ANORECTALE (� confirmer)
A la suite des h�morro�dectomies, serait efficace en r�duisant la douleur postop�ratoire, essai randomis� positif versus placebo:
- Lancet 1998;351:169-172. - REACTION DU GREFFON CONTRE L'HOTE (� confirmer)
Fr�quence r�duite apr�s greffe de moelle osseuse par l'association m�tronidazole-ciprofloxacine. Etude randomis�e de 134 patients :
- Blood 1999; 93 : 3267-3275. - ACCOUCHEMENT PREMATURE(PREVENTION) (information n�gative)
Le traitement des infections vaginales asymptomatiques ne r�duit pas le risque d'accouchement pr�matur� ni celui des complications p�rinatales. Essai randomis� sur 1900 femmes :
- N Engl J Med 2000;342:534-540.
Effets secondaires
- CEPHALEE (CERTAIN RARE)
- RASH (CERTAIN RARE)
- VERTIGE (CERTAIN RARE)
- INSOMNIE (CERTAIN TRES RARE)
- SOMNOLENCE (CERTAIN TRES RARE)
- DEPRESSION (CERTAIN TRES RARE)
- CONFUSION MENTALE (CERTAIN TRES RARE)
Un cas :
- Pharmacotherapy 1982;2:384. - PSYCHOSE (A CONFIRMER )
Un cas apr�s 3 mois de traitement d'une enc�phalopathie h�patique r�versible en 3 jours � l'arr�t du traitement (sel de m�tronidazole non pr�cis�) :
- Ann Intern Med 1996;124:455. - DELIRE AIGU (A CONFIRMER )
Un cas apr�s 5 jours de traitement intraveineux :
- Am J Psychiatry 1997;154:1170-1171. - TOXICITE NEUROLOGIQUE (A CONFIRMER )
Un cas associant ataxie, vertige, accouph�nes et surdit�, apr�s quinze jours de traitement par cinq cents milligrammes, trois fois par jour, r�versible en quatre semaines :
- Clin Infect Dis 1994;19:346-348.
Un cas avec ataxie chez un insuffisant h�patique avec anomalies IRM au voisinage du 4�me ventricule. R�gression des signes cliniques � l'arr�t du traitement :
- Ann Pharmacother 2000;34:1273-1275. - ENCEPHALOPATHIE (A CONFIRMER )
Un cas, avec l�sions objectiv�es � l'IRM, rapidement r�versible � l'arr�t du traitement (sel de m�tronidazole non pr�cis�) :
- Neurology 1995;45:588-589. - CRISE CONVULSIVE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Exclusive(s) :
FORTE DOSE
- Ann Intern Med 1978;88,3:361-362.
- Drug Intell Clin Pharm 1982;16:409.
Un cas chez un patient �g� insuffisant r�nal chronique. R�cidives lors des r�administrations:
- Am J Med 2000;319:338-339 - MENINGITE ASEPTIQUE (A CONFIRMER )
Un cas, chez un sujet ayant des ant�c�dents de rash cutan� au m�tronidazole (sel ou base non pr�cis�s) :
- Clin Infect Dis 1994;19:974. - SYNDROME CEREBELLEUX (A CONFIRMER )
- Presse Med 1983;12:1547. - ATAXIE (CERTAIN RARE)
Impose l'arr�t du traitement. - NEUROPATHIE PERIPHERIQUE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES
TRAITEMENT PROLONGE
Neuropathie p�riph�rique r�gressive � l'arr�t du traitement :
- Surgery 1983;93:145-148.
- Gastroenterology 1985;88:681-684.
Un cas apr�s sept semaines de traitement chez un sujet ag� reversible apr�s l'arr�t du traitement :
- Ann Pharmacother 1994;28:536.
Un cas se manifestant par des troubles de la sensibilit� des extr�mit�s:
- Ann Pharmacother 1998;32:267-268. - POLYNEVRITE (CERTAIN TRES RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES
TRAITEMENT PROLONGE
Impose l'arr�t du traitement. - PARESTHESIE (CERTAIN )
- SURDITE (A CONFIRMER )
Transitoire.
- N Z Med J 1984;97:128. - COLORATION DE L'URINE (CERTAIN TRES RARE)
Coloration brune. - COLORATION DES DENTS (A CONFIRMER )
- Rev Prescr 2000;20:37-38 - FLUSH (CERTAIN TRES RARE)
- TROUBLE DE LA REPOLARISATION (CERTAIN TRES RARE)
Inversion de l'onde T. - QT(ALLONGEMENT) (CERTAIN TRES RARE)
- DOULEUR ARTICULAIRE (CERTAIN TRES RARE)
- LEUCOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
Impose l'arr�t du traitement. R�cup�ration rapide. - NEUTROPENIE (CERTAIN )
R�gressive � l'arr�t du traitement :
- PResse Med 1979;8:699. - CONGESTION NASALE (CERTAIN TRES RARE)
- REACTION D'HYPERSENSIBILITE (CERTAIN RARE)
Un cas d�crit, plusieurs autres cit�s :
- Ann Pharmacother 1994;28:325-326. - URTICAIRE (CERTAIN RARE)
- PRURIT (CERTAIN RARE)
- ERUPTION SCARLATINIFORME (CERTAIN RARE)
- DOULEUR PELVIENNE (CERTAIN RARE)
Sensation de br�lure pelvienne. - DYSURIE (CERTAIN RARE)
- CYSTITE (CERTAIN RARE)
- INSUFFISANCE RENALE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
Associ�e � une h�molyse. Six cas, chez des enfants, survenant 2 � 17 jours apr�s le d�but du traitement, dont un cas mortel :
- Med J Aust 1988;149:222-223. - EFFET ANTABUSE (CERTAIN RARE)
- CANDIDOSE (CERTAIN RARE)
Par substitution de flore. - SECHERESSE DES MUQUEUSES (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quente aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j). - DYSGUEUSIE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
go�t m�tallique. Dysgueusie fr�quente aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j).
- Prescrire 1992;12:245. - GLOSSITE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quente aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j). - STOMATITE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quente aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j). - NAUSEE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quentes aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j). - DIARRHEE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quente aux doses utilis�es dans l'amibiase (2 grammes par jour). - VOMISSEMENT (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quents aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j). - ANOREXIE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTES DOSES
Fr�quente aux doses utilis�es dans l'amibiase ( 2 g/j). - DOULEUR EPIGASTRIQUE (CERTAIN RARE)
Condition(s) Favorisante(s) :
FORTE DOSE
Fr�quentes aux doses utilis�es dans l'amibiase (2 grammes par jour). - AMYLASEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
- PANCREATITE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
Un cas, avec r�introduction du produit positive :
- Am J Gastroenterol 1989;84:958-960.
Un cas :
- Ann Intern Med 1988;109:756-757.
Un cas chez une dialys�e :
- Ann Pharmacother 2000;34:1152-1155.
Un cas apr�s administration IV:
- Ann Pharmacother 2000;34:1152-1155 - APLASIE MEDULLAIRE (A CONFIRMER )
Sans autre th�rapeutique d�pressive sur la mo�lle :
- BMJ 1980;280:647. - COLITE (A CONFIRMER )
Due au d�veloppement de clostridium difficile :
- J Infect Dis 1980;141:774. - COLITE PSEUDOMEMBRANEUSE (A CONFIRMER )
Un cas :
- Br Med J 1981;282:864. - GYNECOMASTIE (A CONFIRMER )
- JAMA 1985;254:3217-3232. - HEPATITE CYTOLYTIQUE (A CONFIRMER )
Un cas, chez un sujet �g�, h�modialys�, rapidement r�versible � l'arr�t du traitement (sel de m�tronidazole non pr�cis�) :
- Nephron 1994;68:286.
Effets sur la descendance
- NON TERATOGENE CHEZ L'ANIMAL
Aucun effet t�ratog�ne signal� mais, par prudence, contre-indiqu� dans les trois premiers mois de la grossesse. - MUTAGENE
Chez les bact�ries.
Des �tudes chez l'animal ont montr� que le m�tranidazole serait mutag�ne :
- Am J Obstet Gynecol 1983;145:865. - CANCEROGENE
Des �tudes chez l'animal ont montr� que le m�tranidazole serait canc�rog�ne :
- Am J Obstet Gynecol 1983;145:865.
Au cours d'une enqu�te portant sur 750 femmes trait�es par le m�tronidazole et sur 237 femmes non trait�es, les r�sultats en faveur d'une action canc�rog�ne ne sont pas statistiquement significatifs :
- N Engl J Med 1979;301:519.
L'exposition in utero n'augmenterait pas le risque de cancers chez l'enfant: �tude sur une cohorte de 328846 enfants, de moins de 5 ans, dont 8,1% avaient �t� expos�s in utero:
- Cancer 1998;83:1461-1468. - ABERRATION CHROMOSOMIQUE
Discut� chez l'homme :
- Lancet 1979;1:275. - RISQUE TERATOGENE DISCUTE CHEZ L'HOMME
Ne semblerait pas avoir de cons�quence n�faste pour le foetus lors de l'administration durant le premier trimestre de la grossesse (m�ta-analyse canadienne portant sur 1300 patientes, sel de m�tronidazole non pr�cis�) :
- Am J Obstet Gynecol 1995;172:525-529.
Une m�ta-analyse rassemblant plus de 200 000 cas n'a pas mis en �vidence d'augmentation des taux de malformations � la suite d'une exposition au cours du premier trimestre de la grossesse (sel de m�tronidazole non pr�cis�) :
- Br J Clin Pharmacol 1997;44:179-182.
Le risque de fente palatine ou de fente labiale serait l�g�rement accru (risque absolu voisin de 0,03/1000):
- Br J Obstet Gynecol 1998;105:322-327.
Précautions d'emploi
- TROUBLES PSYCHIQUES
- CIRRHOSE
BR.MED.J.1983,287:1865 - INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
BR.MED.J.1983,287:1865 - ALCOOL
Ingestion simultan�e d'alcool formellement d�conseill�e. - ALLAITEMENT
PASSAGE DANS LE LAIT .
CONSEQUENCE INCONNUE SUR LE NOUVEAU NE .
OBST.GYNECOL.81,57:58 - NOURRISSON
LA DEMI-VIE DU METRONIDAZOLE EST FORTEMENT ALLONGEE (DIX HUIT HEURES) LORS DE SON ADMINISTRATION PAR VOIE INTRAVEINEUSE A DES NOURRISSONS DE MOINS DE HUIT SEMAINES EUR.J.CLIN.PHARMACOL.1986,29:625-628
Contre-Indications
- GROSSESSE(TROIS PREMIERS MOIS)
- Am J Obstet Gynecol 1983;145:865. - ALLAITEMENT
A proscrire en p�riode d'allaitement ou n�cessitant de diff�rerer celui-ci car risque d'anor�xie, de vomissements, de troubles de la crase sanguine. - HYPERSENSIBILITE
Au metronidazole. - SYNDROME DEPRESSIF
- LEUCOPENIE
Posologie et mode d'administration
Doses usuelles par voie orale :
* Trichomonase et giardiase :
- Adulte : un gramme par jour en 3 prises pendant 10 jours, � renouveler au besoin apr�s contr�le parasitologique.
En cas de trichomonase vaginale : sept cent cinquante milligrammes par jour pendant 7 jours. Une dose unique de deux grammes auraient une efficacite �quivalente (JAMA 1980;244:1219).
- Enfant de 2 � 5 ans : deux cent cinquante milligrammes par jour.
- Enfant de 5 � 10 ans : quatre cents milligrammes par jour.
* Amibiase :
- Adulte : deux grammes par jour en 4 prises pendant 10 jours.
- Enfant : trente � quarante milligrammes par kilogramme et par jour en 3 ou 4 prises pendant 7 � 10 jours.
Ce traitement, lorsqu'il est prolong� et � fortes doses, impose une surveillance neurologique, digestive et h�matologique constante ainsi que le respect des p�riodes d'intercures. Une nouvelle cure ne peut �tre entreprise qu'apr�s normalisation de la num�ration des leucocytes. Des intercures de 4 � 6 semaines sont parfois n�cessaires, mais habituellemnt un d�lai de 10 jours est suffisant.
Peut �tre utilis� en perfusion veineuse lorsque la voie orale est inutilisable.
Pharmaco-Cinétique
- 1 - REPARTITION lait
- 2 - DEMI VIE 6 à 9 heure(s)
- 3 - ELIMINATION voie r�nale
- 4 - ELIMINATION voie biliaire
- 5 - ELIMINATION dialyse
Absorption
R�sorption digestive rapide et pratiquement compl�te : 90 � 100% .
Pics plasmatiques voisins de 6 � 12 microgrammes par ml apr�s des doses de 250 et 500 mg respectivement.
Chez certains sujets, en dehors de toute atteinte digestive, la r�sorption est faible.
R�sorption presque compl�te lors d'administration par voie vaginale ou rectale.
Répartition
Distribution dans tous les tissus , et particuli�rement dansle foie, les reins, le tube digestif.
Diffusion dans le placenta, le LCR, la salive.
Passe dans le lait � es concentrations identiques � celles du plasma.
Diffusion dan sle pus des abc�s amibiens.
Rapport bile/plasma: 1,27.
L'administration de 500 mg IV toutes les 6 ou 8 heures permet d'obtenir des taux plasmatiques entre 10 et 30 microgrammes/ml.
liaison aux prot�ines plasmatiques < 20%.
passe dans le lait: lait/plasma= 1; taux maximum dans le lait voisin de 50 microgrammes/ml, 2 � 4 heures apr�s le prise de 2 grammes per os, demi-vie dans le lait proche de 9 heures.
Demi-Vie
La demi-vie est en moyenne de 8 heures (6 � 9 heures).
La demi-vie est allong�e en cas d'atteinte h�patique (voisine de 20 h) mais ne semble pas allong�e en cas d'insuffisance r�nale (4,2 h).
Par voie intraveineuse.
Allong�e chez les nourrissons de moins de 8 semaine :s: 18 h.
Métabolisme
Oxydation de la cha�ne lat�rale et glucuroconjugaison.
Transformation h�patique partielle (70%) en m�tabolites moins actifs que le m�tronidazole.
Elimination
*Voie r�nale : 60 � 80% de la dose administr�e sont �limin�s dans les urines, principalement sous forme m�tabolis�e (10 � 15 % sous forme inchang�e).
M�tabolites urinaires chez l'homme : ac�tamide et acide N-(2 hydoxy�thyl)oxamique.
*Voie biliaire : 6 � 14% de la dose administr�e sont retrouv�s dans les selles.
*Dialysable : en cours de dialyse, la clairance totale est de 196 m/mn, dont 125 ml/mn pour la clairance dialytique; le m�tabolite hydroxyl� est lui aussi �limin� par le dialyseur.
Les posologies doivent donc �tre adapt�es apr�s �puration extrar�nale.
Bibliographie
- Experimental chemotherapy ed Schnitzer Hawking Academic Press Medecine et maladies infectieuses 1977;7:158.
- Br Med J 1978;1976,2:1418.
- J Antimicrob Chemother 1975;1:235.
- Drugs 1978;16:387.
- The use of antibiotics , Kucers et Bennett 1979;3�me ed.
- Drug Intell Clin Pharm1981;15,11:838.
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- Clin Pharmacokinet 1983;8:43.*
- Am J Gynecol Obstetr1983;145:865.
- Lyon Medical 1984;251:283-286. (EFFETS SECONDAIRES)
- J Hopkins Med J 1981;149:89-92. (REVUE GENERALE)
-- Clin Pharmacokinet 1992;23:328-364. (PHARMACOCINETIQUE)*
- Drugs 1997;54:679-708.
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